[Mermoz]

Hello Here is the last part of Nefertiti story. Let me know your comments and suggestions, do you like this type of story? What would you like to see?

Celle-ci n’eut même pas un regard pour le corps de la secrétaire qui s’affaissait sur lui-même et se dirigea vers la double porte de bois. Un coup de pied claqua qui fit trembler les murs. Le bois vola en éclat dévoilant une porte métallique qui fut déformée par le choc.
– Oh merde ! elle est blindée !
Dit Cléo en s’avançant pour arracher un battant. Néfertiti l’arrêta :
– Attends ! Je peux taper bien plus fort !
Elle contracta les muscles de ses cuisses, tendant à la limite du craquement le daim de ses cuissardes. Marco entendit le coup plus qu’il ne le vit, tant la jambe fut propulsée dans un éclair. Il ressentit l’onde de choc jusque dans le plancher de la pièce. Un battant de la lourde porte blindée fut projeté à l’intérieur. L’autre battant, complètement tordu tenait vaguement au chambranle par un gond branlant, menaçant de tomber à terre.  Un discret sourire de satisfaction éclaira un instant le visage de Néfertiti qui s’avança dans la pièce avec Cléo suivies des deux hommes.
Dans le Bureau de Tinguely, leur entrée semblait avoir figé les occupants. Leurs regards abasourdis se tournaient tous vers le trou béant qui avait été une porte blindée. Tinguely était debout derrière son bureau. Face à lui, un homme d’une trentaine d’années assez fluet était assis. Un dossier ouvert était posé sur le bureau devant lui. Au bout du bureau une jeune femme blonde dans un tailleur écru se tenait debout : l’assistante personnelle de Tinguely. Tous les trois observaient l’arrivée des deux filles musculeuses suivies de Vaud et de Marco. Néfertiti et Cléo s’écartèrent un peu, encadrant les deux hommes. Vaud Prit la parole
– Nous avons eu tellement de difficultés à amener cette sacoche que je me suis déplacé moi-même…
Tinguely avait compris qu’il était percé à jour. Il eut un instant d’affolement, perceptible dans son regard, puis il reprit sa composition. Sa main bougeait imperceptiblement sous son bureau
– Bonne idée ! repris Vaud, Appelle la sécurité. Ces deux demoiselles vont te démontrer ce dont elles sont capables.
A ce moment, deux gardes du corps jaillirent d’une porte dérobée, arme au poing et s’écartèrent l’un de l’autre. Néfertiti s’élança et d’un saut périlleux avant lança ses deux pieds joints dans le thorax d’un des deux gardes. Il tomba sur le dos et Néfertiti atterrit debout sur sa poitrine, qui fut écrasée sous l’impact. Les cotes craquèrent et perforèrent le cœur et les poumons.  L’homme tourna ses yeux grand ouverts et vitreux vers Tinguely tandis que sa bouche entrouverte laissait échapper un filet de sang. Néfertiti s’était déjà propulsée dans un double saut périlleux arrière et passait au dessus du deuxième garde en attrapant son cou de sa main droite. Elle atterrit cette fois ci debout juste derrière le garde, la tête de celui-ci prisonnière entre son bras et son épaule. L’homme était étranglé et cherchait à assurer sa main sur son pistolet. Il n’en n’eut pas le temps, car dans une contraction de tout son corps, Néfertiti lui brisa la nuque. Tinguely eut un sursaut en entendant le craquement des vertèbres broyées. La fille se tourna vers lui et dans une pose sexy lui envoya un baiser tout en relâchant le cadavre qui glissa à terre derrière elle.
Au même moment, un bruit électrique s’éleva d’un coin de la pièce. Une sorte de robot ressemblant à un gros aspirateur rond, d’environ 1 m20 de haut et muni d’un tuyau terminé par une sorte de petit canon roulait vers les intrus. Tinguely eut un sourire
– On va voir si vous êtes aussi fortes contre un robot que contre un banal gardien !
Cléo se précipita devant le robot et saisit le canon dans une main. Elle tira dessus et l’arracha. Elle l’agita devant la machine et le brisa en deux. Le robot était arrêté devant la fille et ne semblait pas savoir quoi faire. Cléo se pencha en avant et saisit la machine à bras le corps. Elle se releva soulevant la machine du sol. Elle devait peser plus de 150 kg mais ce n’était qu’un fétu entre les bras de Cléo. La fille serra. Pendant un instant, rien ne se passa puis le robot fut écrasé dans son étreinte comme du vulgaire papier d’aluminium. Elle le tordit et le déforma, puis elle le souleva au dessus de sa tête dans un mouvement fluide et le lança en direction de Tinguely. Il vola au dessus du bureau et s’écrasa contre le mur dans un nuage de plâtre et de poussière de briques.
Cléo se tenait debout devant le bureau, sa mini jupe révélant ses cuisses puissantes gainées de bas noirs, une main sur une hanche. Elle s’adressa à Tinguely :
– Vous n’avez rien de mieux ?
Tinguely les regardait, bouche bée. Aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Il était littéralement abasourdi par les démonstrations de force auxquelles il venait d’assister.
Néfertiti, escortée de Cléo s’approchèrent de lui sur un signe de Monsieur Vaud. Néfertiti se plaça juste devant lui. Elle le dominait de sa stature et de sa carrure. Il sentit ses seins durs se plaquer contre son thorax. Elle continua d’avancer, le forçant à reculer jusqu’à ce qu’il soit plaqué contre le mur ; puis elle lui saisit l’avant bras droit et le plaça horizontalement contre le mur.
– Cléo, veux tu installer monsieur confortablement ?
Sans dire un mot, Cléo exécuta un coup de pied circulaire et son talon aiguille vint se planter dans le mur après avoir traversé le poignet de Tinguely. Il poussa un hurlement qui se termina en sanglots. Elle resta quelques secondes sans bouger, puis fit glisser son pied de la sandale. Prenant appui sur son pied uniquement vêtu de son bas, elle renouvela l’opération avec l’autre bras que Néfertiti avait placé en croix. Le talon émit une sorte de claquement en s’enfonçant profondément dans le mur de briques. Tinguely hurla de nouveau. Cela couvrit le discret chuintement du bas glissant hors de la deuxième chaussure.  Les deux filles  s’éloignèrent de quelques pas laissant l’homme littéralement cloué au mur par la paire de sandales de Cléo.
La secrétaire complètement affolée par la scène se mit à courir désespérément vers la porte béante. En deux bonds Néfertiti l’avait rattrapée. L’assistante de Tinguely était une jeune femme sexy et bien faite mais auprès de Néfertiti, elle paraissait terne et sans charme. Marco regardait les fessiers puissants gainés du short argenté qui lui collaient comme une seconde peau, laissant entrevoir la séparation des fesses et les comparait au postérieur de la secrétaire. Son regard descendit sur les cuisses musculeuses de la garde du corps au moins deux fois plus épaisses que celles de l’autre fille.  Néfertiti la saisit par le cou et la stoppa net.
– Ou tu va toi ?
– Rrrggggglll
Elle la souleva d’une seule main et revint vers le groupe. Elle l’assit sur une chaise à coté de l’homme qui regardait son patron crucifié sans oser bouger. La jeune femme s’effondra en larmes sur le bureau. Néfertiti et Cléo vinrent se placer autour de monsieur Vaud qui s’approcha de leur victime crucifiée. Il parlait d’une voix douce et apaisante :
– Bien, maintenant que tout est calme vous allez m’expliquer pourquoi il est si dangereux de vous porter des documents monsieur Tinguely ?
L’homme détourna la tête dans une grimace de douleur, car cela tirait sur son avant bras cloué au mur. Vaud reprit :
– Souhaitez-vous me donner les explications que j’attends ou bien dois-je demander à Néfertiti et Cléo de vous inciter à parler ?
– Allez en enfer !
– Bien….Mesdemoiselles, brisez lui les jambes.
Les deux filles s’approchaient de Tinguely. Néfertiti saisit une de ses cuisses et la plaça entre les siennes. Elle serra. Marco vit ses cuisses et ses fessiers se contracter. Au bout de quelques secondes  la douleur fut telle que Tinguely se mit à gémir. Le fémur craqua une fois, deux fois trois fois alors que Néfertiti frottait son pubis sur la cuisse de l’homme. Elle écarta les jambes, le membre broyé de l’homme retomba. Il sanglotait, n’ayant plus la force de crier.
– A ton tour Cléo
Dit Néfertiti en s’écartant. Cléo leva son pied à la hauteur du visage de l’homme
– Lèche
Il s’exécuta
– Lèche bien, enduit bien mon bas de ta salive….
Il lécha presque goulument le pied qui était devant lui, happant les orteils, passant sa langue sur le nylon du bas. Au bout d’une minute ou deux,  Cléo recula son pied, et de la plante frappa le genou de l’homme. Il fut secoué par le choc. L’articulation éclata littéralement laissant une plaie béante et une jambe qui pendait retenue seulement par quelques ligaments.  Vaud le laissa sangloter quelques instants puis reprit de sa voix douce :
– Allons Tinguely, doivent-elles poursuivre ? Ou peut-être demander à tes employés s’ils savent quelque chose ?
– Non…Non… ils ne savent rien…Laissez les !!
– Alors vas-y parles !!
– Oui…oui… j’ai fait une erreur…Je …je pensais pouvoir les revendre plus cher
– A qui ?
– Je ne sais pas au juste qui est le commanditaire. Peut-être le moyen orient…peut-être les russes. Je connais juste mon contact. De toute façon si vous ne me tuez pas il le fera….
– C’est juste. Mais moi, on ne me double pas. Cléo !
Vaud claqua dans ses doigts en désignant le prisonnier. Cléo s’approcha de lui, posa son pied sur son visage, le collant au mur. Marco vit alors les muscles de sa cuisse se contracter, se gonfler, puis il entendit les premiers craquements. Ils devinrent de plus en plus intenses. La tête se déformait sous la pression du pied gainé de noir. Elle devenait ovale, s’aplatissait, puis elle s’écrasa, laissant jaillir de la substance cérébrale et du sang. Vaud semblait jouir de ce spectacle. Lorsqu’elle eut terminé, Cléo vint près de lui et se colla contre lui, lui caressant le torse. Il resta ainsi quelques instants, regardant le sang couler sur le mur en caressant la meurtrière, puis semblant se ressaisir :
– Bon assez joué. Les filles finissez-moi ces deux gugusses et on s’en va.
Néfertiti saisit les cheveux de la fille et lui releva le visage. Elle regarda ses yeux implorants qui lui adressaient une prière silencieuse, puis elle frappa violement la tête contre le bureau : le crane fut fracturé, et le bureau brisé sous le choc. Cléo s’approcha de l’homme, lui prit la tête dans les deux mains et l’approcha de son visage. Elle l’embrassa, sa langue forçant la bouche de l’homme et explorant son palais, sa glotte. Elle rompit son long baiser laissant son partenaire sans souffle. Elle le regarda puis d’un coup tourna sa tête à 180°. Un craquement, et il mourut.
Dans l’avion qui les ramenait à Paris, Néfertiti était allongée sur un divan
– Monsieur Muneaux, pouvez-vous venir près de moi s’il vous plait ?
– Oui bien sur
Elle agita ses orteils devant son nez
– Massez-moi les pieds
Marco s’agenouilla et massa les pieds de Néfertiti. A coté de lui trainaient els cuissardes de daim souple. Il lui sembla voir une trace de sang ou de fluide séché et quelques cheveux collés à la semelle

[scat]

j'aime bien le style! Pour l'histoire, reconnais que c'est un peu gore.
Le top, se serait Néfertiti en version

#62258

[Fonk]

He didn't even look at the secretary's body, which was slowly folding up on itself, and walked over to the wooden double doors. A kick fit to rock the walls later and the wood blew to bits, revealing a second metallic door, bent inwards slightly from the blow.

"Dammit! It's armour-plated!" Cleo said, bearing down on it to tear it from its frame. Nefertiti stopped her.

"Wait! I can kick harder!"

She contracted her thigh muscles, stretching the suede of her boots to the limit. Her leg moved so quickly that Marco heard the blow more than saw it: it was like a bolt of lightning. He felt the shockwave ripple up the ceiling. One of the large metal doors was projected into the room; the other, bent and twisted, hung to the frame by a single hinge, threatening to fall to the floor. A small smile of satisfaction lit Nefertiti's face for an instant, who walked into the room with Cleo and the two men.

Their entrance into Tinguely's office seemed to have frozen its occupants to the spot. Their astonished looks all turned to the gaping hole that had once been an armour-plated door. Tinguely was stood behind his desk. A slight man of around thirty sat facing him. An open dossier was on the desk in front of him. At the end of the desk a young blonde woman in an ecru suit stood: Tinguely's personal assistant. All three watched the arrival of the two muscular girls, followed by Vaud and Marco. Nefertiti and Cleo separated slightly, to frame the two men. Vaud broke the silence.

"We had so much trouble delivering this little bag that I had to take over the operation myself…"

Tinguely knew the game was up. He had a momentary panic, visible on his face, before regaining his composure. His hand moved imperceptibly under the desk.

"Good idea!" Vaud continued. "Call security. These two girls will show you what they can do."

At that moment, two bodyguards sprang out of a hidden door, guns in their hands, and spread out. Nefertiti somersaulted over and launched her feet into the thorax of one of the men. He fell onto his back and Nefertiti landed on his chest, which was crushed on impact. Ribs cracked, perforating his heart and lungs. The man opened his bloody eyes wide and looked over to Tinguely, his half-open mouth spurting a thin trickle of blood. Nefertiti had already turned a backwards double somersault, passing over the second guard's head, grabbing his neck with her right hand. She landed just behind the guard this time, whose head was trapped between her arm and shoulder. The man was being strangled and took tighter grip of his pistol. He didn't have time to use it, as with one contraction Nefertiti had broken his neck. Tinguely jumped when he heard the cracking of vertebrae. The girl turned to him and, in a sexy pose, sent him a kiss as she let go of the body, which slipped to the floor behind her.

At the same time, an electronic noise began to sound in one corner of the room. A sort of robot, resembling a large round vacuum cleaner about four feet tall and armed with a little cannon rolled towards the intruders. Tinguely smiled.

"We shall see if you can beat the robot as easily as my bodyguards!"

Cleo went towards the robot and grabbed the cannon in one hand. She pulled on it, tearing it off. She shook it at the machine before breaking it in two. The robot had stopped in front of the girl, looking for all the world like a lost little boy. Cleo leaned forward and grabbed the machine, lifting it off the floor. It must have weighed more than 150kg but it was like a feather in Cleo's arms. She squeezed. Nothing happened for a moment, but then the robot was crushed in her grip like a piece of paper or aluminium. She bent and twisted it into a ball, which she then lifted over her head and in one fluid movement threw it at Tinguely. He ducked under his desk for cover as it crashed against the wall, sending plaster and brick dust around him.

Cleo stood in front of the desk, her miniskirt revealing her powerful thighs through the dark stockings, one hand on her hip.

"Haven't you got anything better?" she asked.

Tinguely looked at them, slack-jawed. He couldn't speak. He was literally stupefied by the feats of strength he had just witnessed. Nefertiti, accompanied by Cleo, approached him at a sign from Mr. Vaud. Nefertiti stood just in front of him. She dominated him with her stature and build. He felt firm breasts push against his ribcage. She continued to walk forward, forcing him to retreat until he was trapped against the wall; then she seized his right forearm and pulled it out horizontally against the wall.

"Cleo, could you make sure Sir is comfortable?"

Without saying a word, Cleo did a roundhouse kick, and sticking her high heel into the wall… through Tinguely's wrist. He howled in pain and started sobbing. She stayed like that for a few moments, then slid her foot out of the shoe. Using her stocking-only foot for support, she repeated the operation with the other arm that Nefertiti had put out, like a cross. The heel made a sort of clicking as it was thrust deeply into the brick wall. Tinguely cried again, covering the discreet sound of Cleo sliding her foot out of the shoe. The two girls stood back, leaving the man literally stuck to the wall by Cleo's shoes.

The secretary, horrified by everything she had witnessed, ran for the door. Nefertiti caught her in two strides. Tinguely's assistant was a young, sexy woman, but next to Nefertiti she seemed drab and charmless. Marco looked at the powerful glutes clothed in silvery shorts that stuck to her like a second skin, leaving a glimpse of her buttcrack, and compared them to the secretary's. He looked down to the muscular thighs of the bodyguard, at least twice as thick as those of the secretary. Nefertiti grabbed her by the neck to stop her.

"And where do you think you're going?"

"Rrrggggglll!"

She lifted the woman with one hand and came back to the group. She sat her in a chair next to Tinguely, and she looked up at her crucified boss without daring to move. The young woman burst into tears on the desk. Nefertiti and Cleo went to Mr. Vaud's side and approached their victim. He spoke with a gentle, appeasing voice.

"Well, now that that's all sorted out, could you explain to me why it is so dangerous to send documents to you, Mr. Tinguely?"

The man turned his head in a grimace of pain, as the motion pulled on his forearms. Vaud spoke again.

"Would you like to answer my questions, or must I invite Nefertiti and Cleo here to make you speak to me?"

"Go to hell!"

"Very well… ladies, break his legs."

The two girls approached Tinguely. Nefertiti took one of his thighs and put it in between hers. She squeezed: Marco saw her thighs and glutes contract. After a few moments the pain was too much and Tinguely started to groan. His femur cracked once, twice, three times, as Nefertiti rubbed her pelvis against the man's thigh. She spread her legs and the man's broken limb fell limply. He sobbed, now lacking the strength to cry.

"Your turn, Cleo!" Nefertiti said, moving away. Cleo lifted her foot to the level of the man's face.

"Lick." He obeyed.

"Lick it well, I want my stockings to be dripping with your saliva."

He almost hungrily licked the foot in front of him, almost snapping up her toes and passing his tongue along the nylon stockings. After a minute or two, Cleo drew her foot back, and kicked his knee with the sole of her foot. He was shaken by the blow. The joint literally splintered into pieces, leaving a gaping, angry wound and a leg held together by a few ligaments. Vaud let him sob for a few moments before speaking again in his gentle voice.

"So, Tinguely, should they continue? Or should I ask your employees if they know something?"

"No.. no… they know nothing… leave them alone!!"

"So tell me what I want to know!!"

"Yes… yes… I made a mistake… I… I thought I could sell them on for more."

"To who?"

"I don't know who the buyer was, honestly. Maybe from the Middle East… maybe the Russians. I only know my contact. In any case if you don't kill me they will…"

"That's fair. But, just so you know, you do not double-cross me. Cleo!"

Vaud clicked his fingers, designating the prisoner. Cleo went up to him, putting her foot into his face, sticking it to the wall. Marco then saw the muscles of her thigh contract and inflate before he heard the first cracks. They became more and more intense. His head was deforming under the pressure of her foot. It became oval, then flattened out before being crushed, causing brains and blood to spurt out. Vaud loved every second. When she had finished, Cleo went up to him and stood close to him, caressing his chest. They stayed like that for a few moments, watching the blood running down the wall and caressing the murderer, before seeming to pull himself together.

"OK, well done. Girls, finish these two clowns and we'll be off."

Nefertiti seized the girl's hair and lifted her head. She looked into the imploring eyes, eyes that offered her a silent prayer, before ramming her head against the desk: her skull fractured, and the desk broke in two. Cleo approached the man, took his head in her hands and moved close. She kissed him, forcing her tongue into the man's mouth and exploring his palate and throat. She broke the kiss, leaving the man breathless. She looked at him and suddenly turned his head 180 degrees. A crack, and he died.

In the plane back to Paris, Nefertiti was spread out on a divan.

"Mister Muneaux, could you come here to me please?"

"Yes, of course."

She wiggled her toes in front of his nose.

"Massage my feet."

Marco knelt down and massaged Nefertiti's feet. Next to him were the discarded suede boots. He thought he saw a trace of blood or other fluid which had dried, and a few hairs stuck to its sole.

———————

Pour moi-même, j'aimerais voir les filles en club, ou quelque part où elles pourraient s'amuser, sans tuer tant de gens. En tout cas, merci d'avoir écrit!

And please excuse my French… :-[

[Mermoz]

Exellente suggestion scat d'une histoire molins gore. 😉 Merci pour le commentaire

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