Le divorce d’Anna – ch1

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    scat
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    Hi!
    here is the first part of a new story, in french of course . Sorry. 😉

          ——

    LE DIVORCE D'ANNA

    Anna était dans la piscine en train de nager. Ses longs cheveux blonds, étalés autour d'elle, flottaient au gré des remous provoqués par ses mouvements de bras.

    – Je vois que tu entretiens ton corps ! fit Eric avec un sourire moqueur ! c'est ton nouveau mec qui t'as mis çà dans le crâne. J'ai vu ses haltères en venant.

    Comme elle ne répondit pas, il enchaîna :

    –  C'est un sportif ? … Ne me dit pas que tu aimes le voir soulever ces machins en fonte ! Tu as toujours dit que tu te mettrais au sport si tu vivais avec un sportif, mais là, tu exagères ! … Et puis, çà ne t'as pas empêché de devenir obèse !

    Elle continua tranquillement à nager la brasse, face à la buse de nage à contre-courant.

    – Tu pèses combien maintenant ? 110 ? 120 ? relança-t'il. Il essaya de discerner la silhouette d'Anna dans les remous, mais le système de nage à contre-courant agitait l'eau et l'en empêcha.
    – 140 kg, dit-elle.
    – 140 kg !? Tu as encore pris 20 kg depuis qu'on s'est quittés ! Tu vois, çà ne sert à rien de faire de l'exercice ! çà t'ouvre l'appétit, tu te goinfres, et tu grossis encore plus ! … Regarde moi ! Je suis toujours aussi mince : 60 kg pour 1,65 m et sans faire de sport ! Pas un gramme de graisse ! L'entraînement c'est des foutaises ! … Des foutaises !

    Anna coupa court la conversation.

    – Tu as pris ton maillot ?
    – Oui !
    – Alors, qu'est-ce que tu attends ? Viens ! L'eau est bonne !

    Eric s'éloigna un peu pour se changer.

    Tandis qu'il enlevait sa chemise, il regardait perplexe le banc de developpé couché qui maintenait une barre chargée de plusieurs disques de fonte. C'était trop tentant. Il s'en approcha, faisant mine d'y pendre ses vêtements. Il essaya de soulever la barre d'un côté. A une main, le plus discrètement possible, mais sans succès.

    – Alors ? Tu y arrives ? lanca Anna, tu essayes de soulever la barre, n'est-ce-pas ?
    – Oh ! Je n'ai pas vraiment essayé ! répondit Eric pris sur le fait, … C'est des disques de combien ?
    – 10 kg ! çà fait 85 kg au total, si c'est ce que tu veux savoir !
    – Oh ! … et c'est beaucoup ?? questionna t'il.
    – Essaie ! Tu verras bien ! Pose tes affaires sur la chaise à côté.
    – Non ! je vais faire quelques longueurs. C'est bon pour les abdos ! dit-il, en essayant de soulever la barre à deux mains. J'essaierai tout à l'heure !

    Il se rapprocha du bord de la piscine en se frottant le ventre.

    – Pas mal, hein ? Pour quelqu'un qui ne fait pas de sport ! fit-il, en montrant fièrement sa ceinture abdominale.

    Anna regarda les six petits renflements aux contours mal dessinés que montrait Eric. Ou plutôt, elle les devina ! Car s'il est vrai qu'Eric avait peu de graisse sur lui, il n'avait pas beaucoup de muscles non plus ! L'épaisseur de la peau suffisait à les masquer ! Anna essaya de ne pas rire. Elle alla même dans le sens de son mari pour ne pas le décevoir :

    – Hou la la ! On voit tes abdos !
    – C'est ce qu'on appelle une tablette de chocolat ! lança-t'il, tu est jalouse, n'est-ce-pas ?
    – Je n'en reviens pas ! répondit-elle, Tu dois être plus costaud que tu n'y parait !
    – Je pourrais t'épater ! s'exclama-t'il, et il plongea dans les remous de la nage à contre-courant.

    Il commença par quelques mouvements de brasse comme il avait vu faire Anna, mais le courant était trop fort. Il était entraîné vers l'arrière. Il força le rythme d'abord, puis se mit à nager le crawl. Malgré cela le courant l'entraînait toujours vers l'arrière. Il lutta un moment pour faire bonne figure mais du arrêter. Ses bras n'arrivaient plus à suivre la cadence. Il se laissa entraîner par le courant vers là où il avait plongé.
    Il chercha Anna du regard. Elle était devant la buse de refoulement en train de nager, imperturbable. Le courant semblait n'avoir aucun effet sur elle.

    – Bah ! 140 kg ce n'est pas facile à déplacer, pensa Eric, même pour le courant. Il se hissa hors de l'eau.

    Tout ruisselant qu'il était, les filets d'eau faisaient étinceler sa peau presque blanche. Les ombres en étaient accentuées, les reflets aussi. On pouvait compter ses côtes, apprécier le dessin de ses clavicules et même énumérer ses vertèbres qui menaçaient de traverser la peau lorsqu'il se baissait. Bref ! L'eau mettait en avant son incroyable maigreur. Et dire qu'il en était fier !

    Il se frotta le corps pour s'égoutter, s'arrêtant longuement sur ses bras décharnés. Il les maintenait en l'air et essayait d'y faire durcir ses ridicules petits biceps. Mais le manque d'exercice les avait rendus flasques et mous.
    Anna qui le regardait du coin de l'oeil, l'interpella :

    – Il ont l'air pas mal !
    – Pas mal ? Regarde ! rétorqua-t'il, on voit bien la boule, là ! Tu vois ?
    – Oh, oui ! On la voit bien ! répondit Anna, tu as une bonne définition ! Tes muscles sont biens dessinés !

    Elle avait mis de la conviction dans ses propos. Eric ne douta pas un instant de sa bonne foi. Il continua ainsi, à contracter ses petits muscles chétifs, se prenant pour un canon de virilité.

    – Eric !… interpella Anna, si tu veux essayer de soulever la barre, ne te gênes pas !

    Il s'avança vers le banc en mettant ses cheveux en arrière. Puis, il s'assit sur le banc en regardant Anna.

    – Regarde un homme en pleine action ! dit-il, calant son dos contre le banc et agrippant la barre. Regarde bien ! … et je n'ai aucun entraînement !

    Il poussa en augmentant progressivement la force, faiblement d'abord, puis de toutes ses forces. La barre ne bougea pas. Il essaya encore et encore. La barre restait immobile. 'Peut-être y-a-t'il une sécurité ?' pensa-t'il. Cela le réconforta un peu. Il se rassit et regarda attentivement la barre. Non ! Il n'y avait rien. La barre était-elle trop lourde pour lui ? L'idée ne le rassura pas ! Il se recoucha sur le banc. Anna, qui n'en perdait pas une miette, ne manqua pas de l'interroger :

    – Un problème ?
    – Non, Non ! Ce n'est rien !
    – Ah ! Bien … Vas-y ! Je te regarde !

    Il avait attiré l'attention d'Anna, pensa t'il. Maintenant, elle s'était approchée du bord et avait cessé de nager pour le regarder. Il ne pouvait pas échouer. Il saisit la barre et pris une grande inspiration. Sa gorge était nouée, il la racla une fois ou deux pour améliorer sa respiration.
    Il ferma les yeux et poussa, poussa, poussa, puis dans un profond désespoir, relacha ses muscles endoloris. La barre était restée immobile.

    Maintenant, il savait pertinemment qu'il n'y arriverait pas. Il n'avait plus de forces ! Cependant, il devait essayer encore. Il ne voulait pas paraitre ridicule devant sa future ex-épouse. La solution était peut-être dans la prise. Oui ! C'est cela ! La prise ! Il écarta les mains.

    Un sourire éclaira momentanément son visage puis il poussa sur la barre. Ses bras se mirent à trembler. Ses jambes aussi ! Ses épaules commencèrent à lui faire mal, ses doigts, ses poignets.
    Il stoppa son effort pour mettre fin à son agonie. Du moins, le croyait-il !

    Il ne s'en était pas apercu mais Anna était sortie de l'eau. Elle avait enfilé une épaisse robe de bain en coton, qu'elle avait simplement boutonnée, sans serrer la ceinture à la taille. Elle trônait au dessus de lui, bras croisés.

    – Tu n'y arriveras pas ! dit-elle. Soit raisonnable ! … Tu devrais essayer avec moins de charge !

    Sans lui laisser le temps de répondre, elle enleva un disque de chaque côté et revint se poster derrière lui.

    – Tu sais, poursuivit-elle, 65 kg c'est plus que ton propre poids ! Tout le monde ne soulève pas son propre poids. Si tu y arrives, ce sera plutôt bien. Allons ! Essaie !

    Les bras d'Eric étaient endoloris par l'effort qu'il venait de produire mais il se senti obligé d'essayer. Il fit une tentative, sans résultat, et laissa retomber ses bras sur ses cuisses.
    – Ce n'est pas grave ! dit Anna, tu n'as pas d'entraînement et ce n'est pas facile. Peut-être que …?

    Elle s'interrompit et enleva encore un disque de chaque côté.

    – Voilà ! dit-elle, peut-être qu'avec 45 kg …?
    – Tu veux que je réessaye ?
    – Bien sûr ! Tu dois y arriver ! Avec 45 kg tout le monde y arrive !

    Eric avait épuisé toutes ses forces. Ses bras semblaient peser une tonne. Ses mains lui faisaient mal. Il savait que cela allait être difficile, peut-être trop ?!

    Il rougit à l'idée d'échouer à nouveau. Les mots d'Anna résonnaient encore dans sa tête :
    'Avec 45 kg tout le monde y arrive !' Certainement devait-elle y arriver aussi ! Il agrippa fermementla barre. Ses bras étaient si lourds qu'ils étaient prêts à tomber s'il lâchait sa prise.

    Il souffla un peu, poussant quelques petits cris de désespoir en expirant, mais la barre ne bougeait toujours pas. Anna posa sa main dessus.

    – Arrête ! Tu vois bien que c'est trop lourd pour toi ! Ce qu'il faut, c'est essayer sans disques !

    Elle enleva un disque.

    – Sans disques ? dit Eric, qui en profita pour se redresser. C'est …

    Anna ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase.

    – Reste là ! Tu dois essayer encore une fois ! Tu ne vas pas te défiler ?

    Elle le repoussa contre le banc et enleva le dernier disque de l'autre main, laissant la barre nue.

    – Vas-y ! Soulève la barre à vide … si tu y arrives, Superman !

    Eric n'éclata pas en sanglots mais ses yeux se remplirent de larmes. Maintenant, elle se moquait ouvertement de lui ! Il était humilié. Ses membres se mirent à trembler de rage. Il balbutia :

    – Mais, il n'y pas de disques ! C'est ridicule !

    Elle passa ses mains sous la barre, paumes vers le haut, et insista:

    – Vas-y ! Cette fois-ci je vais t'aider un peu. montre moi l'homme fort que tu es devenu !

    Eric était anéanti mais il avait la ferme intention de réussir. L'humiliation serait trop grande en cas d'échec ! Rendez-vous compte ! La barre vide ! … Ses bras se remirent à trembler… Ils tremblèrent de plus en plus vite, de plus en plus fort. Soudain, la barre décolla enfin. Eric fut tellement content qu'il relacha son effort. Tant et si bien que lorsqu'il dégagea la barre des reposoirs, elle s'abatit lourdement sur sa poitrine.
    Heureusement, Anna stoppa la barre à quelques centimètres de son torse. Ses frêles côtes, à nue, bien visibles tant il était cambré, n'aurait sans doute pas résisté.

    – Vas-y ! Dit Anna, tu y es presque ! Pousse ! … encore … encore !

    Eric essaya de tendre les bras de nouveau mais il était épuisé. C'était peine perdue !

    Elle releva la barre et la reposa sur le banc.

    – Bon, tu n'y arriveras pas ! dit-elle. Je ne sais pas ce que tu voulais prouver, mais c'est raté !

    Eric tenta de se relever mais se rassit aussitôt sur le banc. Ses jambes ne le portaient plus et sa vue était un peu brouillée. Il avait trop forcé en tentant de soulever la barre.

    Il baissa la tête.

    – Je n'ai rien à prouver ! dit-il, Et puis, j'ai mal à une épaule, alors avec un seul bras c'est pas facile!
    – Oh ! J'aurais du me douter que tu avais quelque chose qui n'allait pas ! Je me disais bien que tu ne pouvais pas être aussi pathétique … même si tes muscles sont ridiculement petits.
    – Tu sais ce qu'ils te disent mes muscles ? … Et puis d'abord, les miens on les voient ! Ils ne sont pas enfouis sous une épaisse couche de lard ! Montre moi les tiens pour voir !
    – Oui ! Tu as raison ! répondit Anna, et joignant le geste à la parole, elle déboutonna son peignoir de bain en souriant :

    – Je pesais 120 kg quand tu m'as quittée, chéri ! 120 kg de lard ! Comme tu dis …
    Elle laissa glisser le peignoir le long de ses épaules.
    … aujourd'hui j'en pèse 140 …
    … mais c'est 140 kg de muscles !

    Le linge en coton s'étala sur le sol.
    Eric resta médusé en découvrant le corps d'Anna. Jamais il n'avait vu un corps aussi impressionnant, aussi massif, aussi musculeux et pourtant si féminin ! Les énormes muscles, huilés par la crème de protection solaire, étaient de vraies invitations à la carresse. Eric se mit à trembler.

    – Anna ?? … Qu'est-ce-que ç'est que çà ? … Tu es vraiment …
    – Ne dis rien que tu pourrais regretter, chéri !
    – Mais, regarde moi-çà !! Tu … tu as des muscles !! Qu'est-ce-que çà veut dire ?
    – çà veut dire que l'entraînement ce n'est pas des foutaises comme tu dis !

    Anna maintenait ses biceps contractés, jouant à faire varier leur forme et leur volume avec de petits coups de poignets. Elle regardait les yeux de son mari suivant les deux énormes masses de muscles, et cela l'amusait.

    – Mes bras sont plus gros que ta tête ! fit-elle en souriant, Et comme tu peux le voir, ce n'est que du muscle ! … L'entraînement ce n'est pas des foutaises, mon chéri ! … Tu vois, si tu t'étais entraîné, toi aussi tu pourrais avoir des bras comme les miens. Tu pourrais soulever des barres de fonte pour impressionner les filles. Au lieu de çà, tu passes pour un minable qui ne peut même pas soulever une barre vide.

    Eric ne fit pas attention à la dernière remarque. De toutes façons, que pouvait-il répondre ?

    Il était obnubilé par l'imposante musculature qui dessinait la silhouette de son épouse. De belles hanches ! Une taille fine ! Et des abdos ! Mon dieu, quels abdos ! Comme il avait du paraitre ridicule, il y a un instant !

    Il devint rouge de honte. Des larmes coulèrent le long de ses joues.

    Il continua de regarder Anna. Son torse était surmonté d'une armure de muscles qui semblait être impénétrable ! Eric remarqua alors les seins de sa femme. Deux grosses boules, bien rondes, plantées sur ses pectoraux d'acier. Il senti son sexe se gonfler sous son maillot et essaya de penser à autre chose.

    – Mais alors, dit-il, … ces barres et ces haltères sont à toi ?
    – Oui, chéri ! Ils sont à moi !
    – Tu veux dire que tu arrives à soulever la barre de 85 kg ?
    – Bien sûr que j'y arrive ! répondit-elle en souriant. Elle se massait tranquillement les biceps en regardant Eric.

    Celui-ci fut pris de tremblements.

    – Mais … mais çà … mais çà te sert à quoi ?
    – A négocier ! répondit-elle, avec un sourire narquois, à négocier ! Tu ne peux pas savoir comme cela facilite la négociation ! répéta-elle, en contractant ses biceps et en faisant claquer un gros baiser dessus.

    Anna regarda son mari de haut en bas.

    – Evidemment non ! Tu ne peux pas savoir ! conclu-t'elle, tu n'es pas taillé pour la négociation. J'ai plus de muscles dans un seul bras que tu n'en as dans ton corps tout entier ! … Tu veux bien charger la barre de ton côté, Chéri ? Je vais te montrer à quoi çà sert.

    Elle prit trois disques et les enfila sur la barre en souriant. Eric essaya d'en faire autant. Elle le regarda faire, avec amusement.

    Les disques lui échappaient des doigts. Lorsqu'il essayait de les soulever, ils rippaient les uns sur les autres, ses petits doigts maigres ne pouvant pas les retenir. Il se résigna vite à les mettre un par un. C'était déjà suffisamment lourd pour lui !

    Anna attendit qu'il finisse et se coucha sur le dos, laissant ses épais dorsaux s'étaler sur toute la largeur du banc et même au dehors. Eric qui la dévorait des yeux, palissait de plus en plus en voyant se déployer les énormes masses de muscles. Il essaya de se rassurer en imaginant Anna luttant contre la barre, en se disant qu'elle ne ferait, sans doute, pas plus de 5 ou 6 répétitions. Mais lorsqu'elle empoigna la barre, les muscles d'Anna lui semblèrent soudain plus massifs, plus denses. Il sut immédiatement qu'il était dans l'erreur.

    Anna souleva la barre en affichant son plus beau sourire. Elle commença à faire ses développés calmement, sans montrer la moindre gêne, enchaînant les répétitions les unes après les autres, sans aucun effort. Eric serra les dents, submergé par un terrible sentiment d'impuissance. De grosses larmes coulèrent le long de ses joues.

    – Eric, mon chéri, la négociation c'est un rapport de forces …(un !)… Tu comprends ? … Par exemple …(deux!)…, quand tu es arrivé, tout à l'heure …(trois !) … tu te disais "je suis un homme svelte, bien portant …(quatre !), … je vais lui montrer que je suis un vrai mâle …(cinq !),… fort, dominant" …(six !)…

    Eric qui la regardait soulever la masse de fonte devint blanc comme un cachet d'aspirine. Elle continuait à parler tranquillement, ses muscles se contractant et se détendant presque machinalement.

    – … (sept !)… Maintenant, continua-t'elle, tu sais que tu es un vrai minable …(huit !), … faible, inutile …(neuf !)…  frêle, chétif, inexistant …(dix !)… Ce n'est pas bon pour négocier !

    Il rétorqua :

    – Mais, nous n'avons rien à négocier !
    – Au contraire ! s'exclama Anna qui avait reposé la barre, au contraire ! … Chéri ! … Cette barre est trop légère ! Peux-tu appuyer dessus ? … pour m'empêcher de la soulever !

    Eric, humilié, saisi là l'occasion de rabaisser son caquet à cette femelle présomptueuse. Il se jeta sur la barre pour appuyer de toutes ses forces. Il décolla même les talons et se coucha dessus, pour peser de tout son poids.

    Anna tendit les bras en contractant à fond ses énormes triceps. La charge n'offrit aucune résistance. Elle monta instantanément, entraînant Eric avec elle. Ainsi, le jeune mâle égocentrique se retrouva les pieds ballants au dessus d'Anna qui fit quelques répétitions supplémentaires en souriant. Elle soulevait aisément ses 60kg aditionnés de 85kg de charge … soit 145kg ! Eric pris conscience de cela. Il sauta à terre en la regardant avec les yeux écarquillés.

    – Mais … mais tu …, balbutia-t'il.

    Anna s'était rassise. Elle ne lui laissa pas finir sa phrase.

    – çà ne sert à rien, tu es trop léger, dit-elle, il faudrait rajouter des disques pour que je sente une résistance!

    Eric ne put s'empêcher de la questionner :

    – Tu … tu soulèves combien ?
    – 400 kg ! Plus que tu ne pourras jamais soulever ! Dit-elle, en faisant jouer ses muscles hypertrophiés.

    Eric baissa la tête.

    – Tu vois ! rajouta-t'elle en se relevant. La négociation c'est çà ! Faire comprendre à l'autre, quelle est sa place ! Qui est fort et qui est faible !… Tu n'es pas en mesure de négocier avec moi! … Tu n'as même pas pu m'empêcher de soulever çà! dit-elle en laissant traîner son index sur les disques de fonte. Elle fit le tour du banc et bloqua Eric contre la barre … Par exemple, si je décide de ne pas signer ton contrat de divorce, tu ne pourras pas m'y obliger !

    Elle avait posé ses mains sur la barre, de part et d'autre d'Eric, le ceinturant au niveau de la taille.

    – Le pourrais-tu ? questionna-t'elle, en contractant ses deux énormes pectoraux.

    Ses poignets se fichèrent dans les flancs d'Eric qui grimaça pour ne pas pousser un cri de douleur. Comme elle tendait les bras, il sentit ses côtes se soulever et appuyer sur ses poumons. Cela rendait sa respiration difficile. Il ouvrit grand la bouche pour respirer.

    – Tu veux dire quelque chose, chéri ? demanda-t'elle. Parle ! Je t'écoute. Elle relâcha la pression sur son torse, lui permettant ainsi de prendre une grande inspiration.

    – Co … comment çà ? répondit Eric qui commençait à avoir peur, attends ! Nous devons en discuter ! Pousse-toi ! Laisse-moi tranquille !

    Il poussa tête baissée sur les bras d'Anna pour la faire reculer.

    Voyant que cela ne mènerait à rien, il s'aida de ses jambes pour compenser autant que possible la faiblesse de ses bras. Rien n'y fit. Anna était inébranlable. Il avait beau pousser, ses doigts ne laissaient pas la moindre trace de lutte sur les muscles endurcis de sa femme. Il la ceintura et essaya de la soulever.

    – Ne sois pas stupide, Eric, il n'y a rien que tu puisses faire ! Regarde-toi ! Tu es pathétique ! Crois-tu vraiment que tu puisse te libérer ? Me faire reculer ? … avec tes petites cuisses ? … à peine plus grosses que mes avant bras ? Ha ! Ha ! Ha!

    Anna le laissa s'épuiser entre ses bras, qu'il prenne bien conscience de son impuissance.
    Le contraste entre la déesse qui affichait un large sourire et son avorton de mari était saisissant.

    – Rends-toi à l'évidence, chéri ! Il ne peut pas y avoir de négociation entre nous! Je commande et tu obéis ! C'est bien plus simple !

    Elle saisit les poignets d'Eric et les plaqua contre ses flancs.
    Pendant un instant, il tentait de se débattre mais les bras musculeux de sa femme ne bougeaient pas. Il se tortillait lamentablement, sans résultat.
    Anna, elle, souriait paisiblement.

    Elle souleva son mari, de façon à le maintenir en face d'elle, et le regarda faire. Il gigotait comme un ver. Il soufflait, pestait, remuait la tête en tous sens, pendu à 20 cm du sol. Il avait bien tenté de donner des coups de pieds à sa femme, pour se libérer, mais la dureté des quadriceps d'Anna avaient eu raison de ses petits pieds fragiles.

    Elle se moqua :

    – Chéri, veux-tu m'expliquer pourquoi tu t'agites ?

    Il ne l'écoutait pas ! Il continuait de gesticuler et s'épuisait inutilement, les bras, collés contre ses côtes saillantes. Il avait mal. Ses forces le lâchaient encore.

    – S'il-te-plait ! Par pitié ! Lâche-moi ! laissa-t'il échapper en sanglotant.

    C'était le moment qu'elle attendait, elle voulait qu'il la supplie, qu'il reconnaisse son impuissance. Elle le jeta au sol sans ménagement. Il roula sur quelques mètres et s'arrêta face contre terre en gémissant.

    Anna ne lui laissa pas le temps de se relever. Elle s'avança vers lui et le saisit par une cheville, le soulevant de terre à une main.

    Elle posa sa main libre sur sa hanche et le maintint en l'air un moment, tête vers le bas, en le regardant se balançer au dessus du sol.

    S'il te plait ! implora t'il.

    Elle ne l'écouta pas. Au lieu de cela, elle le garda encore un moment pendu par le pied en se curant les ongles de sa main libre. Ensuite, elle le traina vers le banc et le jeta au sol, entre ses jambes, comme une poupée de chiffon.

    Eric était pétrifié, incapable de bouger, saisi par la peur !

    Il se mit à pleurer à chaudes larmes. Anna, elle, se posta au dessus de lui et le cloua au sol entre ses chevilles.

    Il esquissa une grimace. La pression exercée sur ses côtes lui faisait mal. Il essaya de se dégager. Inutilement, bien sûr !

    Pendant ce temps, elle souleva tranquillement la barre du développé couché et joua avec elle. Elle la maintint longtemps au-dessus de la tête d'Eric, telle une épée de Damoclès de 85 kg!

    Les yeux du jeune homme étaient exorbités. Les larmes ne coulaient plus, elles jaillissaient de son visage!
    Visiblement, il attendait avec résignation le moment fatal où elle lacherait la barre.

    Anna commença à rire, tandis que lui, était secoué par de violents tremblements de peur.

    Elle se mit à exécuter une série de curls en souriant, daignant à peine jeter un oeil à son mari épuisé. Il luttait pour se dégager des chevilles d'Anna qui lui comprimaient la poitrine. Suffocant, trouvant à peine la force de respirer, il cessa bientôt de s'agiter et la regarda sans rien dire, la gorge nouée, les yeux rouges, attendant anxieusement la suite. Elle ne disait rien. Elle continuait de faire des curls paisiblement. A deux mains d'abord, puis à une main ! 85 kg ! Sans le moindre signe de difficulté ! Elle regardait ses biceps se gonfler petit à petit et semblait apprécier la forme et la taille que prenait les muscles chauds.
    Quand elle se lassa, elle descendit lentement sur ses jambes, passant sensuellement une main dans ses cheveux, en maintenant la barre de l'autre main. Elle gardait le buste bien droit et tournait délicatement les genoux sur le côté pour continuer de voir le visage d'Eric. Finalement, elle posa la barre sur le sol, au dessus de sa gorge.

    – Tiens ! Entraine-toi ! dit-elle.

    Il la regarda s'éloigner sans rien dire. Mais que pouvait-il dire ? Acquiesser ? Ce serait reconnaître encore une fois, son infériorité ! La contredire ? Surtout pas ! Il n'en était même pas question ! On ne sait jamais, cela pourrait la mettre en colère !

    Il attendit un moment, puis, se résigna à se libérer par ses propres moyens. Il poussa sur la barre, essayant de la soulever pour passer la tête dessous. Mais elle lui bloquait le passage en appuyant sur ses tempes, même de profil. Comme elle roulait, la barre lui comprimait l'articulation de la mâchoire et lui faisait horriblement mal. Il se hissa vers elle pour se dégager et pour soulager sa douleur. Il essaya encore plusieurs fois, sans conviction, et après quelques tentatives desespérées et avoir rampé involontairement sur quelques mètres, il cessa définitivement.

    – Anna ! Annaaaaa ! S'il te plait ! Libère moi !

    Il avait tourné la tête et jetait un regard desespéré à sa femme.

    Elle s'était allongée sur une serviette de plage et passait de la crème solaire sur son corps bodybuildé. Un par un, elle enduisait ses énormes muscles d'huile en les massant avec ses puissantes mains manucurées.

    – Annaaaaaaaaaaaaa !!!

    Elle arrêta sa main sur son épaule, interdite, et regarda Eric en fronçant les sourcils. Celui-ci, se figea instantanément, sa gorge se noua de nouveau. Il pensa à fuir mais comment aurait-il pu ? Elle sourit, comme si elle savait se passait par la tête de son mari, et remonta ses lunettes noires du bout des doigts. Elle poursuivit son massage sans répondre.

    Le relief des muscles d'Anna était magnifié par l'huile. La moindre fibre se dessinait parfaitement laissant entrevoir la puissance de chaque muscle. Anna était éblouissante, au sens propre comme au figuré.

    Maintenant, elle passait lentement ses mains sur ses abdominaux pour étaler la crème. Elle resserrait ses doigts méthodiquement sur chaque boule de muscle, remplissant généreusement sa main. Puis, elle tapotait ses doigts sur son ventre, en regardant Eric. Il se senti minable, lui qui était si fier de montrer ses abdos quelques instants plus tôt. Il éclata en sanglots quand elle contracta ses abdos. Il étaient donc décontractés ?
    Les puissants muscles abdominaux devinrent plus saillants, visiblement plus durs aussi. Ils s'empilèrent les uns sur les autres construisant un véritable mur de briques. Anna forma un poing et frappa violemment sur son ventre à plusieurs reprises. Le bruit qui en résulta était effrayant. Il rappela à Eric celui de deux grosses pierres que l'on frappe l'une contre l'autre. Etait-ce possible qu'elle ait un corps aussi dur ? Il commença à ressentir le besoin de la toucher, de la caresser. Tant pis si pour cela il devait subir quelque humiliation ou prendre des coups. Il fallait qu'il la touche. Mais voilà, il avait peur !!!

    Anna pouvait aisément deviner les pensées qui tourmentaient Eric. Elle savourait ce moment avec la plus exquise délectation. Cela l'excitait. Ses caresses devenaient de plus en plus sensuelles, de plus en plus provocantes aussi! …Erotiques! Son corps huilé, chauffé par le soleil lui procurait de surcroit une agréable sensation de bien-être. Elle contracta ses cuisses, les serrant l'une contre l'autre pour contenir son désir grandissant.
    Et ce n'était pas fini ! Elle enleva délicatement le haut de son petit bikini pour ne pas le tâcher, découvrant entièrement son torse surdéveloppé. Ses pectoraux étaient énormes, massifs, striés. Ils portaient, bien haut, deux jolies mamelles biens fermes, aux tétons durcis par l'excitation. Elle avait coincé entre eux, le tube de crème solaire qui paraissait ridiculement petit entre ses seins. En contractant ses muscles, elle faisait couler la crème sur ses mains, par petites giclées, qu'elle étalait sur le reste de son corps.

    Eric sentit une gêne dans son short de bain. Une érection ! Comment était-ce possible ? Après ce qu'elle lui avait fait subir ?

    Il était déjà humilié, il fut horrifié à l'idée de phantasmer sur le corps d'Anna !

    Pourtant, il ne pouvait pas décoller ses yeux d'elle. Plus il la regardait, plus son sexe le trahissait. Soudain, une idée horrible lui traversa l'esprit. Et si elle apercevait son érection ? Comment réagirait-elle ? Certainement mal ! pensa-t'il. Que faire ? Fermer les yeux ? Non ! L'image d'Anna persistait irrémédiablement dans sa mémoire ! Regarder ailleurs ? Non plus ! Il fut pris de panique et porta ses mains à son short pour cacher son érection.

    Il n'avait pas quitté Anna des yeux. Comme elle semblait n'avoir rien vu, cela le rassura un peu.

    Elle passa ses bras hypertrophiés derrière sa nuque et étala ses longs cheveux blonds sur ses épaules larges et bronzées. Ses biceps herculéens luisaient au soleil. Elle les contractait lentement et les regardait se dessiner sous la peau. Les reflets grossissaient avec les muscles pendant la contraction. De temps à autre, ils disparaissaient au gré d'une veine plus saillante puis réapparaissaient de nouveau, plus éclatants encore. Anna s'étira en souriant et se coucha sur le dos sans faire attention à son mari.

    Eric attendit quelques minutes.

    Peut-être dormait-elle, maintenant ?

    – Anna ? … Anna ? …

    Pas de réponse ! Elle devait dormir !

    Il rampa en faisant rouler la barre.

    Cette fois, il se dirigea tant bien que mal vers le banc où il avait déposé ses affaires. Il étira son bras pour attraper son pantalon et engouffra ses mains dedans. Un grand sourire s'afficha sur son visage : le téléphone portable !

    Maintenant, il fallait faire vite ! Anna pouvait se réveiller d'un moment à l'autre. Il composa le numéro de Chloé, sa nouvelle petite amie, en surveillant Anna.

    Elle semblait parler en dormant, se carressant lentement les seins en gémissant. 'Que fait-elle ?' pensa Eric. Il tendit l'oreille.

    – Eric, chéri, je suis heureuse que tu sois revenu ! Depuis le temps que j'attendais çà !

    Elle révait de lui ? Etait-ce possible ? L'aimait-elle encore ?

    Il entrevit une chance de carresser les formes musculeuses d'Anna ? Il ne pensait plus avec sa tête. Son sexe bandé avait pris le dessus. Elle était si excitante !
    Il ferma les yeux et éloigna le téléphone de son oreille. Il soupira longuement, s'imaginant allongé sur elle, prisonnier de ses cuisses en granit, happé par son sexe humide et chaud. Il pouvait presque sentir les énormes quadriceps d'Anna se gonflant autour de son torse. Il lâcha le téléphone et se carressa les tétons, imaginant ses mains posées sur la poitrine d'Anna, parcourant ses pectoraux, ses seins, du bout des doigts.

    Anna, elle, continuait de répéter la même phrase.

    – Eric, chéri, je suis heureuse que tu sois revenu ! Depuis le temps que j'attendais çà !

    Elle avait mis sa main dans son maillot et se carressait doucement le sexe en ondulant le haut du corps, gonflant en cadence ses énormes cuisses qui se contractaient lorsqu'elle décollait le bassin. Les muscles huilés, poussaient les uns sur les autres et ils se comprimaient lorsqu'elle était arc-boutée. Cela les rendaient plus saillants et plus raccoleurs.
    Eric s'imagina chevauchant la belle amazone, soulevé comme une plume, envoyé d'un côté à l'autre sans aucun ménagement, essayant juste de tenir en équilibre tandis qu'elle se masturbait.

            Il ferma lentement les yeux …

    —-

    more to come …

    #68154
    Anonymous
    Guest

    Thanx fos sharing this story.
    The descrpitions are excellent – full of live almost… 😀

    #68155
    Mermoz
    Participant

    Hello scat Awsome story as usual!!!

    #68156
    pogo
    Participant

    *bump*

    Can sombody translate this? Automatic translation sucks and it seems we are missing out a good story

    #68157
    Fonk
    Participant

    OK, I'm back in the translating saddle now. There's such a lot to go at, too! :'( Anyway, here's part 1 of the lovely Anna's Divorce.

    Anna's Divorce – Part 1

    Anna was in the pool, swimming. Her long blonde hair, spread all around her, moved with the currents created by the movement of her arms.

    "I see you're training your body!" Eric said with a mocking smile. Your new man must have put the idea in your head. I saw dumbbells when I came."

    As she didn't respond, he continued.

    "Is he sporty?" He paused. "Don't tell me you like seeing him lift those metal things! You always said that you'd start training if you lived with a sporty guy, but really, that's too much! It's not stopped you getting fat, either!"

    She continued to swim breast stroke quite calmly, swimming against the current provided by a pipe.

    "How much do you weigh now? 110? 120?" he continued. He tried to make her shape out in the water, but couldn't see with the current-providing system.

    "140 kilos," she said.

    "140 kilos?! You've put twenty pounds on since we separated! See, exercising does nothing! It gives you a bigger appetite, you stuff yourself, and then you get even bigger! Look at me. I've always been thin: 60 kilos for 1 metre 65, and I don't do any training. Not a gram of fat! Training is a load of crap, I tell you!"

    Anna cut the conversation short.

    "Have you brought your trunks?"

    "Yes."

    "So what are you waiting for? Come in! The water's lovely!"

    Eric went to change.

    Whilst he removed his shirt, he looked, puzzled, at the bench press equipment. It held a barbell, loaded with several metallic plates. It was too tempting. He went closer, making as if to put his clothes on it. He tried to lift the bar on one side, with one hand, in the most discreet way possible, but nothing.

    "So? Can you do it?" Anna asked. "You're trying to lift the bar, aren't you?"

    "Oh! I didn't really try!" Eric replied, caught in the act. "How heavy are the plates?"

    "10 kilos! It weighs 85 kilos in all, if you want to know!"

    "Oh!" He paused. "Is that a lot?"

    "Try to lift it, and you'll see! Put your clothes on the chair over there."

    "No! I'm just going to do a few lengths. They're good for the abs!" he said, trying to lift the barbell with both hands. "I'll try later on!"

    He went to the edge of the pool, and scratched his stomach.

    "Not bad, eh? For someone who doesn't train!" he said, proudly displaying his abdominal grid. Anna looked at the six tiny, badly drawn indentations that Eric was showing her. Or rather, tried to make them out! Even though it was true that Eric didn't carry much fat, he didn't have much muscle either! The thickness of his skin was enough to hide them! Anna tried not to laugh. She went along with her husband, so as not to disappoint him.

    "Wow! Those abs are clear to see!"

    "That's a real washboard stomach!" he said, excitedly. "You're jealous, aren't you?"

    "I can't believe it!" she replied. "You must be tougher than you look!"

    "I could amaze you!" he exclaimed, and dove into the pool.

    He started with a few breast strokes, like he'd seen Anna doing earlier, but the current was too strong. It was pushing him back. He got the rhythm, then began to swim a crawl. Despite his best efforts, the current was still pushing him back. He fought for a moment, for the look of the thing, but had to stop. His arms couldn't keep up anymore. He let it take him back to where he'd dived in. He looked for Anna. She was in front of the current pipe, swimming, imperturbable. The current didn't seem to have any effect on her.

    "Bah! It isn't easy to move 140 kilos around," thought Eric, "even with the current." He slid out of the water.

    Dripping wet as he was, the water made his almost white skin sparkle. It accentuated the shadows, and the reflections. You could have counted all the ribs, appreciate the design of his shoulder bones and even make out his vertebrae when he bent over. In short, the water emphasised his incredible thinness. And to think he was proud of it!

    He shook his body to get rid of the water, taking time over his spindly arms. He kept them in the air and tried to flex up his ridiculous tiny biceps. His lack of exercise, however, had made them floppy and soft. Anna, who was looking at him out of the corner of her eye, called him.

    "They don't look too bad!"

    "Not bad?" Look!" he retorted. "You can really see them, there! See?"

    "Oh, yes! You can really see them!" Anna replied. "You have great definition! Your muscles are well made!"

    She had put some conviction into her words. Eric didn't doubt her sincerity for a moment. He carried on, flexing his tiny wasted muscles, taking himself for a virile hunk.

    "Eric!" Anna interrupted. "If you want to try and lift the bar, go ahead!"

    He went over to the bench and flipped his hair back. Then he sat on it, all the while looking at Anna.

    "Check out a real man in action!" he said, resting his back on the bench and gripping the bar. "Watch closely! And I haven't done any training!"

    He pushed, steadily increasing the force he was using; gently at first, and then with all his strength. The barbell did not move. He tried again and again. The barbell remained immobile. "Maybe there's a lock on it, or something," he thought. This comforted him. He sat up and looked all over the bar. No! There was nothing. Was the barbell too heavy for him? That was not a comforting idea! He lay down on the bench again. Anna, who was lapping it up, had to ask.

    "Is there a problem?"

    "No, no! It's nothing!"

    "Ah! OK… carry on! I'm watching you!"

    "I've attracted Anna's attention," he thought. She'd stopped swimming now and was at the edge of the pool, watching him. He could not fail. He grabbed the bar and took a deep breath. His throat was tight, so he coughed a couple of times to get his breath back. He closed his eyes and pushed, pushed, pushed, then in deep despair relaxed his pained muscles. The bar had not moved.

    He had realised that he would not be able to do it. He had no more strength! However, he had to try again. He didn't want to seem ridiculous in front of his future ex-wife. Maybe it was something to do with his grip? Yes! That was it! Grip! He spread his hands wider. A smile momentarily lit his face, and then he pushed on the bar. His arms started to shake… his legs, too! His shoulders started to hurt, his fingers, his wrists. He stopped trying to end the agony. At least, so he thought!

    He hadn't noticed, but Anna had got out of the water. She had put on a thick cotton bath robe, that she had simply buttoned, without tying the belt around her waist. She was lording it over him, arms folded.

    "You'll never do it!" she said. "Be reasonable! You should try less weight!" Without giving him time to reply, she took a plate from each side and stood back behind him. "You know, 65 kilos is more than your own weight! Not everyone can lift their own weight. If you can do that, it would be rather good. Come on! Have a go!"

    Eric's arms were hurting from the effort he'd just produced but he felt obliged to try. He made an attempt, which did nothing, and let his arms fall onto his thighs.

    "Don't worry!" Anna said. "You've never trained, and it's not easy. Maybe we should…?" She stopped herself and took another plate from each side. "There!" she said. "Maybe with 45 kilos… ?"

    "You want me to try again?"

    "Of course! You must be able to do this one! Everyone can do it with 45 kilos!"

    Eric had used all his strength. His arms seemed to weigh a ton. His hands hurt. He knew it was going to be difficult, maybe too difficult…?! He blushed at the idea of failing again. Anna's words were still echoing in his head: "Everyone can do it with 45 kilos!" He would surely be able to do it too! He firmly gripped the bar. His arms felt so heavy that they would fall back if he let go. He exhaled carefully, pushing a few little cries of despair as he did so, but the bar still would not move. Anna put her hand on it.

    "Stop! You know it's too heavy for you! What you need to do is try it with no plates!" She took off a plate.

    "No plates?" Eric said, who had used the pause to sit up. "That's…" Anna didn't give him the time to finish the sentence.

    "Stay there! You must try again! You're not going to run off?" She pushed him back onto the bench and took off the last plate with her other hand, leaving just the bar. "Go on! Lift the bar… if you can, Superman!"

    Eric's eyes filled with tears. Now she was openly mocking him! He was humiliated. He began to tremble with rage.

    "But there are no plates!" he mumbled. "That's ridiculous!"

    She slid her hands under the bar, palms upwards, and insisted.

    "Go on! This time I'm going to help you a bit. Show me the strong man that you've become!"

    Eric was wiped out, but he had the firm intention to succeed. The humiliation would be too great if he failed! Realise it! Just the bar! His arms began to tremble again… They were shaking more and more quickly, and more intensely. Suddenly, the bar began to move. Eric was so happy that he stopped lifting. As soon as he'd moved the bar from its position, it fell heavily onto his chest. Fortunately Anna stopped the bar a few centimetres from his torso. His frail ribs, very visible as his back was arched, would surely not have been able to resist.

    "Go on," Anna said, "you've nearly done it! Push! Again! Again!" Eric tried to move his arms again, but he was exhausted. There was no point. She lifted the bar and replaced it.

    "So, you didn't do it!" she said. "I don't know what you were trying to prove, but you didn't!"

    Eric tried to get up, but quickly sat down on the bench. His legs couldn't carry him anymore and his sight was cloudy. He had tried too much when moving the bar. His head slumped.

    "I had nothing to prove!" he said. "Anyway, I've hurt my shoulder, so it's not easy with one arm!"

    "Oh! I should have realised that something was wrong with you! I did say to myself that you couldn't be that pathetic… even if your muscles are ridiculously small."

    "Do you want to know what my muscles have to say about that? And, what's more, you can see mine! They're not buried under a thick layer of lard! Show me yours, then!"

    "Yes! You're right!" Anna replied, and doing as she was told, unbuttoned her bathrobe, smiling.

    "I weighed 120 kilos when you left me, honey! 120 kilos of lard, like you said…" She let the bathrobe slide down her shoulders. "Today, I weigh 140 kilos… but it's 140 kilos of muscles!" The cotton garment pooled up on the floor.

    Eric was hypnotised by the sight of Anna's body. He'd never seen a body so impressive, so massive, so muscular and yet so feminine! Her enormous muscles, coated in sunscreen, were inviting him to caress them. Eric began to tremble.

    "Anna??" he said. "What's all this? You're really…"

    "Don't say anything you might regret, honey!"

    "But, look at you!! You… you have muscles!! What does it mean?!

    "It means that training isn't crap, like you said!"

    Anna kept her biceps flexed, playing at changing their appearance and size with little turns of her wrists. She looked at her husband's eyes following the two enormous masses of muscle, and it amused her.

    "My arms are bigger than your head!" she said, smiling. "And, as you can see, they're all muscle! Training isn't crap, honey! You see, if you'd trained yourself, you could have had arms like mine. You could lift metal bars and impress girls. Instead, you look like a loser who can't even lift the bar on its own." Eric hadn't paid attention to the last remark. Anyway, what could he have said?

    He was obsessed with the imposing musculature apparent in his wife's shape. Such thighs! A tight waist! And those abs! My God, what abs! He must have seemed so ridiculous a moment ago! He went red with shame. Tears crawled the length of his cheeks.

    He kept looking at Anna. Her torso was coated with a muscular armour so thick it seemed impenetrable! Eric noticed his wife's breasts. Two big, well-rounded mounds, planted firmly on her pecs of steel. He felt his sex respond under his trunks and tried to think of something else.

    "So…" he began. "These barbells and dumbbells are yours?"

    "Yes, sweetie! They're mine!"

    "Do you mean that you can lift the 85 kilo barbell?"

    "Of course I can!" she replied, smiling. She was quietly massaging her biceps, whilst looking at Eric. He suddenly started to tremble.

    "But… but… but what is it good for?"

    "Negotiating!" she replied, with a mocking smile. "It's good for negotiating. You have no idea how much easier it makes negotiation!" she repeated, flexing her biceps and planting a big kiss on each of them. Anna looked her husband up and down.

    "Obviously not! You can not know!" she concluded. "You aren't built for negotiation. I have more muscle in one arm than you have in your entire body!" She paused. "Would you load the barbell for me, sweetie? I'll show you what it's good for."

    She took three plates and slid them onto the bar, smiling. Eric tried to do the same. She watched him, amused. The plates kept coming out of his fingers. When he tried to lift them, they slipped out – his tiny, thin fingers couldn't hold them. He decided to load them one by one. That was already pretty heavy for him!

    Anna waited for him to finish and lay on her back. Her thick back muscles spread the entire width of the bench, and a bit beyond. Eric devoured her with his eyes, going more and more pale as he saw her use her massive muscles. He tried to reassure himself by imagining Anna fighting against the bar, telling himself that she would certainly not be able to do more than five or six reps. However, when she grabbed the bar, Anna's muscles seemed suddenly much larger, much harder. He knew immediately that he was wrong.

    Anna lifted the bar, displaying her brightest smile. She started to press it calmly, without the slightest worry, pumping out one rep after the other, effortlessly. Eric gritted his teeth, drowning in a terrible feeling of powerlessness. Large tears slid the length of his cheeks.

    "Eric, honey, negotiation is all about strength. One! Do you understand? For example – two! – when you came in the house just – three! – you said to yourself 'I am a slender man, who carries himself – four! – well. I'm going to show her that I am a real man – five! – strong, dominating… six!" Eric, who was watching her lift the mass of metal, went as white as an aspirin tablet. She carried on, quite calmly, her muscles contracting and relaxing almost mechanically.

    "Seven! Now," she continued, "you know that you are a real loser – eight! – weak, useless – nine! – frail, spindly, non-existent – ten! – which is not good for negotiating!"

    "But we have nothing to negotiate!" he retorted.

    "Au contraire!" Anna exclaimed, replacing the bar. "Au contraire! Sweetie! That barbell was too light! Could you push down on it? To stop me from lifting it!"

    Poor Eric decided to take this chance to prove something to this presumptuous female. He launched himself at the bar and pushed down with all his strength. He jumped on it and sat down, pushing it down with all his weight. Anna stretched her muscles, contracting her enormous triceps as much as possible. The weight offered no resistance. She lifted it instantly, taking Eric and the bar. So it was that the young egocentric male found himself with his legs dangling above Anna, who did some more reps and smiled. She easily lifted the 6o kilos plus the 85 kilos of the barbell… that made 145 kilos! Eric realised it, too. He jumped to the floor and looked at her, eyes wide.

    "But… but you're…" he stammered. Anna had sat up and, once again, didn't let him finish.

    "It was a waste of time, you're too light," she said, "I'll need more plates before feeling some resistance!"

    "How… how much can you lift?" Eric couldn't stop himself asking.

    "400 kilos! More than you will ever be able to lift!" she said, playing with her hypertrophied muscles. Eric's head slumped.

    "You see!" she added, standing up. "That's what negotiation is! Making the other person understand their place! Who is strong, and who is weak! You arent't up to negotiating with me! You weren't even able to stop me lifting the barbell!" she said, trailing her index finger along the weight plates. She went around the bench, pushing Eric against the bar. "For instance, if I decide not to sign the divorce papers as they stand, you wouldn't be able to stop me!"

    She had put her hands on the bar, trapping Eric between it and her muscular body.

    "Would you?" she asked, flexing her enormous pecs. Her wrists pressed down on Eric's thighs, and he grimaced so as not to cry in pain. As she stretched her arms, he felt his ribs press down on his lungs, making his breathing difficult.

    "Don't you have anything to say, honey?" she demanded. "Speak! I'm listening." She relaxed the pressure on his chest, allowing him to take a deep breath.

    "What – what do you mean?" replied Eric, who had started to be afraid. "Wait! We have to talk about it! Get off! Leave me alone!" He pushed on Anna's arms to make her move back.

    Seeing that it had no effect, he started to use his legs to compensate, as much as possible, for the lack of strength in his arms. Nothing happened. Anna was immovable. Although he was pushing his hardest, his fingers did not leave the slightest trace of fight on his wife's hardened muscles. He put his arms around her and tried to lift her.

    "Don't be stupid, Eric, there's nothing you can do! Look at you! You're pathetic! Do you really believe you can get away? Make me step aside? With those tiny thighs? Barely bigger than my forearms? Ha ha ha!"

    Anna let him tire himself out between her arms, so that he could realise how powerless he was. The contrast between the goddess who was smiling widely and her runt of a husband was striking.

    "Look at the evidence, sweetie! There can be no negotiation between us! I command and you obey! It's really very simple!"

    She grabbed Eric's wrists and pressed them against his thighs. He tried to fight for a moment, but his wife's muscular arms did not move. He jerked around pitifully, with no result. Anna, though, smiled peacefully.

    She lifted her husband, keeping him facing her, and watched him. He wriggled like a worm. He breathed heavily, cursed and shook his head in every direction, suspended four inches off the ground. He had even tried kicking her to free himself, but the hardness of Anna's quads was too much for his fragile little feet.

    "Sweetie, could you explain why you're wriggling about?" she mocked. He didn't hear her! He continued to gesticulate and tire himself out, his arms stuck to his jutting ribs. He hurt everywhere. His strength left him again.

    "Please! Have pity! Let me go!" he moaned, in between sobs. That was the moment she had been waiting for: she wanted him to beg, to recognise his own powerlessness. She threw him roughly to the floor. He rolled for a few metres before stopping, face down, and whining. Anna didn't let him get up.

    She advanced on him and grabbed him by an ankle, lifting him from the ground with one hand. She put her free hand on his thigh and kept him in the air for a moment, face down, looking at him so high above the ground.

    "Please!" he implored. She didn't listen.

    Instead, she kept him in the air for a moment, checking the nails of her free hand. Then she brought him back to the bench and threw him to the floor, between her legs, like a rag doll. Eric was petrified, unable to move, gripped by a terrible fear!

    He burst into tears. Anna stood over him, trapping him between her ankles. He grimaced faintly. The pressure she was exerting on his ribs hurt. He tried to escape. Uselessly, of course!

    During this time, Anna quietly lifted the barbell and played with it. She kept it over Eric's head for a long time, like an 85 kilo sword of Damocles!

    The young man's eyes were on stalks. He was no longer crying, but even his tears were shaking! He was clearly waiting for the fatal moment when she would let go of the bar.

    Anna began to laugh when he was struck by violent trembling fits. She began to do a series of curls, smiling, barely deigning to glance at her exhausted husband. He fought to get out from Anna's ankles, which were pressing down on his chest. Suffocating, barely finding the strength to breathe, he quickly stopped trying to move and looked at her, saying nothing, throat tight, eyes red, waiting anxiously to see what would happen. She said nothing: she continued to do her curls quietly. She used two hands, then one! 85 kilos, without the slightest sign of difficulty! She watched her biceps grow little by little, seeming to appreciate the shape and size her warmed-up muscles were taking on.

    When she stopped, she slowly got down on her haunches, sensually running a hand through her hair, holding the bar with the other. She kept her chest high and delicately turned her knees to the side so she could see Eric's face. Finally she put the bar on the ground, just above his throat.

    "Go on! Train yourself!" she said.

    He watched her leave without saying anything. What could he have said? Could he give up? That would have meant recognising his inferiority again! Could he contradict her? Surely not! It was out of the question! He had no idea if it would make her angry!

    He waited a moment before deciding to free himself on his own. He pushed on the bar, trying to lift it to get his head out from under it. It was blocking his escape by pushing down on his temples. As it rolled, the bar cracked his jaw, hurting him terribly. He slid towards it to get out and relieve his pain. He tried several times, hopelessly, and after several desperate attempts of rolling around for several metres, he stopped.

    "Anna! Annaaaaa! Please! Let me go!" He turned his head to look desperately at his wife.

    She was lying on a beach towel, rubbing sun cream into her bodybuilder's figure. One by one she covered her enormous muscles in oil and rubbed it in with her powerful manicured hands.

    "Annaaaaaaaaaaaaa!"

    She stopped, her hand on her shoulder, dumbfounded, and looked at Eric, frowning. He froze instantly, his throat dry again. He thought about running, but what could he do? She smiled as if she knew what was going through her husband's mind, and pushed her sunglasses up with the tips of her fingers. She carried on her task without saying a word.

    The shapes of Anna's muscles were highlighted by the oil. The slightest fibre revealed itself perfectly, letting the power of each muscle shine through. Anna was stunning, in at least two senses of the word.

    Next she moved her hands slowly over her abdominals. She moved her fingers methodically over each ball of muscle, each one generously filling her hand. Then she drummed her fingers on her stomach, all the while looking at Eric. He felt terrible, the man who had been so proud of showing his abs a few moments earlier. He burst into tears when she flexed her abs. Had they not been flexed earlier?

    Her mighty abdominal grid become more prominent and visibly harder too. They stacked on top of each other to form a veritable brick wall. Anna made a fist and hit her midsection violently several times. The noise she made was frightening. It reminded Eric of two large rocks hitting each other. Was it possible that her body was that hard? He started to feel the need to touch it, to caress it. If he had to submit to some humiliation or be hit again, so be it. He has to touch her, and yet he was still afraid of her!!!

    Anna easily guessed the thoughts that were tormenting Eric. She savoured the exquisite moment. It excited her. Her caresses became more and more sensual, and more and more provocative, too! Erotic, even! Her oiled body, heated by the sun, gave her and incredible feeling of well-being. She flexed her thighs, crushing them against each other to keep her desire at bay.

    It wasn't over! She carefully removed her tiny bikini top, so as not to stain it with oil, revealing the entirety of her overdeveloped torso. Her pecs were enormous, massive, striated. They carried two high lovely firm breasts. Her nipples were hard with excitement. She had placed the tube of sun cream between them, which now seemed ridiculously small. By flexing her muscles, she squirted the cream onto her hands in little spurts, that she rubbed into the rest of her body.

    Eric felt a tightness in his trunks. An erection! Was it possible? After what she had subjected him to? He had already been humiliated; now he was horrified at the idea of fantasising about Anna's body!

    However, he couldn't get his eyes off her. The more he looked at her, the more his sex betrayed him. Suddenly a terrible idea entered his head. What if she saw it?! How would she react? Badly, that was for sure! What should he do? Close his eyes? No! Anna's image was irrevocably etched into his memory! Look somewhere else? Also no! He was caught in a panic and moved his hands to his trunks to cover his erection.

    He hadn't stopped looking at Anna. She seemed not to have seen anything, which reassured him a little.

    She moved her hypertrophied arms behind her neck and spread her long blonde hair over her large and bronzed shoulders. Her Herculean biceps glistened in the sun. She contracted them slowly and watched them reveal themselves under her skin. The shine grew more intense with her muscles. Occasionally some of the sparkle was lost as a vein appeared before it reappeared again, more dazzling than before. Anna stretched, smiling, and lay on her back without paying attention to her husband. Eric waited for a few minutes.

    Maybe she was asleep, now?

    "Anna?" he ventured. "Anna?"

    He tried to crawl, making the bar roll.

    This time, he very slowly headed for the bench where he'd left his stuff. He stretched out an arm to grab his trousers and rummaged in the pockets. A huge smile spread across his face: his mobile!

    Now he had to be quick! Anna could wake up at any time. He typed in Chloe's number – Chloe was his new girlfriend – and watched Anna carefully. She seemed to be talking in her sleep, caressing her breasts slowly and moaning.

    "What's she doing?" Eric thought. He listened in.

    "Eric, honey, I'm so glad you've come back! You don't know how long I was waiting!" Was she dreaming about him? Was it possible? Did she still love him?

    He saw a chance to caress her muscular form. He'd lost his head. His erect penis had taken charge. She was so exciting!

    He closed his eyes and moved the phone away from his ear. He sighed longingly, imagining himself spread out on top of her, a prisoner of those granite thighs, drawn into her hot and wet sex. He could almost feel Anna's enormous quads growing around his torso. He dropped the phone and caressed his nipples, imagining his hands on Anna's chest, moving all over her pecs, her breasts, with the tips of his fingers. Anna continued to repeat the same sentence.

    "Eric, honey, I'm so glad you've come back! You don't know how long I was waiting!"

    She had put her hands in her bikini bottoms and was gently caressing her sex, undulating her chest, inflating her enormous thighs with the movement as she gyrated her pelvis. Her oiled muscles pushed into each other and against each other. It made them much more prominent and enticing.

    Eric imagined himself astride the beautiful amazon, lifted like a feather, sent from one side to the other without warning, trying just to keep his balance whilst she masturbated. He slowly closed his eyes…

                —-

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