[Mermoz]

Tribute to scat whose stories are so wonderful I tried to begin one. Not the same spirit of course, but I hope you readers will like it! Let me know! So here is the begining…In french of course, my english si so bad!!!

NEFERTITI

Marco était juste à l’heure. Il traversa le hall de marbre de la Global Trading Inc. En allongeant le pas, croisant des employés et des secrétaires qui vaquaient à leurs occupations. Il s’engouffra dans un des ascenseurs aux portes d’aluminium et appuya sur le bouton du 8ème étage.
Le 8ème étage était situé juste en dessous de l’étage privé de monsieur Vaud, et juste au dessus de celui de la direction générale. C’était l’étage ou l’on traitait des affaires privées de monsieur Vaud. C’était également celui où se réglaient les dossiers « borderline » comme on avait coutume de les appeler, ces dossiers qui requéraient le recours à des voies de résolution un peu en marge de la légalité. Mais comme monsieur Vaud avait coutume de dire : «  il n’y a qu’une loi, je la respecte, mais j’apprends aux autres à respecter mon interprétation de la loi ».
La secrétaire particulière de monsieur Vaud avait appelé Marco et lui avait demandé de monter directement. Lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, il se trouva en face d’un couloir tendu de tissu beige. Le sol était recouvert d’une épaisse moquette écrue. Des éclairages indirects baignaient l’endroit d’une clarté presque naturelle. En face de lui, à l’entrée du couloir, une employée se tenait derrière un petit bureau de verre et de métal. Elle invita du regard Marco à venir vers elle. Avant qu’il n’ait eu le temps de décliner son identité, elle s’adressa à lui dans un sourire :
– Monsieur Marc Muneaux ?
– C’est cela
– Je vous prie de me suivre, monsieur Vaud va vous recevoir
La jeune femme se leva. Elle était vêtue d’un tailleur crème. La mini-jupe très courte laissait admirer des jambes et des cuisses toniques et bien galbées gainées de bas ou de collant fumés.
Elle précéda Marco. Il promena doucement son regard des fesses qui tendaient le tissu de la mini-jupe aux escarpins brillants dont les talons aiguilles s’enfonçaient dans la moquette épaisse. La fille avait la démarche d’un mannequin. Elle s’arrêta vers le milieu du couloir devant une porte en palissandre, et pressa un bouton. On entendit une vibration, plus qu’une sonnerie, et presqu’immédiatement, un voyant vert s’alluma au dessus du bouton tandis qu’un bruit de gâche électrique claqua doucement. La fille tourna le bouton de porte et s’effaça pour laisser entrer Marco.
Il se trouva dans une immense pièce éclairée par une baie vitrée qui occupait tout un coté. Devant la baie vitrée, monsieur Vaud était assis à un bureau de palissandre.  Ce même bois tapissait les deux murs latéraux, et garnissait le plateau d’une table de réunion.
Marco s’avança d’un pas et sentit une présence près de lui. Il tourna légèrement la tête et découvrit une femme qui lui parut grande mais dont il ne put pas clairement voir la silhouette.
– Approchez Muneaux, venez vous assoir
– Certainement monsieur
Alors qu’il s’approchait du bureau, la femme le dépassa et contournant le meuble vint se placer près de monsieur Vaud. Elle était très grande, mais surtout très musclée. Ses cheveux noirs en carré long impeccablement disciplinés encadraient un visage volontaire, aux pommettes hautes. Ses yeux noirs étaient soulignés d’un maquillage sombre assez appuyé.  Elle était vêtue d’un justaucorps de cuir noir avec des parements dorés. Les manches de voile noir laissaient clairement distinguer les muscles des bras et des avant bras. Sa taille était fine, une mini-jupe de soie couvrait ses hanches solides. Ses cuisses puissamment musclées étaient gainées de noir. Elles étaient si imposantes qu’elles tendaient  le cuir souple de ses cuissardes à talons plats
Vaud ne prit pas la peine de faire les présentations, mais Marco reconnut immédiatement la garde du corps personnelle de son patron. Il ne l’avait jamais vue d’aussi près. On la disait d’origine égyptienne, et on lui prêtait une force surhumaine héritée des pharaons. Elle avait la réputation d’une cruauté sadique et il se murmurait qu’elle jouissait en tuant ses victimes à mains nues. Monsieur Vaud ne pouvait pas être mieux protégé.
Quand Marco fut assis dans le fauteuil de cuir rouge Vaud commença à parler :
– Vous travaillez pour moi depuis plus de cinq années, n’est-ce pas ?
– Oui monsieur
– Et je dois dire en lisant les notes de vos supérieurs que vous donnez toute satisfaction
– Merci
– Je lis ici que vous avez la culture d’entreprise et que vous avez à cœur de défendre la Global Trading dans toutes les circonstances
– Euh…je fais de mon mieux…
– Bien, bien…Je vais vous donner l’occasion de montrer votre fidélité à notre maison, et en même temps, je vais vous donner un témoignage de la confiance que j’ai en vous.
– Euh.merci monsieur, d’avoir pensé à moi….
– De rien ! Je vous explique de quoi il s’agit. C’est simple. Vous n’aurez qu’à transporter un document à Lausanne.
– Un document ?
– Peu importe de quoi il s’agit. C’est petit. Mais je ne tiens pas à ce que cela se sache. Je vous demande de la discrétion. Il se peut également que l’on cherche à intercepter ce document…Vous connaissez ces procédés hein….
– Oui, mais…
– Mais vous n’êtes pas un agent secret ! Je sais ! C’est justement pour cela que je fais appel à vous. Vous n’attirerez pas l’attention….Toutefois…
– Eh ?
– Toutefois, vous ne ferez pas ce voyage seul. Je vais vous octroyer un compagnon de route. A deux on s’en sort toujours mieux que seul n’est-ce pas ? mais je vous le répète, c’est une précaution bien inutile. Avez-vous des questions
– Et bien…
– Je vois que tout est clair, dans ce cas je vais laisser Néfertiti vous conduire à votre binôme.
Avant qu’il n’ait terminé de se lever, la jeune femme vint se placer à coté de Marco. Même avec ses talons plats elle le dépassait de plus d’une tête. Il faut dire qu’il n’était pas très athlétique : 1m72 pour 60 kg, il avait l’air d’un adolescent à coté d’elle. Etendant la main elle l’invita vers une porte dérobée qu’il n’avait pas remarquée dans le mur en palissandre.  Elle ouvrit, s’effaça et pénétra à sa suite.  La porte se referma. Ils étaient dans une sorte de sas meublé de 4 chaises aux 4 coins de la pièce. Entre les chaises se trouvaient deux  armoires laquées de blanc. La pièce comportait deux portes.  Néfertiti s’assit et retira ses cuissardes. Elle roulait le cuir comme des chaussettes. Elle abandonna les bottes souples dans un coin, ouvrit une armoire et se déshabilla totalement. Elle apparu nue à Marco. Il admira ses seins fermement plantés sur de puissants pectoraux, ses abdominaux ciselés, ses bras bien définis, et ses cuisses dont les imposantes masses musculaires ondulaient à chaque mouvement. Néfertiti passa une minirobe dorée, qui arrivait au ras de ses fesses et un string doré également. Ainsi vêtue, elle se planta devant lui, jambes légèrement écartées, pieds nus. La robe était si courte que Marco, assis voyait le fin tissu du string lutter contre le bombement de son sexe.  Elle le dévisagea quelques instants avant de prendre la parole :
– A partir de maintenant, monsieur Muneaux, vous devrez garder pour vous tout ce que vous allez voir. Si d’aventure vous veniez à parler ou même évoquer l’existence de cela, vous ne survivriez pas, monsieur Muneaux.
Sans attendre de réponse, elle se retourna et fit glisser la porte coulissante.
Néfertiti marchait à grandes enjambées sur le marbre froid, et il avait du mal à la suivre. Ils passèrent devant plusieurs portes, et à un moment Marco crut percevoir comme une plainte ou un gémissement, vite étouffé. Finalement, ils arrivèrent dans une sorte de salle de sport. La pièce était immense et parsemée de quelques appareils mais surtout d’impressionnants racks d’haltères. A quelques mètres, une jeune femme brune s’entrainait à donner des coups de pieds hauts dans un sac de frappe. Le bruit de ses coups claquait violement et trahissait la puissance de ses cuisses. A chaque contact une sorte de brume de poussière, comme une fumée, s’élevait du sac. Un homme à peu près de la corpulence de Marco essayait tant bien que mal de maintenir la stabilité du sac. Il éprouvait de grosses difficultés et à chaque coup le sac oscillait trainant le pauvre gars qui s’y accrochait. La fille était vêtue exactement comme Néfertiti, mais le string et la minirobe étaient argentés. Elle se retourna lorsqu’elle entendit les visiteurs, les regarda un instant ; puis elle prit un pas de recul, et exécuta un puissant coup de pied circulaire qui coupa littéralement le gros sac de frappe en deux, envoyant la parie inférieure et le type qui le tenait valdinguer à trois ou quatre mètres. Il tomba sur le dos, le morceau e sac au dessus de lui, glissa encore une ou deux mètres sur le marbre froid et s’immobilisa. Pendant ce temps, le sable de la partie supérieure du sac, restée attachée, se vidait dans un nuage de poussière. Néfertiti se dirigea vers la jeune femme :
– Voici Cléo, ma sœur. Elle vous accompagnera dans votre voyage.
Cléo était presqu’aussi grande que Néfertiti, et tout aussi musclée. Marco était encore sous le choc de sa démonstration de force. Son regard se porta du visage souriant de la fille au gars qui ne bougeait toujours pas sous le bout de sac. Il avait du s’assommer en tombant.  Le regard de Marco revint sur le pied de Cléo, qui avait frappé le sac. Un pied parfait, aux ongles manucurés, qui était simplement maculé jusque sur la cheville d’un peu de poussière et de sable. La jeune femme lui tendit très naturellement la main, et Marco la serra comme dans un état second.
– Bonjour ! Enchantée ! Monsieur….
– Muneaux, Marc Muneaux…
Sans un mot de plus, elle se dirigea vers un pupitre incliné pour faire des curls. Le gars sous le sac commençait à bouger pour se dégager du poids de sable.  Elle lui lança :
– Au lieu de rester allongé la dessous, amène moi un haltère de 60 kg !
L’homme se relevait péniblement et se dirigea en boitant vers un rack d’où il souleva avec beaucoup de difficulté le poids demandé. Il se dirigea vers le groupe en portant l’haltère à deux mains. Cléo s’adressa à sa sœur :
– Et je dois l’accompagner où
– A Lausanne
– Il a besoin de moi ?
– On espère que non !
– Pourquoi je n’ai jamais de mission avec de beaux garçons ? J’ai toujours des femmelettes ! Regarde le celui-là ! Il ne ressemble à rien
– Parce que justement c’est ce genre de type qui doit être protégé !
– Pfft !!!
Marco piqua un fard ! Entre ces deux déesses il était rouge de confusion. Elles le considéraient comme une sorte de sous homme, indigne d’elles. Le serviteur de Cloé arrivait à leur hauteur complètement essoufflé.
– Ah ben tu en as mis du temps ! donne !
Elle tendait la main, coude fléchi. Le gars dut faire un effort énorme en s’aidant de son genou pour lever l’haltère à la hauteur de la main de Cloé. Elle prit le poids et commença à faire des curls tout en parlant avec sa sœur de futilités. Pour elles, Marco n’existait même plus. Elle fit sans effort 5 séries du bras droit et autant du gauche. Marco regardait cela sans y croire. Elle exerçait  un seul bras avec un poids aussi lourd que lui !
Lorsqu’elle eut terminé elle s’adressa à nouveau à son valet, qui était allé s’asseoir contre un râtelier de poids.
– Tiens attrapes !
Elle posa l’haltère par terre et posa le pied sur la barre. Elle fit rouler un peu l’haltère d’avant en arrière sous son pied et lui donna une impulsion, l’envoyant à grande vitesse rouler vers le type assis. Celui-ci eut le temps de se mettre à genoux et de placer ses mains en avant pour arrêter l’objet, mais il arriva avec trop de force, et retourna simplement les mains du pauvre gars qui hurla de douleur. On entendit le choc de l’haltère s’arrêtant dans les genoux de l’homme accompagné d’un craquement : l’articulation avait du se briser. Il hurla une seconde fois et s’effondra en sanglotant.
– Ah je t’en prie arrête
Lança Cléo dans sa direction, sans même aller se rendre compte de l’importance de ses blessures, puis à l’intention des deux autres :
– Bon, je vais me préparer, j’en ai pour 5 à 10 minutes. On se rejoint au sas.

[Fonk]

In English! Hopefully I can get the other parts done soon too.

——————-

Nefertiti Part 1

Marco was just on time. He crossed the marble hall of Global Trading Inc. by taking long strides, passing employees and secretaries who made themselves look busy. He rushed into one of the lifts with the aluminium doors and pressed on the button for the eight floor.

The eighth floor was just underneath Mr. Vaud's private floor, and just above the general management's floor. It was on that floor that Mr. Vaud's private affairs were worked on. It was also that floor that dealt with the "borderline" dossiers, as they had become known; those dossiers that would require the use of methods on the edge of legality. However, as Mr. Vaud was known to say, "There is only one law, I respect it, but I will teach others to respect my interpretation of the law."

Mr. Vaud's personal secretary had called Marco and had asked him to come up directly. When the lift doors opened, he found himself facing a corridor decorated with beige material. The floor was covered by a thick ecru rug. Indirect lighting bathed the place in an almost natural light. Just ahead of him, at the entrance to the passage, a female employee sat at a desk made of glass and metal. She indicated that Marco should come towards her with a look. Before he had had chance to say his name, she spoke, smiling.

"Mister Marc Muneaux?"

"That's right."

"Please follow me, Mr. Vaud will see you now."

The young woman stood. She was dressed in a cream suit. The very short miniskirt showed off her toned, well-formed thighs and legs clad in stockings or dark tights.

She went ahead of Marco. He quietly took in her butt, which stretched the fabric of the miniskirt, and worked his gaze down to her heels, which pushed into the thick rug. The girl strutted like a model. She stopped in the middle of the corridor in front of a rosewood door and pushed a button. There was a vibration more than a sound and, almost immediately, a green light went on above the button as the door unlocked mechanically. The girl turned the doorknob and stood out of the way to let Marco pass.

He found himself in a huge room, lit by a picture window that covered one wall. Mr. Vaud was sitting at a rosewood desk in front of the window. The same wood had been used on the two walls next to Marco and covered a large table, obviously used for meetings.

Marco took a step forward and sensed a presence near to him. He turned his head and discovered a woman who seemed tall, despite the fact that he couldn't make her out clearly.

"Come closer, Muneaux, and sit down."

"Certainly, sir."

As he came toward the desk, the woman went ahead and round it to place herself near to Mr. Vaud. She was very tall, and definitely very muscular. Her long, straight, perfect black hair framed a determined face with high cheekbones. Her black eyes were underlined by a thick, dark eyeliner. She was clothed in a black leather leotard with gold facings. Sleeves of black netting meant you could clearly distinguish the muscles in her arms and forearms. Her waist was small and a silk miniskirt covered her solid hips. Her powerfully muscular thighs were clad in black. They were so imposing that she was stretching the leather of her high heeled thigh-length boots.

Vaud didn't bother with introductions, but Marco immediately recognised his boss's personal bodyguard. He had never seen her up close. She looked as if she might be Egyptian, and some said she had inherited some superhuman power from the Pharaohs. She had a reputation for sadistic cruelty and the rumour was that she orgasmed when she killed people with her bare hands. Mr. Vaud could not be better protected.

When Marco had sat in the red leather armchair Vaud spoke.

"You have been working here for five years, have you not?"

"Yes sir."

"And your file tells me that your superiors are more than satisfied with you."

"Thank you."

"It says here that you have a good business brain and will defend Global Trading in any circumstance."

"Er… I do my best…"

"Good, good… I am going to give you the chance to demonstrate your loyalty to the company and, at the same time, prove to you that I have confidence in you."

"Er, thank you, sir, to have thought of me…"

"No problem! I will explain what it's about. It's easy. You only have to transport a document to Lausanne."

"A document?"

"Don't worry about what it contains. It's small. But I don't want anyone to know about its movements. I want you to be discreet. It is possible that people are looking for this document… I'm sure you know how it is…"

"Yes, but…"

"But you are not a secret agent! I know! That's exactly why I have chosen you. You will not attract attention. However…"

"What?"

"However, you will not be making the journey alone. I am going to permit you to have a travelling companion. Two heads are better than one, are they not? I just want you to know, it's simply a precaution. Do you have any questions?"

"Well…"

"I see. In that case, I will let Nefertiti introduce you to your partner."

Before he had had chance to stand, the young woman was already at his side. Even with flat shoes she was more than a head taller than him. Marco was not very athletic: five foot eight and sixty kilos – he looked like a teenager next to her. She beckoned him towards a hidden door that he hadn't noticed in the rosewood wall. It opened and slid into the wall, closing neatly behind them. They were in a sort of changing room, furnished with a chair in each corner. In between the chairs were two white gloss wardrobes. The room had two entrances. Nefertiti sat down and removed her boots. She rolled up the leather like a pair of socks. She threw the boots into a corner, opened a wardrobe and stripped completely. She was naked in front of Marco. He admired her breasts, firmly planted on powerful pectorals; her chiseled abdominals; her well-defined arms and her thighs, whose imposing muscular masses rippled as she moved. She put on a golden microdress which just covered her butt and a golden G-string. She stood in front of him, dressed thus, legs slightly apart, wearing nothing on her feet. The dress was so short that Marco could see the fine fabric of her G-string fight against the bulge of her sex. She stared at him for a few moments before speaking.

"From now on, Mr. Muneaux, you should keep everything you see to yourself. If you mention or even hint to the existence of anything you see, you will not survive, Mr. Muneaux."

Without waiting for a reply, she turned and slid the door open.

Nefertiti took great strides across the cold marble and he had trouble keeping up. They passed in front of several doors and for a moment Marco thought he heard a cry or a moan, but the sound was quickly stifled. Finally, they arrived in a sort of gymnasium. The room was huge, littered with machines and lots of impressive racks of dumbbells. A few metres away a young, dark woman was training, delivering high kicks to a punchbag. The blows cracked loudly, giving away the power in her thighs. Each hit brought out a sort of cloud of dust, like fog, from the bag. A man shaped a little like Marco was trying to hold the bag in position. He was having great difficulty – with each blow the bag shook, taking the poor man with it as he clung on. The girl was dressed exactly like Nefertiti, though the G-string and microdress were silver. She turned when she heard the visitors and looked at them for a moment before taking a step back and delivering a powerful roundhouse kick which literally split the bag in half, sending the smaller part and the guy who was holding on flying backwards three or four metres. He fell on his back and the part of the bag fell on top of him. The two slid a metre or two further away on the cold marble before stopping. During this time, the sand left in the large part of the bag – the part which had stayed attached to the ceiling – emptied in a cloud of dust. Nefertiti went towards the young woman.

"This is Cleo, my sister. She will accompany you on your journey."

Cleo was nearly as tall as Nefertiti, but just as muscular. Marco was still shocked by her demonstration of strength. He looked from the girl's smiling face to the guy who still wasn't moving under the piece of the punchbag. He must have got knocked out as he fell. Marco looked at Cleo's foot, the one that had kicked the bag. A perfect foot, with painted nails, stained a little up to the ankle with sand from the punchbag. The young woman held her hand out, and Marco shook it, completely spaced out.

"Hello! Delighted to meet you, Mr…."

"Muneaux, Marc Muneaux…"

Without another word, she walked to an inclined bench to do some curls. The guy under the bag started to move, trying to get out from under it. She spoke to him:

"Instead of staying under there, get me a sixty kilo dumbbell!"

The man got up with difficulty and limped towards a rack from which he took, with great difficulty, the weight she wanted. He tottered towards the group, holding it in both hands. Cleo spoke to her sister:

"And where will I be taking him?"

"To Lausanne."

"Does he need me?"

"Let's hope not!"

"Why don't I ever get a mission with some sexy guys? I always hang around with little girls! Look at him! He's nothing."

"And that's exactly why you'll have to protect him!"

Cleo sighed. Marco went bright red! He was full of confusion between these two goddesses. They thought of him as a kind of sub-human, unworthy of them. Cleo's servant arrived then, totally out of breath.

"Well you took your time! Hand it over!"

She held out her hand, elbow bent. The guy made an enormous effort and, with the help of his knee, lifted the dumbbell to Cleo's hand. She took the weight and began to curl it, all the while talking trivialities with her sister. For them, Marco no longer existed. She effortlessly did five sets with her right arm, and the same with her left. Marco looked on, disbelieving. She was exercising her arm with a weight as heavy as he was! When she'd finished, she spoke again to her servant, who had gone to sit down on a rack.

"Here, take this!"

She put the dumbbell down and put her foot on the bar between the weights. She rolled it around a little, like a footballer working on her control, before kicking it with her heel, sending it at great speed towards the guy. He had enough time to get on his knees and put his hands out to stop the object, but it had been hit too hard and rolled over his hands. The man cried out with pain. They heard the dumbbell stop at his knees with a loud crack: his knees must have broken. He cried a second time and collapsed, crying.

"Oh come on, shut up," Cleo said to him, without even going over to see how serious his injuries were. Then she spoke to the others.

"OK, I'll go and get ready. It'll take five or ten minutes. I'll meet you in the changing room."

[Seldom]

Oh great stuff! Can't wait to read the rest! This makes me wish I could read French.

— Seldom

[Mermoz]

A big thank you to fonk who take time to translate the story, thank you too seldom for your kind words. Stay tuned for part five, where Nefertiti herself comes in. I think the two girls will wreck havock in swizerland (a soo peaceful country before they came in)!

[Author]

Posts