new generation 5 (in french) – (NSFW)

Viewing 5 posts - 1 through 5 (of 5 total)
  • Author
    Posts
  • #48190
    scat
    Participant

                                nouvelle generation – ch 5

    " Je ne comprend pas… Je ne me souviens de rien ! " m'écriai-je.

    " Tu ne devrais même pas te souvenir d'Irina ! " répondit Gilles en fronçant les sourcils et jettant un regard inquisiteur à sa fille. Il se retourna vers moi et poursuivit :

    " Tu as été drogué et hypnotisé ! "

    " Quoi ? … Tu veux dire que tu m'as drogué ? Toi, mon ami ? "

              Gilles baissa la tête.

    " Ne t'en fais pas … il n'y aura pas de sequelles. De toutes façons, je n'avais pas le choix ! "

              En temps normal, les questions se seraient bousculées dans ma tête mais je n'étais pas en mesure de réfléchir : tandis qu'Adriana et Natacha me carressaient les bras et les jambes, Irina me massait délicatement les tempes. Leurs doigts délicats drainaient, hors de moi, mon stress, mes doutes, mes interrogations. Même mes forces semblaient me quitter peu à peu. J'avais l'impression de flotter : je me sentais bien, tout simplement. Je commençais même à m'assoupir.

              Gilles poussa un soupir. Il bu son verre cul sec et le frappa contre la table. Je relevai péniblement les paupières. Il faisait signe aux filles de quitter la pièce. Elles se levèrent immédiatement et disparurent dans le hall. Ensuite, il me regarda fixement et continua :

    " En lisant le journal, je suis tombé, par hasard, sur un article concernant ton procès pour vol. Je me suis rappelé les années que nous avons passées ensemble. Alors, au nom de notre vieille amitié, j'ai envoyé Irina te sortir de ce mauvais pas. Elle t'a ramené ici comme l'a fait Adriana aujourd'hui. Normalement, nous aurions du clôturer la journée par un repas entre amis puis j'aurai appelé un taxi et fin de l'histoire. "

              A ce moment, je commençai à reprendre conscience. Les questions défilèrent dans ma tête, mêlées d'images des évènements de la journée : Adriana, le café, des muscles, les filles de Gilles, encore des muscles, des regards, des robes, des escarpins, toujours des muscles, des mouvements de hanches ennivrants … Je secouai la tête comme pour ôter de mon esprit toutes ces pensées. Je n'y arrivai pas, évidemment.

              Gilles poursuivit :

    " Le fait est que lorsque tu es arrivé, tu avais perdu connaissance. Nous t'avons donc laissé dans une chambre d'ami. Tu as dormi toute la nuit et tu t'es réveillé le lendemain, en milieu de matinée. Au château, tout le monde vaquait à ses occupations, si bien que personne n'a prété attention à toi… Ne ne sachant pas où tu étais, je suppose,… tu as voulu te rendre compte par toi même. Tu t'es baladé dans le château, ensuite dans le parc et puis … et puis tu as vu des choses que tu n'aurais pas du voir… "

              J'interrompis Gilles :

    " C'est pour çà que vous m'avez fait un lavage de cerveau ! "

    " Exactement ! "

    " Mais alors, … pourquoi me raconter tout çà aujourd'hui ? "

    " Tu vas avoir l'occasion d'y réfléchir cette nuit ! " s'exclama Gilles avec un petit sourire.

              J'allais m'appréter à assaillir Gilles de questions lorsque Natacha réapparut dans la pièce.  Je resta immobile, un instant, puis je croisa mes jambes pour cacher mon érection grandissante. Je ne sais pas ce qui m'excita, à ce moment là : la vision de son corps musculeux à peine dissimulé dans une petite nuisette de soie ou le souvenir de ses doigts, quelques instants plus tôt, broyant une bûche de la grosseur de ma cuisse. Elle ne faisait pourtant rien de nature à me séduire: elle se contentait de sourire en s'approchant de nous.

              Lorsqu'elle s'arrêta à nos côtés, Gilles se leva pour lui souhaiter une bonne nuit. Je fis de même. Natacha se tenait bien droite devant son père et je ne pus m'empêcher de remarquer la différence de taille entre les deux. Il se tenait bien droit, lui aussi, les bras le long du corps, et une dizaine de centimètres séparaient encore son crâne de la naissance des seins de sa fille. Je savais Gilles de ma corpulence et m'imaginais planté devant Natacha, mes yeus au niveau de ses impénétrables abdominaux.

              Elle saisit son père sous les bras et le souleva sans le moindre effort puis l'embrassa tendrement sur la joue :

    " Bonne nuit papa… maman arrive tout de suite. "

              Comment n'y avais-je pas pensé plus tôt ! Gilles n'as pas fait ses filles tout seul. Il y avait forcément une madame Grampier !

              Il se tourna vers moi tandis que Natacha me soulevait de terre pour me souhaiter, à moi aussi, une bonne nuit.

    " Tu ne connais pas mon épouse, Svetlana, n'est-ce-pas ? "

              Je ne pus lui répondre. Natacha avait délicatement enfoncé sa langue dans ma bouche. Elle était en train de m'ennivrer avec le baiser le plus sensuel que l'on puisse imaginer. Je crois même que l'on ne peut imaginer un pareil baiser si ce n'est de l'avoir vécu.

              Mes bras pendaient le long du corps, mes pieds se balançaient dans le vide. Je pouvais sentir mon sang circuler dans mes veines et titiller l'extrémité de mes membres complètement détendus.

              Ma tête penchée en arrière écrasait mes trapèzes qui envoyaient, le long de ma colonne vertébrale, de généreuses vagues de plaisir provoquant spasmes et gémissements. Ma gorge complètement exposée me rappelait comme j'étais faible et vulnérable, pourtant, comme elle se réchauffait à chaque expiration de Natacha, elle me procurait un plaisir intense. C'est tout naturellement, que je m'abandonnait à cette créature fantasmatique en fermant les yeux. J'en oubliais même la présence de mon ami.

    " Alban ! Alban ? " répéta Gilles, " Je te présente, Svetlana ! ".

              Je ne sais pas le temps qui s'écoula avant que je ne reprenne mes esprits, mais Natacha avait déjà pris congé. Gilles était assis dans les bras de son épouse qui avait pris place dans le fauteuil. Il avait étalé ses bras sur le corps musculeux de sa femme et lui couvrait le cou de baisers. Je n'éprouvai pas la moindre surprise en découvrant Svetlana. Quelle femme aurait pu engendrer des filles comme Adriana, Irina ou Natacha ? Une autre déesse ! Si ce n'est la différence d'âge, Svetlana était en tous points semblable à ses filles : incroyablement sexy, grande, musclée, envoûtante.

    Elle engagea la conversation :

    " Bonsoir Alban. " dit-elle en souriant

    " Bonsoir !" répondis-je en me frottant les paupières.

    Comme j'avais du mal à ouvrir les yeux, elle éclata de rire.

    " Vous avez l'air exténué. Je crois que vous devriez aller vous coucher… Natacha va vous conduire à votre chambre. "

    Avant que j'eu le temps de réagir, je me sentis prendre de la hauteur… je n'avais pas pris conscience que j'étais dans les bras de Natacha. Immédiatement, je poussai un petit cri de surprise, ce qui les fit tous rire. Tous sauf moi évidemment car j'étais terriblement gêné.
    Natacha me carressa doucement les cheveux et Gilles s'empressa de me rassurer :

    " Tu verras, c'est une question d'habitude ! "

    Il se colla contre son épouse et elle posa son énorme main sur lui pour lui carresser délicatement le bras du bout des doigts. Il me regarda une dernière fois, ferma les yeux et soupira :

    " Bonne nuit Alban. "

    " Bonne nuit ! "

    Natacha se dirigea vers le hall sans un mot. Elle avait passé une main sous mes fesses et me portait comme un enfant, tandis qu'avec l'autre main elle refermait la porte du salon. Elle traversa le hall en quelques enjambées et emprunta un escalier momumental en marbre blanc menant aux divers étages. Il fallait bien un escalier de la sorte pour supporter le poids de mon hôtesse qui malgré son énorme masse de muscles se déplaçait avec une grâce exceptionnelle. Pendant qu'elle gravissait les marches, je fixais le sol, remarquant comme les dalles de marbre semblaient plus petites, vues de haut. De temps en temps, je relevais la tête, lorsque nous passions devant une fenêtre, pour observer, dans le reflet, les puissants quadriceps de Natacha se contracter à chaque pas. A chaque fenêtre, je me sentais plus excité encore. J'avais hâte qu'elle me dépose; avant que mon érection ne soit complète. Elle continua sa progression sans rien dire et accéda, enfin, à un long corridor donnant sur les chambres. Devant la première porte, elle marqua un temps d'arrêt :

    " C'est ma chambre ! " dit-elle.

    Elle fit quelques pas pour gagner la porte suivante :

    " Celle là, c'est la tienne !" poursuivit-elle, " si tu as besoin de quoi que ce soit …"

    Elle s'interrompit et entra dans ma chambre.

    Là, elle se dirigea directement vers le lit dont les draps avaient été poussés pour l'occasion et me posa dessus. Elle se pencha au dessus de moi et m'ôta tranquillement le peu de vêtements que j'avais sur le dos. Je la regardais sans rien dire, sans rien faire, à part peut-être, dévorer du regard l'opulente poitrine qui m'était exposée. Cette fois, je ne pus lutter : mon sexe se dressa quasi instantanément, droit et vigoureux. Je me sentis envahi de honte, de peur aussi :

    " Je … je suis désolé, Natacha. Vous êtes si belle. "

    Elle ne répondit pas. Au lieu de cela, elle se baissa davantage, le bout de ses tétons frôlant ma peau frémissante et se recula, trainant avec elle sa lourde poitrine sur mon torse et mon ventre. Elle ne s'arrêta que lorsque mon sexe fut prisonnier de ses deux énormes mamelles. Alors, elle contracta lentement ses pectoraux et commença à se relever. Je sentis mes reins se cambrer d'abord, puis mon dos se décoller du lit. Bientôt, j'étais soulevé par mon sexe et je lançai mes bras autour de son cou. Elle se redressa totalement et portant ses poing sur ses hanches, elle se moqua :

    " Allons, allons, il faut se coucher… et se reposer pour être en forme demain ! ".

    Tout en parlant, elle massait délicatement mon sexe en contractant avec une précision diabolique ses muscles pectoraux. Elle faisait mine de ne pas sans apercevoir, et l'idée qu'elle puisse jouer avec moi de la sorte m'excitais encore plus. J'avais posé mes pieds sur ses cuisses et poussais sur mes jambes pour essayer de me dégager mais c'était peine perdue. C'en était trop ! L'idée qu'elle puisse me dominer ainsi sans y prêter attention me fit perdre mes moyens. Je fermai la bouche pour ne pas crier et éjaculais violemment entre ses seins.

    Elle me saisit par la taille et me coucha de nouveau, sans ajouter un mot. Puis, elle m'embrassa sur le front et s'éloigna :

    " Petit déjeuner à huit heures ! Je viendrai te chercher. " dit-elle en fermant la porte, " Bonne nuit … fais de beaux rêves. "

    … more to come …

    #48191
    msc827
    Participant

    Still a great story, Scat – please continue! But since I read Fonk's translation of Ch-1, I know I'm missing a lot (I hope he continues to interprete more of this story).
    Thanx again!

    #48192
    Fonk
    Participant

    I'm on holiday now, so I should hopefully be able to rocket through the remaining translations and bring scat's excellent work to a wider audience. Enjoy, and my thanks to him for providing such ace material to work with. 😀

    New Generation 5

    "I don't understand… I don't remember anything!" I cried.

    "You shouldn't even remember Irina!" Gilles replied, frowning and glancing inquisitively at his daughter. He turned back to me and continued. "You were drugged and hypnotised."

    "What!" I exclaimed. "You mean to say you drugged me? You, my friend?" Gilles lowered his head.

    "Don't worry, it won't happen again. In any case, I had no choice."

    Normally questions would have been fizzing around my head like fireworks but I wasn't really in a position to think: whilst Adriana and Natacha were caressing my arms and legs, Irina was delicately massaging my temples. Their delicate fingers drained my stress, doubts and questions away. Even my strength was leaving me bit by bit. It felt like I was floating: put simply, I felt good. I even started to doze.

    Gilles sighed. He emptied his glass in one gulp and slammed it back on the table. I just about managed to open my eyelids. He waved his daughters out of the room. They stood up immediately and disappeared down the hall. Then he began to stare at me and continued.

    "I was reading the paper one day when, quite by chance, I came upon an article concerning your trail for theft. I remembered the years we spent together. So, in the name of our old friendship, I sent Irina to get you out of the mess. She brought you here, just like Adriana did today. Normally, we would have ended the day with a meal, as friends; I would have called a taxi and that would have been the end of it."

    At that moment I started to wake up. Questions marched through my head, mixed up with the events of the day: Adriana, the coffee, muscles, Gilles's daughters, more muscles, glances, skirts, shoes, still more muscles, the intoxicating movements of thighs… I shook my head in an attempt to get these thoughts out of my mind. It didn't work, of course. Gilles continued.

    "The fact is that when you arrived, you lost consciousness. We left you in a guest bedroom. You slept all night and woke up the next day, around mid-morning. In the castle, everyone goes about their own business, so much so that no-one paid any attention to you… not knowing where you were, I suppose… you wanted to explore on your own. You walked around the castle, then the gardens and after that… after that you saw things you shouldn't have seen – " I interrupted Gilles.

    "That's why you erased my memory!"

    "Exactly!"

    "But… why tell me all this today?"

    "You'll have the chance to mull that over tonight!" Gilles exclaimed, wearing a small smile.

    I was getting ready to fire my questions at Gilles when Natacha reappeared in the room. I sat still for a moment before crossing my legs to hide my growing erection. I don't know what got me going, that time: the sight of her muscular body barely hidden behind a thin silk nightdress or the memory of her fingers, a few moments before, chopping a log the width of my thigh. She wasn't even doing anything seductive: she was just smiling as she approached.

    When she was next to us, Gilles got up to wish her good night. I did the same. Natacha stood in front of her father and I couldn't help but notice the difference in size. He stood up very straight and there was about four inches between the top of his head and the undersides of his daughter's breasts. I imagined myself in his place, my eyes at the same level as her impenetrable abs. She lifted her father up by the armpits and kissed him tenderly on the cheek.

    "Good night papa," she said. "Mum will be here shortly."

    Why hadn't I thought of it sooner! Gilles had not had his daughters alone. There was always going to be a Mrs. Grampier!

    He turned to me as Natacha lifted me from the ground to wish me a good night as well.

    "You haven't met my wife, Svetlana, have you?"

    I couldn't reply. Natacha had delicately thrust her tongue into my mouth. I was getting drunk on the most sensual kiss you could imagine. You'd have no chance of imagining one like it if you haven't lived through one. My arms dangled limply, my feet pinwheeled. I felt my heart beating the blood around my body. My head fell back, hurting my traps. I felt generous waves of pleasure all down my spinal column, causing me to spasm and moan. My totally exposed throat reminded me how weak and vulnerable I was; however, as it got warmer every time Natacha breathed, it felt an intense pleasure. I abandoned myself to this fantasy creature completely and closed my eyes. I even forgot that my friend was watching.

    "Alban! Alban?" Gilles repeated. "This is Svetlana!"

    I couldn't tell you how long it was before I came back to my senses, but Natacha had already left. Gilles was sitting in his wife's arms and the pair were sitting in the armchair. He had stretched his arms around the muscular body of his wife and covered her neck with kisses. I was not surprised at the sight of Svetlana. What sort of woman could have given birth to girls like Adriana, Irina or Natacha? Only a goddess! If it hadn't been for the difference in age, Svetlana was identical in every way to her daughters: incredibly sexy, tall, well-muscled, spell-binding.

    She began the conversation.

    "Good night, Alban," she said, smiling.

    "Good night!" I responded, blinking a few times. As I had trouble opening my eyes, she burst out laughing.

    "You look exhausted. I think you should go to bed… Natacha will show you to your room." Before I could react, I felt myself getting taller… I hadn't realised I was in Natacha's arms. Immediately I cried out in surprise, which made everyone laugh. Everyone except me, of course, because I was so embarrassed. Natacha ran her fingers gently through my hair. Gilles made sure to reassure me:

    "You'll see, you'll get used to it!" He held on to his wife as she put an enormous hand on to his body to delicately caress his arm with her fingertips. He looked at me for one last time, closed his eyes and sighed. "Good night, Alban.

    "Good night!"

    Natacha headed for the hall without a word. She had put a hand under my butt and was carrying me like a child, using her free hand to close the door of the lounge. She crossed the hall in a few steps before taking a huge white marble staircase which lead to several floors. You would have needed a staircase like that to support my hostess's weight which, despite her enormous muscles mass, moved with exceptional grace. As she climbed the steps I stared at the floor, noting how the marble flagstones seemed so small from this height. I looked up from time to time when we passed windows so that I could see Natacha's quadriceps contracting in the reflection. As we passed more and more windows I got more and more excited. I was eager for her to put me down before my erection got to its fullest. She carried on without saying anything and made it, finally, to a long corridor with several bedrooms coming off it. She paused in front of the first door.

    "This is my room!" she said. Then she took a few steps to the next door along. "And this one is yours!" she continued. "If you need anything…" She stopped and went into my room.

    Once inside she headed directly to the bed. The sheets had been pulled back for the occasion, so she put my down there. She leaned over me and quietly removed the few clothes I had on. Speechless, I looked at her without saying or doing anything except, perhaps, staring at the opulent chest that she was exposing to me. This time I couldn't fight it: my sex went hard instantly, straight and true. I felt waves of shame drowning me, along with fear.

    "I… I'm sorry, Natacha. You are so beautiful."

    She didn't reply. Instead, she moved lower until the tips of her nipples came into contact with my shivering skin. Then she moved downward, over my chest and stomach. She didn't stop until my penis was held prisoner inside her two enormous mammaries. This done, she slowly contracted her pectorals and started to stand up. I felt my lower back, and then the rest of me, come away from the bed. Soon I was being held up by my penis so I threw my arms around her neck. She stood up straight and, placing her hands on her thighs, said in a mocking tone of voice:

    "Come now, you must go to bed… you've got to get your strength back for tomorrow!"

    As she spoke she delicately massaged my penis by contracting her pectorals with diabolical precision. She made it look like she wasn't even noticing, and the idea that she could play with me like this excited me more. I'd put my feet on her thighs and pushed to try and get away, but it was no use. It was too much! The idea that she could dominate me like this without even paying attention pushed me over the edge. I closed my mouth so as not to cry out and ejaculated violently between her breasts.

    She wrapped her arms around my waist and laid me back in the bed again without saying anything more. Then she kissed my forehead and headed towards the door.

    "Breakfast is at eight o'clock! I'll be waiting for you," she said, closing the door. "Good night… and sweet dreams."

    #48193
    ratlaf
    Participant

    Wonderfull!!!  Thanks to Scat for dreaming this up and thanks to Fonk for translating and making it accessible to many more of us.

    #48194
    scat
    Participant

    Wonderfull !

    Dear Fonk , your work is amazing.

    May i suggest you to post your translations in a thread wich not says ' in french ' in the title. I think there are some readers who don't look my threads because of that. (i can't modify the title.)

    anyway, i hope you still going to translate the new chapters. It's looks like i discover a new story each time i read your work (and that's very easy to read for me).

    that's a pity i can't enjoy as well your own stories wich seems to be very well writen but a little harder to me for translation. i hope to be able to improve my english.

    thanks.

    ScaT

Viewing 5 posts - 1 through 5 (of 5 total)
  • You must be logged in to reply to this topic.