le divorce d’Anna – 2 (NSFW)

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    scat
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    part 2 – (NSFW) –

    Anna se leva en baillant. Elle fit quelques mouvements de tête. Sans doute pour assouplir les muscles de son cou puis s'étira longuement. Cela ne manqua pas d'attirer l'attention d'Eric qui venait de se réveiller lui aussi.

    Il la regarda chausser ses hautes mules à plateforme qui trainaient à côté d'elle. Les chaussures haut perchées sur un grand talon transparent, élégantes et stylées, se mariaient à la perfection avec son petit bikini jaune vif.

    Cela semblait la ravir. Elle passa d'ailleurs un petit moment à observer ses orteils tout en se frottant machinalement le ventre.

    Elle décolla légèrement le talon pour regarder ses chevilles et son mollet se contracta. Il se gonfla puis se dessina distinctement: plus gros, mieux cisellé et dur comme le roc !

    Elle regarda vers Eric. Il avait les yeux rivés sur l'énorme muscle, elle n'en demandait pas plus. Sans attendre, elle lui lança un petit sourire malicieux et appuya sur la pointe du pied.

    Son mollet se ramassa encore vers le haut. Il se creusa au milieu et continua de grossir ! Il forma deux masses bien distinctes, plus denses et plus anguleuses encore. Les yeux d'Anna s'illuminèrent. Elle jeta ses cheveux blonds en arrière et afficha un magnifique sourire.

    Eric n'en pouvait plus.

    Anna parcourait ses vastes quadriceps avec ses mains, le plus lentement possible, en les caressant délicatement. Il y avait tant de muscle dans cette cuisse ! Eric observait les mains d'Anna posées dessus. Elles semblaient si petites !

    Elle descendit ses mains le long de la jambe, en épousant les muscles hypertrophiés du bout des doigts et s'arrêta lorsque ses mains agrippèrent son mollet. Elle forma alors un poing et frappa à plusieur reprises sur la boule de muscle endurcie.

    Eric reconnu de nouveau le bruit effrayant de deux grosses pierres qui s'entrechoquent. Anna éclata de rire, lui était de plus en plus excité.

    Il avait encore la tête prisonnière de la barre et essayait de la pencher pour mieux voir.

    Anna s'était assise de nouveau sur la chaise longue et avait écarté ses jambes pour faire un grand écart.

    Elle se mordilla les lèvres et porta une main à son sexe. Il était humide et chaud. Quelle délicieuse sensation ! Elle ferma les yeux et commença à le caresser lentement, laissant le plaisir monter progressivement. Elle se pencha en arrière pour que la brise printanière rafraichisse son visage. Sa bouche pulpeuse restait entrouverte et laissait échapper de petits soupirs innocents. Eric ne pu contenir son érection.

    Anna expulsa vigoureusement l'air de ses poumons puis pris son sexe à pleine main pour le pétrir avec force. Ses cris devinrent plus aigus, plus forts. Elle excita son clitoris et celui-ci se rallongea d'un bon centimètre. Plusieurs fois, elle répéta l'opération et plusieurs fois son clitoris se rallongea. Elle frotta son sexe énergiquement, sa main s'arrêtant de temps à autre, avant de s'enfonçer dedans. Elle faisait alors quelques va-et-vients puis s'arrêtait de nouveau.

    Maintenant, elle pouvait prendre son clitoris à pleine main tant il était gros. Elle le caressait comme un sexe d'homme, d'avant en arrière. Ses petits cris étaient devenus des râles de bête sauvage. Ils remontaient de sa gorge musculeuse pour faire trembler les murs. Ses muscles se contractaient puis se relâchaient au rythme des caresses. D'énormes veines en couvraient la surface et amplifiaient la sensation de puissance qui émanait d'elle. Anna ouvrit les yeux. Elle chercha Son mari d'un regard menaçant.

    Eric, en pleine érection, fut pris de panique. Il essaya vainement de soulever la barre de 85kg.

    Anna se releva en laissant trainer ses mains sur elle, jusqu'à ses gros seins huilés. Il ne la regardait pas, trop occupé à essayer de soulever la barre. Elle enfonça ses doigts dedans. Elle les pétrit avec force. Ses mains se remplissaient à chaque fois, de cette masse presque musculeuse, souple et élastique comme le pétrin d'un bon pain. Ensuite, elle tira énergiquement sur les ficelles du haut de son bikini et réajusta les petits triangles de tissu sur ses seins émoustillés.

    – OK, chéri. Où est ton contrat ? Il faut quand même que je le lise ! dit-elle, en s'approchant.

    A chaque emjambée, ses cuisses surpuissantes, s'entrechoquaient et frottaient l'une contre l'autre. Elles poussaient sur les muscles puis les relâchaient comme de gros ressorts charnus qui reprenaient leur place. Cela amplifiait le déhanchement du bassin et rendait sa démarche plus féline et plus sensuelle.

    Eric baissa la tête pour pouvoir déglutir. Sa respiration s'était arrêtée. Ses bras frémissaient et tapotaient sur son ventre. Ses abdominaux s'étaient contractés involontairement et maintenaient son sexe ramolit par la peur en position verticale.

    Anna l'enjamba et s'arrêta au dessus de lui un instant. Son ombre, projetée sur le corps chétif de son homme, recouvrait largement son buste et s'étalait au delà. Elle estima que son ombre était trois fois plus large que lui. Cela la fit sourire.

    Elle détourna son regard et fit mine de l'ignorer. Ensuite, elle se coiffa les cheveux avec les doigts, pour détourner son attention. Cela fonctionna à la perfection. Les yeux d'Eric se rivèrent instantanément sur les deux énormes biceps qui s'étaient formés. Ils étaient énormes, denses, et durs comme de la pierre. Cependant, le grain et la finesse de la peau d'Anna leur donnaient un aspect chaleureux et acceuillant. Eric recommença à bander en imaginant ces deux pythons s'enrouler autour de son buste et l'étouffant pendant d'invraisemblables ébats amoureux.

    Anna semblait ne pas se préoccuper de lui mais elle était au contraire, attentive à toutes ses réactions.

    La vérité, c'est qu'elle jouait avec lui comme une lionne avec sa proie, restant par dessus son corps pour l'humilier davantage, le laissant jauger ses muscles et les comparer aux siens. Elle pouvait percevoir ses tremblements sans même le regarder, sentir sa peur devenir incontrôlable, entendre ses sanglots étouffés par la honte. Cela procura à Anna une sensation de puissance inégalée jusque là. Elle pris une grande inspiration, pour profiter avec plénitude de l'odeur de la peur. C'était bon !

    – Je vois que je te plais ! dit-elle en montrant l'érection chancelante d'Eric. Toi aussi tu me plais ! … Regarde !

    Elle arracha son maillot et laissa son clitoris pendre entre ses cuisses. Eric eut un mouvement de panique. L'appendice rivalisait en longueur avec son petit sexe ridicule et il avait pris cela pour un sexe masculin. Elle le prit dans une main et recommença à se caresser tandis qu'avec l'autre main, elle soulevait la barre et la reposait sur le banc de développé couché.

    Elle souleva Eric en le saisissant à la gorge et le garda suspendu à bout de bras.

    – Arrête de d'entraîner ! dit-elle en riant, tu vas finir par être trop musclé !

    Elle le déposa à califourchon sur le banc, le dos contre la barre. Il resta là, muet, sans bouger, attendant anxieusement la suite des évènements. Il la regarda enjamber le banc et se mettre face à lui, le sexe à hauteur de son visage. Il essaya de reculer mais la barre s'enfonça dans son dos. Anna continuait d'avancer en souriant. Elle jouissait par avance, pensant au désespoir de son mari acculé à la barre. Il n'avait aucune issue.

    Elle saisit Eric par la nuque.

    – Lèche-moi !
    – Non !

    Elle excerça une simple pression du bout des doigts sur sa nuque et des larmes jaillirent des yeux d'Eric.

    – D'accord ! D'accord ! Je vais le faire !
    – Tu es un amour, chéri !

    Elle le colla contre son sexe.

    Eric s'executa en fermant les yeux. A grands coups de langue, il lécha longuement le clitoris d'Anna. Il pouvait le sentir se durcir sous sa langue, devenir plus chaud et plus lisse. Il pouvait sentir son odeur devenir plus forte, son goût plus âcre. Il pouvait même entendre les poils crépiter quand la chair humide se frottait contre eux. Ce qu'il ne pouvait pas voir, c'est que la masse charnue grossissait à chaque coup de langue.

    – Ouvre les yeux ! ordonna Anna. Regarde ce que tu fais !
    – Mais qu'est-ce-que …
    – Surpris ? … Certains anabolisants peuvent avoir des effets secondaires incroyables, n'est-ce-pas ? Je parie qu'il est plus gros que ton sexe ? Regarde le bien ! Essaie de l'imaginer pénétrant dans ta bouche …
    – Nooooooonnn !
    – Oh, siiiii !  dit-elle en le frottant sur son visage.

    Eric se débattait pour se libérer. Elle aurait pu l'arrêter tout de suite en le serrant à la gorge ou en lui enfonçant son sexe dans la bouche mais elle se contenta de le regarder user ses forces, lui laissant espérer une issue plus digne. Il pleurait, criait. Elle attendit patiemment. Finalement, il la supplia.

    – Pitié ! Anna, ne fais pas çà !

    Elle lui releva la tête pour qu'il la voit sourire et lui engouffra son sexe dans la bouche. Sa mâchoire s'écarta au maximum. La tension était si forte qu'il lui était impossible de fermer tant soit peu la bouche. Cela commença à faire mal. Anna, qui le tenait toujours par la nuque, lui fit faire des mouvements de va-et-vient. Elle semblait prendre de plus en plus de plaisir. Ses cris recommencèrent à résonner dans le patio. Son clitoris, qui enflait encore, tirait de plus en plus sur la mâchoire d'Eric. Bientôt, un claquement se fit entendre, signe que la mâchoire s'était décrochée. Il n'en fallut pas plus à Anna pour atteindre l'orgasme. Elle enfonça son clitoris entier dans la bouche d'Eric et poussa un hurlement de plaisir. Elle frotta son mari contre elle un instant puis elle l'éloigna d'un coup sec. Finalement, en contractant ses muscles vaginaux, elle envoya son fluide, par petits jets, dans la gorge béante de son mari inanimé.

    Elle lui coiffa les cheveux avec le liquide visqueux qui coulait sur son visage et lui remit la mâchoire en place. Ensuite, elle lui donna quelques baffes pour le réveiller.

    – J'espère que tu as apprécié ! Parce que je n'en ai pas fini avec toi mon amour ! dit-elle en regardant les vêtements d'Eric qui reposaient sur la chaise en fer.

    – Chéri ! Il est magnifique ce pantalon ! continua-t'elle en saisissant le vêtement. J'ai bien envie de l'essayer !
    – Noooon ! C'est un cadeau de … !
    – Pardon ? Tu as dis quelquechose ?
    – Non … non, je n'ai rien dit !
    – Ouf ! J'ai cru que tu voulais m'empêcher d'essayer le pantalon ! … C'est ce que font les hommes en général ! … Mais cela aurait été stupide de ta part, n'est-ce-pas ? … Et puis, je ne suis pas sûre que tu sois un homme !

    Eric baissa les yeux, humilié.

    – En es-tu un ? poursuivit-elle, en se penchant au dessus de lui. Bien sûr que non ! Les hommes ont de gros zizis pour remplir les bouches de leurs petites femmes et non l'inverse !

    Elle s'assit sur le banc à côté de lui et enfila un pied dans le pantalon.

    – Voyons comment il me va, poursuivit-elle, en tirant sur le tissu.

    Elle avait levé la jambe bien haut et tendu la pointe du pied vers l'avant pour ajouter une touche de sensualité à la scène. Cela contractait son énorme mollet qui semblait défier le vêtement, dans un face à face inégal. Elle tira sura le pantalon et l'amena jusqu'au genou. Son mollet glissait à l'intérieur comme une boule de bowling et tendait le tissu jusqu'à son extrème limite. Le bout du pantalon pendait encore au bout de son pied quand le mollet fut bloqué par manque de place. Elle fit néanmoins glisser le reste du tissu en l'accumulant, par saccades, au niveau du genou. Bientôt des craquement se firent entendre … CRAC ! …, de plus en plus nets … CRAAAC ! …, de plus en plus effrayants … CRRRAAACKKK !! … Elle jeta un regard satisfait à Eric et tira un dernier coup sur le tissu… CRRRRRRRRRRRRRR !! …

    Vaincue sans gloire, la couture s'ouvrit sans aucune résistance. Anna décida d'en finir. Elle pris une grande inspiration et tira le pantalon sur sa cuisse, d'un coup sec. Instantanément, une effroyable déflagration se fit entendre … BANG !!! … Le vêtement avait explosé sous la contrainte des muscles.

    D'un geste fluide et élégant, elle envoya valdinguer le reste de pantalon par dessus son épaule.

    – Il taille petit, n'est-ce-pas ? … n'est-ce-pas ?
    – Oui, oui ! Il taille petit.
    balbutia Eric, tremblant de peur.

    – Porte-moi ta chemise ! Je vais l'essayer aussi !

    Eric se tourna et aperçu son portable, par terre. Il resta interdit.

    – Quoi ? … Tu hésites ? … Tu veux peut-être que je vienne la chercher moi-même ?
    – Non ! Non ! … la voilà ! Pardon ! … Je suis désolé !
    – Trop tard ! Je n'ai plus envie de l'essayer ! répondit Anna qui avait aperçu le téléphone. Elle déchira la chemise comme une feuille de papier journal et montra l'appareil de l'index.

    – Porte !

    Eric recula instinctivement sans la quitter du regard.

    – Porte ! répéta-t'elle.

    Il se baissa sans rien dire, en cherchant le téléphone à tâtons pour ne pas la perdre des yeux.

    Elle avait posé ses mains sur ses hanches et déployait ses dorsaux massifs et évasés. Cela accentuait la largeur de ses épaules et lui conférait une allure guerrière qui glaça le sang d'Eric. Il ne pouvait pas parler. Sa gorge était nouée. Il se contenta de lui tendre fébrilement le portable.

    – Assis ! Commanda-t'elle, en saisissant l'appareil.

    Les yeux d'Eric se remplirent de larmes. Il se mit à trembler de nouveau.

    – Assis ! répéta-t'elle, en haussant le ton.

    Il se laissa tomber sur le sol, à genoux, en pleurnichant.

    – C'est bien ! … Tu es un bon chien ! … Couché, maintenant ! … Allons couché !

    Eric s'allongea face contre terre en pleurant à la fois de peur et de honte.

    Anna le regarda faire avec satisfaction. Elle rechercha le dernier numéro composé et lança l'appel. Elle patienta en taquinant Eric du bout du pied. Ce dernier restait là, sans réaction, tétanisé par la peur.

    – Allo ? … Chloé ? … Bonjour, c'est Anna, la femme d'Eric … Oui, Oui, il est là … Oui, bien sûr … Nous sommes en train de négocier quelques détails mais je crois que nous allons trouver un accord … Oui … Nous avons mis les choses à plat… vraiment à plat.

    Anna s'accroupit à côté d'Eric et commença à le carresser comme un animal.

    – Il a fait de la musculation toute l'après-midi ! continua-t'elle, … Si, Si ! Je vous assure ! Avec une barre de 85 kg ! … Vous dites ? … C'est deux fois votre poids ?! çà alors ! … Il est vraiment surprenant, n'est-ce-pas ?

    Elle posa la main sur le combiné et s'adressa à Eric.

    – Elle pèse 42 kg ? Comme c'est mignon !

    Elle repris sa conversation avec Chloé.

    – … En fait, là, il est couché … Vous devriez plutôt venir ici, nous pourrions discuter.

    Eric essaya de dire quelquechose mais Anna lui plaqua immédiatement le visage contre le sol.

    – D'accord ! A tout de suite ! termina-t'elle avant de racrocher et de jeter le téléphone.

    – Viens ! Suis-moi ! dit-elle en se relevant. Non ! … A quatre pattes, imbécile ! … Voilà ! … C'est mieux, Ricky !

    Elle lui tapota le flanc et se dirigea vers la chaise où se trouvait le contrat de divorce. Elle le commanda de nouveau :

    – Porte, Ricky ! fit-elle en pointant le document. Allons, porte ! … Non ! Avec la bouche ! … Voilà, c'est bien ! … Je vais pouvoir le lire en attendant Chloé. Et toi, tu vas l'attendre avec moi, bien sagement … comme un bon chien !

    Elle s'assit sur le banc et commença à lire le document. Eric s'était couché à ses pieds, tout recroquevillé. Il rampa sur quelques centimètres et colla sa tête contre elle. Anna fit mine de ne pas s'en apercevoir. Elle essuya simplement un petit frisson et continua sa lecture en jugulant un petit sourire de satisfaction.

    #69398
    Seldom
    Participant

    From what I can read through Google's automatic translator, this story is wonderful! Unfortunately the translation tends to be incoherent. I wonder if someone who speaks French and English would translate? That would be great!

    #69399
    sybic26
    Participant

    Merveilleux…comme d'habitude ;D

    Merci de partager tes histoires pasionnantes

    #69400
    Anonymous
    Guest

    Une excellente histoire comme toujours.
    Aura-t-il un suite aux aventures de nos heroes?

    #69401
    Fonk
    Participant

    From what I can read through Google's automatic translator, this story is wonderful! Unfortunately the translation tends to be incoherent. I wonder if someone who speaks French and English would translate? That would be great!

    Je sais que…

    *universal translator switch press*

    … I've been a bit slack in translating the wonderful stories of M. scat recently. :-[ In my defense, I've had a lot of work on. Next weekend looks free at the moment, so I'll try to get something done then.

    #69402
    Mermoz
    Participant

    Superbe développement de cette histoire dont le sénario n'est pas sans rappeler une ancienne bande dessinée de Stanton!!! J'attends avec impatience la confrontation entre Anna (140 kg) et Chloé (42 kg) qui doit être à peine plus épaisse que la cuisse d'Anna!!!

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