[Mermoz]

[Well we let Marco and Cleo on a Highway parking, after she had silenced in her own way a poor truck driver who was at the wrong place at the wrong time….]

Marco ne répondit rien. Ils regagnèrent leur auto. Cléo reprit sa place de passagère et ils continuèrent leur route.
– Ben fait pas cette tête ! Tout va bien !
– Vous étiez obligée de tuer le routier ?
– Il avait vu ce qu’il ne devait pas voir. Ce n’est certainement pas juste. Mais c’est le destin.
– Oui, oui….
Cléo repris sa position pieds sur le tableau de bord et jambes écartées. Elle s’étira, entrainant à nouveau des craquements sur le tableau de bord. 
– Mmmm je suis toute excitée !!! La sensation de puissance que je ressens quand sa tête se déforme entre mes cuisses, c’est vraiment top !!!!
Elle caressait l’intérieur de ses cuisses musculeuses, remontant progressivement de plus en plus près de son sexe, pour finalement se caresser le sexe à travers son string trempé. Ivre de sa force, elle contracta les muscles de son vagin sur les deux doigts qu’elle avait enfoncé dans son vagin jusqu’à ressentir la douleur. Elle savait qu’elle pouvait écraser un doigt en elle, elle l’avait déjà fait. Elle eut envie de sentir un objet, quelque chose, n’importe quoi, emplir son sexe.
Marco la vit du coin de l’œil sortir de son sac un godemiché qui devait mesurer environ 30 cm de long et de bonne épaisseur. Cléo commença à caresser sa vulve avec l’impossible engin. Elle soupira et enfonça l’objet de plastique d’un coup dans un gémissement de plaisir. Marco n’osait pas regarder, mais il avait dans son champ de vision le pied gauche de Cléo, ses orteils étaient agités de petits soubresauts qui tendaient le cuir fin jusqu’au point de rupture. Au bout de quelques minutes, Cléo émit un feulement, suivi d’un long craquement  étouffé qui indiquait que l’imposant godemiché n’avait pas résisté à son plaisir.
– Ahhhh  c’est si bon !!!!!
Soupira –t’elle pour elle-même en laissant tomber à terre trois morceaux de plastique déformés et luisants de mouille qu’elle éjectait de son vagin.
– Ceci dit, nous avons du travail, hein ! Marco !
– Euh…oui
Répondit-il sur un  ton un gêné. Cléo fouilla à nouveau dans son sac et en sortit un téléphone portable.
– Allo, Néfertiti ?
– ….
– Oui, tout va bien mais nous avons eu de petits problèmes sur l’autoroute. Nous étions suivis.
– ….
– Non, non, pas de souci !
– ….
– Oui ! Bien sur qu’il me l’a dit ! Tu sais, quand une fille de 135 kilos pose une question, en général,  les types de 70 kilos préfèrent répondre !
– ….
– Eh bien ca parait incroyable…Tinguely !!
– ….
– OK j’attends ton appel, d’ici la nous poursuivons notre route. Nous allons bientôt sortir de l’autoroute.
– ….
– A Lausanne, dans environ deux heures tout au plus.
La petite TT franchit le péage et s’engagea sur les routes du Jura. Une vingtaine de kilomètres plus loin, le téléphone de Cléo sonna
– Oui…
– ….
– OK, nous y serons. Demain matin, 9 heures
Elle referma le clapet du téléphone qu’elle remit dans son sac et se tourna vers Marco
– Il y a un petit changement. Monsieur Vaud vient nous rejoindre demain matin, il a reculé le rendez-vous. Il arrivera à l’aérodrome de Lausanne demain matin.
Voyant qu’il ne répondait rien, Cléo lui lança en coin un regard coquin en ajoutant
– Ca veut dire qu’on a une nuit à passer ensemble !
Les dernières minutes avaient profondément troublé les sentiments de Marco ; Bien sur d’un coté la perspective de passer une nuit avec ce modèle de féminité apparaissait comme une chance inespérée, mais d’un autre coté, lorsqu’il regardait les morceaux de plastique écrasés qui gisaient sur le plancher de la voiture, il se demandait s’il serait capable d’avoir une érection au cas où leur relation deviendrait intime….
Le passage de la douane se fit sans encombre, avec bien sur l’achat de la petite vignette à coller sur le pare-brise, et ils arrivèrent enfin à Lausanne. Ils choisirent un palace près du Lac.
Cléo semblait d’une humeur insouciante. Marco fut un peu étonné lorsqu’il la vit louer une seule suite pour eux deux. Ils installèrent rapidement leurs bagages puis Cléo décida d’aller faire du shopping en ville. Marco la suivait comme un animal de compagnie. Leur couple était si improbable que la plupart des passants ne pouvaient s’empêcher de leur porter des regards appuyés. Sans doute se demandaient-ils ce qui pouvait attirer cette fille grande et athlétique chez cet avorton maigrichon. Cléo entra dans une boutique de luxe et acheta un tailleur noir. La veste était fermée d’un bouton et formait un décolleté très ouvert. La jupe lui parut trop longue. Elle demanda à la faire raccourcir de façon à ce qu’elle dépasse de la veste de 3 cm, découvrant presque toutes ses cuisses. L’employé eut un regard offusqué mais ne dit un mot. Il fut convenu que le tailleur serait livré dans la soirée à leur hôtel. Elle fit également l’emplette d’une paire de bas ornés d’une couture et d’un string ficelle en soie noire. La panoplie fut complétée par une paire de mules à talons aiguilles. Il s’agissait en fait de sandales vernies noires qui de résumaient à deux fines linières horizontales sur le devant du pied reliées par une lanière verticale qui remontait sur le cou de pied, mettant en valeur la cambrure.
Pendant tout ce temps personne ne semblait les avoir suivis, et ils dinèrent joyeusement au bord du lac illuminé avant de rejoindre leur hôtel. Cléo se déshabilla devant Marco sans sembler témoigner aucune gène. Il ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps musclé et puissant. Il avait vu ce dont ces muscles étaient capables, et alors qu’elle s’éloignait vers la salle de bains (en marbre) il était fasciné par les ondulations des muscles qui semblaient doués d’une vie propre sous la peau ambrée. Il s’approcha du petit tas de vêtements abandonnés à terre et ne put s’empêcher de saisir le string argenté, tout imbibé de la mouille de Cléo, et de le porter à son visage pour s’enivrer de son odeur. Elle avait laissé de longues et épaisses traces de jouissance dans le gousset du string et Marco se sentait irrésistiblement attiré par leur parfum. Tout à coup, il  sentit son cou prisonnier d’une serre puissante et dans le même temps ses pieds décolèrent du sol. Il se trouva suspendu à 60 cm du sol par Cléo qui le tenait d’une main.
– Veux-tu lâcher ca tout de suite !
– Euh… pardon… euh…je…je…je ne sais pas ce qui m’a pris….
Confus et honteux d’avoir été pris la main dans le sac, Marco ne savait pas quoi dire. Cléo lui trouva elle-même une justification :
– Je sais que mes phéromones sont puissantes. En général les hommes n’y résistent pas
Dit-elle en ouvrant sa main. Marco s’écroula à ses pieds. Elle se tenait debout devant lui les jambes légèrement écartées. Il pouvait voir son sexe épilé. Elle passa légèrement un doigt entre ses lèvres, et caressa un instant son clitoris. Puis elle se détourna et se dirigea à nouveau vers la salle de bains
– Viens
Il la suivit. C’est à ce moment que le téléphone de Marco se mit à sonner. Il prit l’appareil mais n’eut pas le temps de décrocher
– Donnes-moi ca
Elle prit l’appareil, et le plaça entre ses fesses. D’une contraction elle brisa la coque en plastique. Deux autres contractions de ses puissants muscles fessiers furent accompagnées de craquements. Lorsqu’elle desserra ses muscles les débris du téléphone tombèrent à terre. Elle l’entraina avec elle dans la vaste douche.
– Laves-moi
Les doigts pleins de mousse de Marco passèrent sur tous les muscles de Cléo. Il était envouté par la douceur de sa peau, le velouté de son grain, et la puissance qu’il sentait dans les muscles plus durs que du marbre qui palpitaient en dessous. Le parfum de la fille, sa simple présence près de lui le subjuguaient.
– Tu n’as pas idée de ma puissance
Dit-elle en s’étirant sensuellement.
– Néfertiti et moi avons hérité notre force d’un entrainement intense et quotidien, mais surtout de la puissance des dieux de l’ancienne Egypte. Notre père était un scientifique qui était devenu un expert de l’histoire des pharaons. Mais il était aussi un biologiste renommé. Il a pu isoler des traits génétiques particuliers sur certaines momies qu’il a examinées. Sa connaissance des hiéroglyphes lui indiquait que ces momies étaient le croisement d’humains et de divinités. Il a utilisé ces travaux pour nous créer, ma sœur et moi. Il voulait que nous représentions l’achèvement ultime de l’être humain ; son plus haut niveau de perfection…
– Et…
– Et je crois qu’il a atteint son but. Nous avons un QI supérieur à celui d’un surdoué, nous sommes plus forte que trente hommes. Nos réflexes sont hyper développés.  Sèche-moi
Il s’exécuta, tamponnant délicatement son corps parfait avec une épaisse serviette éponge. Elle l’entraina vers le lit. Elle était à la fois délicate et puissante.
– Lèche-moi
Ordonna-t’elle. Lorsqu’elle eut joui dans sa bouche, elle avala son pénis, le faisant éjaculer dans la minute par une savante succion. Mais d’habiles caresses déclenchèrent une seconde érection presqu’instantanément. Elle s’empala sur lui, l’écrasant de son poids. Il était bloqué sous elle, il ne pouvait effectuer un mouvement que si elle l’y autorisait. Son sexe palpitait autour de sa bite, l’écrasant doucement régulièrement l’entrainant presque jusqu’à l’éjaculation qu’elle bloquait au dernier moment. Lorsqu’elle le décida, elle le laissa éjaculer en elle. Cela dura une bonne partie de la nuit, ses caresses ravivant son érection alors que lui-même pensait que ce ne serait pas possible. Ses étreintes l’étouffant juste jusqu’au point ou cela devenait douloureux puis le relâchant.  Les orgasmes de Cléo se succédaient. Sa mouille dégoulinait de son sexe, mélangée de sperme. Il finit par s’endormir, épuisé et endolori.
Le lendemain matin, lorsqu’il se réveilla, Cléo arpentait la chambre dans son string noir. Elle enfila ses bas puis le tailleur noir. La mini jupe parvenait juste à couvrir ses fesses. Elle ne mit pas de soutien-gorge et passa directement la veste du tailleur. L’échancrure laissait apercevoir la naissance de ses seins. Elle lu jeta ses vêtements de la veille à la tête.
– Dépèche-toi, je commande un taxi

[rodman]

Hi,
Great story. The first parts translated into English are great. I look forward to reading the next parts once they are translated. 8)

[Mimi]

[font=Times New Roman]~Mimi[/size”>

[Fonk]

More English!

—————–

Marco didn't say anything. They went back to their car. Cleo sat in the passenger seat and they went on their way.

"Come on, don't look like that! Everything's fine!"

"Did you have to kill the truck driver?"

"He had seen something he shouldn't have. It might not be fair, but it was destiny."

"Yes, yes…"

Cleo put her feet back on the dashboard, with her legs spread. She stretched, causing the dashboard to make cracking noises again.

"Mmmm, I'm so horny! The feeling of power I got when his head deformed in between my thighs, it's so good!!!!"

She stroked the insides of her muscular thighs, moving progressively closer to her sex. She ended up stroking herself through her wet G-string. Drunk with power, she contracted her vaginal muscles on the two fingers that she had put into her vagina until it hurt. She knew that she could crush one finger, she'd already done so. She wanted to feel an object, something, anything, fill her sex.

Out of the corner of his eye Marco saw her pull a dildo out of her bag. It must have been twelve inches long, and very thick. Cleo started to caress her vulva with the impossible device. She sighed and thrust the plastic object in with a moan of pleasure. Marco dared not look, but he had Cleo's left foot in his peripheral vision. Her feet were making little somersault movements, stretching the leather to the point of rupture. After several minutes, Cleo emitted a growl, followed by a long, muffled cracking which indicated that the imposing dildo had not been able to resist her pleasure.

"Ohhhh, it's so good!!!!!" she sighed to herself, ejecting three pieces of deformed and sticky plastic from her vagina. "Having said that, we've got some work to do, eh Marco?"

"Er… yes," he said embarrassedly. Cleo rummaged in her bag again and produced a mobile phone.

"Hello, Nefertiti?"

"…"

"Yes, everything's fine, except we had some problems on the motorway. We were followed."

"…"

"No, no, no worries!"

"…"

"Yes! Of course he told me! You know, when girls weighing 135 kilos ask a question, in general, guys weighing 70 kilos prefer to reply!"

"…"

"Well, it's going to sound incredible… Tinguely!"

"…"

"OK, I'll wait for your call, we'll be following the roads from here on out. We're getting off the motorway soon."

"…"

"To Lausanne, in about two hours."

The little TT went through the toll booth and arrived on the roads around Jura. Twenty kilometres or so later, Cleo's telephone rang.

"Yes…"

"…"

"OK, we're here. Tomorrow morning, nine o'clock." She closed the phone, put it in her bag and turned to Marco. "There's been a change of plan. Mr. Vaud is going to join us tomorrow morning, he's postponed the meeting. He will arrive at Lausanne's aerodrome tomorrow morning." As Marco didn't say anything, Cleo looked at him slyly as she added, "That means we're going to spend the night together!"

The last few minutes had profoundly troubled Marco: on one hand, the prospect of spending the night with this model of femininity seemed like a chance he could not have hoped for… but on the other hand, when he saw the crushed bits of plastic rolling around the footwell, he wondered if he would be capable of having an erection, in case their relationship became intimate…

They made it through customs easily enough, with the inevitable sticker for the windscreen, and finally arrived at Lausanne. They chose a hotel next to the lake.

Cleo seemed to be in a carefree frame of mind. Marco was somewhat astonished when she hired one room for the both of them. They dropped their bags inside before Cleo decided to do some shopping in town. Marco followed her like a pet. They looked so improbable as a couple that most passers-by couldn't stop themselves staring. They must have been asking themselves what could attract that large, athletic girl to that skinny runt. Cleo went into a high-fashion shop and bought herself a black suit. The jacket only had one button, forming a very open cleavage. The skirt was too long for her, so she asked for it to be cut to just 3cm longer than the jacket, which would leave most of her thighs uncovered. The girl at the counter looked offended but didn't say anything. They arranged that the suit be delivered to the hotel in the evening. She also bought a pair of seamed stockings and a black silk G-string. The panoply was complete with a pair of shoes with stiletto heels. They were made of black leather and consisted of two horizontal straps on the front of the foot linked by a vertical strap that went a small way up the leg, showing off the arch.

No-one seemed to have followed them during that time, and they had a great meal next to the illuminated lake before returning to the hotel. Cleo undressed in front of Marco, seemingly exhibiting no embarrassment. He couldn't help but admire her muscly, powerful body. He had seen what those muscles were capable of, so when she went off to the bathroom (marble, of course), he was fascinated by the undulations of the muscles, which seemed to have a life of their own under her bronzed skin. He went to the small pile of abandoned clothing on the floor and had to pick up the silvery G-string, filled with Cleo's wetness, and to bring it to his face to drink in her smell. She had left long, thick traces of juices on the G-string's gusset and Marco felt irresistibly attracted by their scent. All of a sudden he felt his neck prisoner of a powerful claw and, at the same time, his feet leave the floor. He found himself suspended two feet from the floor by Cleo, who was holding him by a hand.

"Drop that right now!"

"Er… sorry… er… I… I… I don't know what came over me.."

Confused and ashamed to have been caught red-handed, Marco did not know what to say. Cleo herself found the justification.

"I know that my pheromones are powerful. Men can't usually resist them," she said, opening her hand. Marco crumpled at her feet. She stood in front of him, legs slightly apart. He could see her shaven sex. She lightly passed a finger between her lips, and caressed her clitoris for an instant. Then she turned and again walked into the bathroom.

"Come with me."

He followed her. It was at that moment that Marco's telephone rang. He fished his phone out but didn't have the time to pick up.

"Give that to me."

She took the handset and placed it between her butt cheeks. With one contraction she had broken the plastic casing. Two more contractions and her mighty glutes were causing cracking noises. When she unflexed her muscles the remnants of the phone fell to the ground. She took them with her into the vast shower.

"Wash me."

His fingers filled with soap, Marco passed over all of Cleo's muscles. He was bewitched by the softness of her skin, the smoothness of her body and the power that he felt in her muscles, harder than marble, palpitating underneath. The scent of the girl, her simple presence near to him, made him her slave.

"You have no idea of my power," she said, stretching sensually. "Nefertiti and I owe our strength to an intense daily regiment, but mostly to the power of the gods of ancient Egypt. Our father was a scientist who became an expert in the history of the Pharaohs, but he was also a famous biologist. He was able to isolate particular genetic traits from certain mummies he examined. His knowledge of hieroglyphics told him that these mummies were the sons of humans and gods. He used his work to create us, my sister and me. He wanted us to represent the ultimate achievement of the human being; its highest level of perfection…"

"And…"

"And I think he achieved his goal. We have IQs higher than any genius, we are stronger than thirty men. Our reflexes are hyper-fast." She paused. "Dry me off."

He obeyed, dabbing delicately at her perfect body with a thick towel. She brought him to the bed. She was delicate and powerful at the same time.

"Lick me," she ordered.

When she had come into his mouth, she swallowed his penis, making him ejaculate within a minute due to her skilful sucking. Masterful caresses brought on a second erection almost immediately. She impaled herself on him, crushing him with her weight. He was trapped under her, unable to make any movement without her allowing it. Her sex palpitated around his, crushing it gently, bringing it almost to ejaculation, which she prevented at the last moment. When she decided the time was right, she let him ejaculate into her. This lasted most of the night, her caresses reviving his erection when even he himself thought it would be impossible. Her grip around his penis choked it until it hurt, then relaxed. Cleo's orgasms multiplied. Her wetness trickled down his sex, mixed with sperm. He ended up falling asleep, spent and in pain.

Next morning, when he woke up, Cleo was pacing up and down the room in her black G-string. She slipped on her stockings, and then the black suit. The miniskirt just about managed to cover her butt. She didn't put a bra on, instead opting to slip the black jacket on. The neckline left the tops of her breasts on show. She threw the clothes he had been wearing yesterday at his head.

"Hurry up, I'll phone a taxi."

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