[Mermoz]

Thank you for your kind comments, and a big thank you to Fonk for ttranslating my story in english! All commentaries are welcome of course.
Back to the story now…..

L’aérodrome de Lausanne est situé sur les hauteurs de la ville. Cléo et Marco se tenaient près d’un baraquement préfabriqué qui abritait le bureau de piste et la douane lorsqu’ils virent le jet de Monsieur Vaud s présenter en finale et atterrir impeccablement. L’avion fit demi-tour en bout de piste et vint se garer près du baraquement. Le bruit des réacteurs, assourdissant pendant les manœuvres s’atténua progressivement. La porte de l’appareil se déverrouilla et Monsieur Vaud en descendit, costume clair et cravate club, flanqué de Néfertiti, vêtue d’un blouson de daim noir et d’un short argenté, remontant haut sur ses cuisses. Le short lui moulait nettement le sexe.  Elle était chaussée de cuissardes de daim noir fines et très souples, sans talons. Elle adorait ces bottes dans lesquelles elle était aussi à l’aise que pieds nus. Malheureusement elles étaient très fragiles…et soumises à rudes épreuves lorsqu’elle fracassait d’un coup de pied, une porte, un mur ou tout autre objet, elle en avait ainsi avec elle toujours plusieurs paires de rechange. Les deux sœurs s’enlacèrent brièvement, Marco salua Néfertiti et son patron et le groupe se dirigea vers le taxi.
Néfertiti s’assis derrière le chauffeur, Monsieur Vaud à coté d’elle. Cléo prit la place avant. Muneaux était assis derrière elle. Il plaça la mallette entre lui et monsieur Vaud. Néfertiti tapa sur l’épaule du chauffeur :
– Quai du Lac à Ouchy s’il vous plait
– Bien
Le taxi roulait depuis cinq minutes lorsque Néfertiti songea qu’il ne prenait pas la direction du lac. Trois carrefours étaient passés et la voiture ignorait délibérément les panneaux indiquant Ouchy ou bien le centre ville. Il apparaissait de plus en plus clairement que l’on sortait de Lausanne.  Néfertiti demanda :
– Vous êtes sur que c’est par la ?
Elle ne reçu pas de réponse mais crut percevoir un malaise chez le chauffeur. Il accéléra légèrement. Néfertiti enserra alors son cou de son avant bras, ce qui plaqua le chauffeur contre l’appui-tête. Elle serra légèrement
– Ou allons-nous ?
Pas de réponse. Elle serra un peu plus, ce qui fit légèrement craquer le siège
–  Réponds !
–  Grrllllgggg
Fut tout ce que put répondre le chauffeur, étranglé par la pression de l’avant-bras sur son cou.
– Nous n’avons pas besoin de savoir ou il nous emmène Néfertiti, dit monsieur Vaud, nous sommes pressés. Débarrassez-vous de lui
D’un mouvement fluide, Néfertiti contracta son avant-bras, écrasant la gorge de l’homme, et du même coup broyant l’appui-tête qui offrit peu de résistance à la pression exercée par la jeune femme. Le craquement des vertèbres fut couvert par celui de la structure métallique de l’appui tête qui était tordue et brisée à travers l’épaisse mousse. Le chauffeur lâcha le volant et agrippa l’étau de chair qui l’écrasait dans un geste futile. Cléo prit le contrôle du taxi et le gara au bord de la route. En quelques secondes, le chauffeur était mort, un filet de sang coulait de sa bouche et de son nez. Néfertiti sortit de la voiture, ouvrit la porte du chauffeur, le détacha et le saisit d’une main. Elle le traina sans effort jusqu’au coffre de la Citroën C5 qu’elle ouvrit. Elle leva le cadavre sans effort et le plaça dans le coffre. Comme il avait du mal à rentrer, elle le plia en deux, ramenant ses fesses contre sa nuque. Marco entendit le long craquement de la colonne vertébrale qui se brisait en plusieurs endroits lorsque le corps fut sauvagement tordu. Deux autres craquements plus brefs témoignaient des jambes que Néfertiti avait pliées dans une direction contre nature pour pouvoir fermer le coffre. Cela étant fait, elle s’assit à la place du chauffeur et la voiture fit demi-tour. Dix minutes plus tard, ils arrivaient devant l’immeuble de Tinguely. C’était un immeuble moderne, des années 90, en verre et en bétons. Un gardien en uniforme était posté devant la gigantesque porte en verre fumé ornée de monogrammes JT entrelacé. Voyant le taxi s’arrêter juste devant la porte et les quatre occupants en sortir il se précipita en s’écriant avec un fort accent vaudois :
– Vous ne pouvez pas parquer ici !
Néfertiti lui tendit les clés du taxi sans s’arrêter
– Range-la…et il y a un de tes collègues à l’intérieur !
Elle laissa le gardien interloqué et ils s’engouffrèrent tous les quatre dans l’immeuble. Cléo se dirigea directement vers le comptoir de l’accueil, les trois autres restèrent quelques mètres en retrait. Lorsqu’elle se retourna après avoir échangé quelques mots avec l’hôtesse, elle vit quatre hommes en costume noir, cravates noires, lunettes noires et oreillettes entourer le groupe. Elle les rejoint au moment ou un des hommes prenait la parole :
– Voulez-vous nous suivre s’il vous plait.
Les quatre hommes encadrèrent Muneaux, Vaud et les deux sœurs, et ils se dirigèrent vers un ascenseur. Celui-ci les déposa quelques instants plus tard devant un large couloir au sol dallé de grès blanc et aux murs immaculés. Il était baigné d’une lumière crue. Les deux sœurs marchaient devant, les deux hommes suivaient, toujours encadrés par les quatre gardes du corps. Ce fut Cléo qui demanda :
– A quel étage sommes-nous ?
– J’ai compté dix étages en montant
Répondit Néfertiti
– Alors ca ne va pas, le bureau de Tinguely est au huitième d’après l’hôtesse….
En disant cela, Cléo s’arrêta net, et donc tout le groupe avec elle. Elle échangea un regard avec Néfertiti, et les deux filles entrèrent en action simultanément. Tout se déroula très vite.
Néfertiti envoya un coup de pied dans le bas du dos du garde du corps situé devant elle. L’homme entendit et senti en lui-même un grand craquement, alors que le pied gainé de daim lui avait simplement pulvérisé la colonne lombaire. La douleur vive diffusa dans ses jambes jusqu’aux pieds qui s’engourdirent brusquement. Ses genoux fléchirent et il tomba à terre paralysé, avant que l’intensité de la douleur lui fasse perdre connaissance. Pendant ce temps, Néfertiti avait bloqué la respiration du second garde d’un coup de coude dans le thorax, lui brisant du même coup quelques cotes. L’homme suffoquait, penché en avant.  Elle le prit par les oreilles et lui frappa deux fois le visage contre sa poitrine. C’était comme s’il avait été propulsé contre un mur de béton. Son nez éclata, ses pommettes s’enfoncèrent. Elle releva son visage sanglant et ravagé au niveau du sien. Elle l’attrapa alors fermement d’une main par l’épaule, tandis que de l’autre elle lui tourna la tête à 180°, brisant net ses vertèbres cervicales. Elle laissa choir le corps et se tourna vers Cléo.
Dans l’intervalle, celle-ci avait quitté ses sandales, et son pied gainé de soie avait écrasé d’un coup de pied arrière les testicules du garde qui se trouvait derrière elle. Celui-ci s’était effondré en lançant un hurlement strident. L’autre s’était retourné et elle lui avait pris la tête sous son bras, serrant juste assez pour qu’il ne se débatte pas, mais sans l’étrangler complètement. Le garde qu’elle avait émasculé se tenait recroquevillé, les deux mains dans son entrejambe, et ne cessait de hurler. Elle se tourna vers lui, et de son pied, le tourna sur le dos. L’autre garde toujours prisonnier de son aisselle, elle posa alors la pointe de ses orteils sur le thorax de l’homme à terre, la cambrure de son pied ressemblait à une danseuse faisant des pointes. Elle eut alors un petit rictus qui lui retroussa sensuellement la lèvre supérieure :
– Regarde bien comment je finis ton copain !
Et les dizaines de kilos de muscles surpuissants de sa cuisse se mirent à presser le thorax. Les solides orteils de Cléo n’eurent aucune difficulté à pénétrer dans le thorax de l’homme, brisant au passage une ou deux cotes.  Son avant pied pénétra à son tour dans la poitrine du garde qui réagit par des saccades spasmodiques. La fille avait maintenant enfoncé son pied jusqu’au talon, arrachant des vaisseaux, écrasant les poumons et peut-être perforant le cœur. L’homme fut agité d’un dernier spasme, puis son corps se détendit. Elle retira son pied avec un bruit de succion, laissant une plaie béante bouillonnante de sang qui s’échappait rapidement.
– Regarde de plus près
Dit elle à l’autre, le passant d’un étranglement du bras à un ciseau de cuisses, toujours le visage vers le bas, de façon à ce qu’il puisse voir le corps de son collègue affreusement torturé. Son cou et le bas de son visage étaient pris dans l’étau musculeux des cuisses de Cléo, qu’elle fermait doucement, broyant les os. Il vomit un torrent de sang. Lorsque ses cuisses furent presque collées l’une à l’autre, elle les ouvrit, laissant le corps sans vie choir à ses pieds. Elle essuya son pied souillé du sang du premier garde sur la veste du second. Néfertiti l’interpela :
– Tu ne trouves pas que tu es un peu gore ?
– Oui mais ca m’excite tellement ! , répondit-elle en remettant ses pieds dans ses chaussures, Attention derrière toi !
Effectivement, bien que paralysé par le coup de pied de Néfertiti, l’homme à terre près d’elle était parvenu à sortir son revolver et essayait de viser tout en grimaçant de douleur. Néfertiti le regarda par-dessus son épaule, et s’approcha de lui. Elle posa son pied sur l’arme et la main qui la tenait
– Oh c’est dangereux de jouer avec une arme à feu !
Elle appuya son pied, déclenchant un cri de l’homme. Marco regardait la scène fasciné. Il avait en même temps la nausée devant tant de cruauté. Il entendit le bruit maintenant habituel d’os broyés, puis le grincement de protestation du métal tordu : Néfertiti écrasait le revolver sous sa semelle. L’homme perdit à nouveau connaissance. Lorsqu’elle releva son pied, le canon de l’arme avait l’épaisseur d’une feuille de carton. Marco vit quelques fils sanguinolents, des restes de chair écrasés  relier brièvement le sol à la semelle souple de la cuissarde. Sans s’occuper d’avantage du massacre qu’elles venaient de commettre les deux filles se précipitèrent vers l’ascenseur.
– Oh zut il n’y a pas de bouton, c’est une clé !
– Et alors ?
Répondit Néfertiti en insérant ses doigts entre les deux battants. Elle écarta ses mains, tordant les portes de métal et brisant le mécanisme de fermeture automatique.
– Voulez vous vous accrocher à moi ?
Demanda-t-elle à monsieur Vaud, qui se plaça derrière elle, les bras autour de son cou. Marco en fit autant avec Cléo. Néfertiti sauta alors dans la cage d’ascenseur, et s’accrocha aux câbles. Elle descendit deux étages à la force des bras, et plaçant ses jambes à angle droit, les projeta en avant dans la porte fermée qui fut défoncée d’un seul coup. Un rétablissement en souplesse la projeta (avec son chargement accroché à son cou) dans un hall richement décoré de boiseries et de tapis orientaux. Cléo et Marco les suivaient.
A l’autre extrémité du hall, se trouvait une double porte imposante de sycomore. Sur le coté, derrière un bureau du même bois se tenait une secrétaire. L’intrusion des deux couples la frappa de stupeur. Monsieur Vaud s’adressa à Néfertiti
– Mon petit, voulez-vous demander une entrevue en urgence avec Jean Tinguely, s’il-vous plait ?
La brune athlétique s’avança sensuellement vers le bureau, les muscles de ses cuisses dansaient sous le daim souple des cuissardes qui formaient presqu’une seconde peau :
– Bonjour mademoiselle. Voulez vous annoncer monsieur Vaud s’il vous plait ?
La secrétaire semblait paralysée. La vision de cette fille hyper-musclée au décolleté outrageux, vétue d’un short hyper court et de cuissardes qui se déplaçait comme un mannequin avait quelque chose de surréaliste. Après quelques secondes elle reprit (un peu) ses esprits :
– Euh…monsieur Tinguely est…est  en rendez-vous à cet instant et…et il ne peut pas vous…recevoir.
Néfertiti s’approcha de la double porte. La secrétaire se leva et voulut se placer entre Néfertiti et la porte.
– Non, non, vous ne pouvez pas entrer, j’appelle la sécur….
Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase. Le coup de pied semi-circulaire partit avec une telle force qu’il enfonça la boite crânienne de la fille, son œil sortit de l’orbite sous la violence du choc, le pied de Néfertiti poursuivi son mouvement et arracha littéralement la tête de la secrétaire, qui alla rouler à quelques mètres, comme un ballon déformé, tandis que le tronc s’affaissait sur lui-même dans une gerbe de sang qui monta un instant à presqu’un mètre. Néfertiti eut juste le temps de se reculer pour ne pas être éclaboussée.
– Je ne vois pas en quoi je suis plus gore que toi !
Dit Cléo d’une voix amusée
– Oups ! Parfois je crois que je ne connais pas ma force
Répondit sa sœur en souriant et en prenant un air faussement contrit.
Pour Marco, la vue de la décapitation de la secrétaire était de trop. Il s’éloigna dans un coin du hall et se mit à vomir. Monsieur Vaud au contraire, paraissait apprécier le spectacle et regardait Néfertiti avec à la fois de la fierté et du désir.

[iceman75]

So is anyone going to translate this to English, no offense or anything, I just don't know how to read French or anything.

[Fonk]

Whoo! I'm like a machine, man!

—————————-

Lausanne's aerodrome was close to the city. Cleo and Marco were standing next to a building that screened the terminal and Customs when they saw Mr. Vaud's jet pull in to land perfectly. The plane turned at the end of the runway and pulled up next to the building. The noise of the engines died down completely. A hatch opened and Mr. Vaud got out, wearing a cream suit and club tie, flanked by Nefertiti, wearing a black suede jacket and silvery shorts, cut high up her thighs. The shorts neatly outlined her sex. Black suede thigh boots completed the ensemble. The material was very fine. She loved those boots. Wearing them was as easy as going barefoot to her. Unfortunately they were very fragile… and often tested when she smashed something with a kick, be it a door, wall or whatever, so she always carried a number of spare pairs. The two sisters hugged briefly. Marco greeted Nefertiti and his boss, and then the group headed for a taxi.

Nefertiti sat behind the driver with Mr. Vaud next to her. Cleo took the front passenger seat. Muneaux sat behind her. He put the briefcase between Mr. Vaud and himself. Nefertiti tapped the driver on the shoulder.

"Quai du Lac at Ouchy, please."

"OK."

They had been in the taxi for five minutes when Nefertiti realised he wasn't going towards the lake. The driver had now deliberately ignored signs for Ouchy – or even the town centre – for three consecutive junctions. It was getting more and more obvious that they were leaving Lausanne.

"Are you sure this is the way?" Nefertiti asked.

She didn't get a response but thought the driver seemed uneasy. He accelerated slightly. Nefertiti put her forearm around his neck, crushing him against the headrest.

"Where are we going?" No reply. Her grip tightened, making the seat crack slightly.

"Answer me!"

"Grrllllgggg," was all the driver could manage, strangled by the pressure of her forearm.

"We don't need to know where he's taking us, Nefertiti," Mr. Vaud said, "we're in a hurry. Get rid of him."

In one fluid movement Nefertiti contracted her forearm, crushing the man's throat, and ripped off the headrest, which offered little resistance given the pressure exerted by the young woman. The cracking of vertebrae was masked by the sound of the headrest's metallic structure bending and breaking through the thick material. The driver let go of the steering wheel to grip the flesh noose that was killing him, but it was no use. Cleo took control of the taxi and parked neatly. In a few seconds the driver was dead, a thin trickle of blood hanging from his mouth and nose. Nefertiti got out of the car, opened the driver's door, undid his seat belt and picked the body up with one hand. She effortlessly dragged it to the Citroën C5's boot, which she opened. She put the corpse in the boot, again with no apparent effort. It was a struggle, so she folded his body in half, bringing his butt next to his neck. Marco heard the long cracking of the spine, which broke in several places as the body was savagely bent. Two other cracking sounds, not as loud as the others, signalled that Nefertiti had had to break the man's legs as well to be able to shut the boot. This done, she sat in the driver's seat and turned the car around. Ten minutes later, they arrived at Tinguely's building. It was a modern building, perhaps built in the 90's, all glass and concrete. A uniformed guard was posted in front of the gigantic door, which was made of smoked glass covered in interlinked JT monograms. Seeing the taxi stop in front of the door and its four occupants get out, the man ran to them.

"You cannot park here!" he cried in a strong Vaudois accent.

Nefertiti handed him the keys to the car on her way past.

"Move it, then… and one of your colleagues is inside!"

She left the shocked gatekeeper as they all entered the building. Cleo headed straight for the information desk as the three others hung back. When she returned after having exchanged several words with the woman on the desk, she saw four men in black suits with black ties, shades and earpieces surround the group. She rejoined them at the moment one of them spoke.

"Follow us, please."

The four men surrounded Muneaux, Vaud and the two sisters and lead them to a lift. It spat them out a few moments later to face a large corridor paved with white sandstone and flanked by immaculate walls. It was bathed in a harsh light. The two sisters walked in front of the two men, still framed by the four bodyguards.

"What floor are we on?" Cleo demanded.

"I counted ten floors when we went up," Nefertiti replied.

"That's not right, the secretary said Tinguely's office is on the eighth floor…"

As she spoke Cleo stopped dead, and everyone followed suit. She exchanged a glance with Nefertiti, and the two girls went into action simultaneously. Everything happened very quickly.

Nefertiti kicked the bodyguard in front of her in the lower back. The man felt and heard a loud crack as the suede-covered foot had simply pulverised his lumbar column. The wracking pain swept right down to the feet and made his legs go dead. His knees bent and he fell to the floor, paralysed, just before the intensity of the pain made him lose consciousness. During that time, Nefertiti had cut off the second guard's respiration with an elbow to the thorax, breaking several ribs in the process. The man choked, leaning forward. She grabbed him by the ears and whacked his face against her chest, twice. It was as if he had been thrown into a concrete wall. His nose broke and his cheeks caved in. She raised his bleeding and beaten face to hers. She then took him firmly by the shoulder and turned his head through 180 degrees, cleanly breaking his cervical vertebrae. She left the body fall to the floor and turned to Cleo.

During this she had taken off her sandals and her silk-clad foot had crushed the testicles of the guard behind her with a skilful reverse kick. The man had crumpled with a loud cry. The other had turned around, and she had taken his head under her arm, tight enough that he wouldn't fight but not tight enough to strangle. The emasculated guard lay with his eyes wide open, hands at his crotch, shouting constantly. She turned to him and, with her foot, turned him onto his back. With the other guard still a prisoner of her armpit, she stood on tiptoes on his colleague's thorax. The curve of her foot reminded her of a practicing dancer. She smiled wickedly, curling her upper lip.

"Watch as I finish your friend!"

And her super-powerful thigh muscles started to press on his thorax. Cleo's solid toes had no problem penetrating the man's thorax, breaking a rib or two as they went. Her foot started to sink into the man's chest, who was spasming jerkily. The girl waited until her foot had sunk in up to the heel, tearing the sides away, crushing his lungs and maybe perforating his heart. The man was gripped by a final spasm before his body relaxed. She removed her foot with a horrible sucking noise, leaving a gaping hole from which hot blood was now leaking.

"Why not take a closer look?" she said to the other man, passing him from her arms to her scissor thighs, always keeping his head down, so that he could his colleague's horribly tortured body. His neck and lower face were caught in the vice that was Cleo's muscular thighs, which she closed slowly, crushing his bones. He vomited a torrent of blood. When her thighs had nearly come together, she opened them, letting the lifeless body slip to her feet. She cleaned her foot, covered in the blood of the first guard, on the jacket of the second.

"Don't you find that a bit gory?" Nefertiti asked.

"Yes, but I love it so much!" she said, slipping her feet back into her shoes. "Behind you!"

Even though he had been effectively paralysed by Nefertiti's kick, the man on the floor had managed to get his revolver out and was trying to aim through the pain. Nefertiti looked at him over her shoulder before going over to him. She put a foot on the weapon and the hand holding it.

"Didn't your mother ever tell you not to play with guns?" She pushed down with her foot, causing the man to cry out. Marco looked on, fascinated. He also felt nauseous in the face of so much cruelty. He heard the now commonplace noise of bones breaking, followed by the grinding of protesting metal being bent: Nefertiti had crushed the revolver under her foot. The man lost consciousness again. When she lifted her foot, the gun's barrel was the thickness of a piece of cardboard. Marco saw a few bloody trails and bits of crushed flesh on the sole of Nefertiti's shoe. No longer concerned with the massacre that they had just committed, the girls went to the lift.

"Oh no. There's no button, it must need a key!"

"That's no problem," Nefertiti replied, inserting her fingers in between the two doors. She separated her hands, bending the metal doors and breaking the automatic closing mechanism.

"Would you like to hang on to me?" she asked Mr. Vaud, who stood behind her, arms around her neck. Marco did the same with Cleo. Nefertiti jumped into the lift shaft and grabbed onto the cables. She dropped two floors using only the strength of her arms before bringing her legs straight out and breaking the lift doors down with one blow. A quick pull-up – still with her load intact – brought her into a hallway, richly decorated with panelling and oriental carpets. Cleo and Marco followed.

At the other end of the hall they found an imposing set of double doors made of sycamore. To one side, behind a desk made of the same wood, sat a secretary. The intrusion of the two couples made her jaw drop. Mr. Vaud addressed Nefertiti.

"Little one, will you ask for a meeting with Jean Tinguely for me, please? It's quite urgent."

The athletic girl wove her way sensually toward the desk, the muscles of her thighs dancing under the supple suede of her boots that was like a second skin.

"Good day, miss. Would you announce Mr. Vaud, please?"

The secretary seemed paralysed. The vision of the hyper-muscular woman with an outrageous cleavage, clad in tiny shorts and boots who walked like a model, seemed slightly surreal. After a few seconds, she seemed to gather (some of) her wits.

"Er… Mr. Tinguely is… is out of the office at the moment and… and he will not be able to… receive you."

Nefertiti approached the double doors. The secretary stood up, intending to stand between Nefertiti and the door.

"No, no, you can't go in. I'll have to call secur – "

She didn't get chance to finish her sentence. The roundhouse kick hit with such force that it caused the girl's skull to cave in, shooting an eye out of its socket with the shock. Nefertiti swung again and took the secretary's head clean off, which then rolled down the hallway for a few metres like an old balloon, as the rest of her body slumped in a shower of blood which went nearly a metre up. Nefertiti just managed to avoid getting covered in red.

"I don't see how you're any less bloodthirsty than me!" Cleo said in an amused voice.

"Oops! Sometimes I just don't know my own strength," her sister replied, taking on a falsely contrite air.

The sight of the secretary's decapitation was too much for Marco. He went a little way from the group and vomited. Mr. Vaud, on the other hand, seemed to appreciate the spectacle and looked at Nefertiti with a mixture of pride and desire.

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