[scat]

  hi ! ;D 
here is the sixth part.

                                     ch 6

Une faible lumière traversa mes draps. D'abord, je ralai un peu puis j'essayai de me replonger dans le rêve duquel j'avais été tiré ; Quelqu'un venait d'ouvrir les volets et mes songes s'étaient envolés par la fenêtre. Je me tournai pour terminer ma nuit.

Je posai à peine l'oreille que le claquement caractéristique de hauts talons féminins résonna dans la pièce. Immédiatement, je me souvins : … Natacha ! … Natacha ?!? …

" Natacha ? " m'écriai-je en ouvrant les yeux et apercevant la jeune femme.

Sa haute silhouette se dressait devant la fenêtre grande ouverte d'où émanait une lumière intense. C'était bien dommage car je du me contenter de reluquer le contour de son corps bodybuildé, ses formes généreuses étant obscurcies par le contre-jour.

La belle se tenait bien droite, les jambes tendues sur des mules à talons hauts. Elle portait, comme la veille, une fine chemise de soie qui flottait, emportée par une légère brise. Cela donnait un côté enchanteur à la scène. Le tissu quasi transparent laissait clairement voir ses cuisses hypertrophiées, légèrement écartées, se gonfler au moindre mouvement. Elle souriait, les bras croisés, en se balançant de droite à gauche. Moi, je tentais désespérément de cacher mon érection tandis qu'elle s'approchait de mon lit.

" Debout ! " dit-elle, " … il est tard ! "

" Tard ? … Mais quelle heure est-il ? "

" Presque midi ! "

Elle tira les draps brusquement et je me retrouvai complètement nu au milieu du lit.

" Allons ! Il faut prendre une petite douche. " poursuivit-elle.

Elle m'agrippa par une cheville et me fit glisser jusqu'au bord du lit. Là, elle glissa une main sous mes fesses et m'offrit l'autre pour me permettre de rester en équilibre. Je pris sa main sans la moindre hésitation. Elle se redressa, me soulevant à bout de bras et se dirigea vers la salle de bains.

Gilles avait raison: je m'habituai très vite aux bras de Natacha.

J'essayai de l'attrapper par les épaules pour toucher son corps musclé. Elle esquissa un sourire et replia son bras pour me rapprocher d'elle. Je me jetai à son cou et collai ma tête contre sa poitrine.

Tout en me frottant contre elle, je l'interrogeai :

" Je suis désolé pour le petit-déjeuner, j'espère que vous ne m'avez pas attendu ? … "

" Ne t'inquiète pas ! Nous avons déjeuné. "

Elle me déposa devant la cabine de douche et me poussa à l'intérieur.

" Je ne serai pas long. " dis-je, tandis que je refermai la porte en me tournant vers elle.

Elle laissa sa chemise de soie glisser le long de ses jambes et réouvrit la porte.

" Moi non plus ! " dit-elle, et elle entra sous la douche avec moi.

______

De l'autre côté de la propriété, Irina et Adriana parcouraient un long couloir en poussant un chariot chargé de matériel médical et vidéo. Toutes deux portaient une blouse blanche arrivant à mi-cuisse, fendue sur les côtés pour faciliter leurs mouvements. A chaque pas cela révélait leurs jambes musculeuses et bronzées. Le tissu, tendu par les muscles massifs, avait permi de boutonner le vêtement de travail au niveau de la taille, pas plus. Au niveau du buste, un badge métallique, ridiculement petit avait été déformé par la tension du tissu. Il portait leur prénom, ce qui permettait de  distinguer les deux soeurs jumelles.

Les infirmières de choc s'arrétèrent au milieu du couloir.

" Chambre 12 " dit Irina, " C'est là ! "

Adriana laissa le chariot contre le mur et ouvrit la porte.

" Bonjour ! "

Une jeune femme était assise au bord d'un lit d'hôpital. Elle leva la tête pour regarder. Ses yeux étaient remplis de larmes et elle les frotta avec son poignet pour y voir clairement.

" Où suis-je ? Qui êtes vous ? "

Adriana parcouru la pièce en deux grandes enjambées pour retenir la jeune femme qui essayait de se lever. Elle l'aida à s'allonger de nouveau sur  le lit et lui carressa les cheveux.

" Ne vous inquiétez pas ! Nous allons nous occuper de vous. "

" … et mon mari ? Où est-il ? "

Adriana se redressa et mondra du doigt un deuxième lit, de l'autre côté de la pièce.

" Il est là ! Rassurez-vous. "

La jeune femme essaya de se lever mais Adriana la saisit immédiatement par l'épaule et la força à se recoucher.

" Il dort. " dit-elle pour rassurer la jeune femme.

Celle-ci tourna la tête et sembla rassurée en apercevant son époux, allongé sur un lit parallèle au sien, de l'autre côté de la pièce.

Elle questionna Adriana :

" Il ne va pas aller en prison, n'est-ce-pas ? … Vous savez, c'était un accident ! C'était de ma faute, je ne fais jamais attention ! …"

Adriana lui fit signe de se taire et commença à lui tamponner le visage avec un coton imbibé de désinfectant.

" Votre mari vous a battue sévèrement. Vous avez failli mourrir sous ses coups … et vous vous inquiétez de son sort ? "

" Je l'aime, comprenez-vous ? "

" Non ! " répondit Adriana, " Non ! Je ne comprends pas ! "

" Si vous aimiez quelqu'un …"

" Attention ! Cà va faire mal ! " interrompit Adriana.

La jeune femme ferma les yeux. D'un coup sec, Adriana arracha le morceau de sparadrap qui maintenait une compresse tachée de sang.

Elle poursuivit :

" Si lui vous aimait, il n'aurait jamais porté la main sur vous. "

La jeune femme tourna la tête pour échapper au regard d'Adriana.

" Je ne peux pas vivre sans lui … "

" Ne vous inquiétez pas. On ne va pas vous le prendre. "

Irina s'approcha de sa soeur et lui tendit une seringue :

" Comment va t'elle ? "

" Elle est encore sous le choc mais elle se remet de ses blessures. "

" Très bien ! " fit-elle, en se tournant vers la jeune femme et en lui adressant un grand sourire pour l'apaiser.

Adriana tapota sur la seringue pour chasser les bulles d'air et se  pencha pour faire l'injection.

" C'est un calmant ! Vous avez besoin de repos. " dit-elle, en saisissant le bras de la jeune femme.

Elle continua à parler pour la rassurer :

" Michelle, … c'est un joli prénom. Moi c'est …"

" Adriana ! … C'est marqué sur votre badge. "

" Bien sûr ! Suis-je bête ? "

" Non ! Non, vous n'êtes pas bête ! Vous êtes très gentille de vous occuper de moi. Vous êtes … "

La tête de la jeune femme retomba lourdement sur le côté et Adriana se tourna vers sa soeur :

" Elle dort ! "

_____

Natacha sortit de la cabine de douche tandis que je restais à l'intérieur pour me sécher. C'était la première fois que je voyais cette déesse complètement nue alors je laissai trainer mon regard sur elle à travers la paroi vitrée. J'y voyais mal à cause de la vapeur qui s'était dégagée. Pour mieux la dévorer des yeux, je pratiquai un petit rond dans la buée.

Elle se dirigea nonchalemment vers la fenêtre et s'y arrêta pour profiter de la chaleur des rayons de soleil. Comme elle n'avait pas pris la peine de se sécher, les reflets sur son corps mouillé semblaient gonfler ses muscles extraordinaires. La lumière frappait sa peau ambrée accentuant le galbe de toutes ses formes. Au fur et à mesure que le soleil réchauffait sa peau, les plus fines goutellettes s'évaporaient en formant un petit nuage sur lequel elle semblait s'être laissée entrainer. Les plus grosses gouttes, elles, ruisselaient le long des muscles sollicités, au moindre de ses gestes. Et elle n'économisait pas ses mouvements !

Elle avait posé ses mains sur le rebord de la fenêtre et poussait fortement pour contracter ses énormes triceps. Lorqu'elle senti ses gros muscles gorgés de sang, elle tendit ses lourdes jambes musclées et fit sursauter ses puissants quadriceps en se tenant sur la pointe des pieds. La tête en arrière, elle resta ainsi un moment, se délectant de la douce chaleur qui envahissait sa gorge déployée.

Elle relacha progressivement sa contraction et elle leva les bras au le ciel pour s'étirer un moment en se balançant de gauche à droite.

… Quelle était belle ! …

Elle serra les poings et redescendit lentement les bras pour éxecuter un superbe double biceps. Comme elle avait pris une profonde inspiration, son dos s'était évasé et ses pectoraux s'étaient soulevés. Sa taille semblait encore plus fine, sa silhouette encore plus incroyablement féminine et sexy. Je restai bouche bée. Tant de muscles me rendaient fou. Je ne savais plus où poser mes yeux.

Natacha fut prise d'un bref frisson et commença à se masser les bras. Par mimétisme, je frottai moi-même mes bras maigres et inconsistants. J'essayai d'imaginer mes mains autour de ses bras massifs mais la mollesse de mes biceps m'en dissuada instantanément et mes pensées revinrent à Natacha.
Des filets d'eau étincelants épousaient le parcours de grosses veines gonflées par la douche chaude, puis explosaient sous l'impulsion d'un muscle qui se contractait trop vite. A chaque fois, je sursautais, comme si je pouvais sentir, d'où j'étais, la poussée du muscle sur moi. Elle continua un moment de pétrir ses bras et ses épaules puis descendit les mains le long de son torse. Là, elle caressa lentement ses cuisses comme pour faire pénétrer dans le muscle, la chaleur de sa peau.

Tandis qu'elle se penchait vers l'avant, je faisais de même. Du bout des doigts, je palpais mes genoux osseux et sentais mes longs tendons à travers la peau, pourtant j'imaginais pétrir sous mes doigts les puissants quadriceps de Natacha et j'en éprouvai un vif plaisir.

Bien cambrée, jambes tendues, elle pouvait laisser sa poitrine exposée aux rayons du soleil et profiter pleinement de ce moment de détente tout en  frottant ses gros mollets saillants.

Dans son mouvement de caresse, elle écrasa, bien involontairement, son opulente poitrine entre ses bras. Ses deux mamelles commencèrent alors à s'entrechoquer. Elles s'écrasaient mollement l'une contre l'autre en accélérant le ruissellement de l'eau jusqu'au bout de ses tétons. De là, elles envoyaient de petites goutellettes s'écraser sur le parquet.

Je ne m'étais aperçu de rien mais mon sexe ,gorgé de sang, avait pris des proportions extraordinaires. Il s'était relevé petit à petit et poussait fortement contre la porte vitrée. La porte de la cabine s'ouvrit en grand, dans un crissement effroyable. Je n'eu même pas le réflexe de mettre mes mains sur mon sexe. Je regarda simplement la réaction de Natacha.

Elle était dans la même position, en train d'essorer ses cheveux, le moindre muscle de ses bras herculéens contracté et mis en évidence par le frémissement du à l'intensité de l'effort. Elle tourna la tête vers moi et se releva en gardant les mains sur sa tête blonde. Un merveilleux sourire éclaira son visage mais mon regard restait sur ses énormes biceps qu'elle faisait surgir alternativement de ses bras massifs et volumineux.
Ses mains jointes s'élevèrent lentement au dessus de sa tête et laissèrent filer, petit à petit, de longues mèches de cheveux, étonnemment blondes et sèches, qui s'étalaient agréablement sur ses épaules charnues.

Elle fit mine de ne rien remarquer.

" Je passe quelquechose et je suis prête ! "

Elle attrappa se qui semblait être un short et le jetta par terre. Puis, marquant délicatement son ouverture avec la pointe du pied, elle se baissa pour l'enfiler à une cheville puis l'autre. Elle leva la tête vers moi, accentuant volontairement la cambrure de son dos et remonta l'habit le long de ses jambes en se tortillant à la manière d'une pole-danseuse frottant ses fesses charnues sur l'inox du symbole phallyque. Le tissu se tendait peu à peu, laissant transparaître sa trame là où les muscles hypertrophiés l'y obligeaient. Lorsqu'elle termina, le short semblait être une deuxième peau et le maillage du tissu était clairement visible au niveau des cuisses tant la masse musculaire y était importante.

Lorsque je repris mes esprits, elle était accroupie devant moi, tenant un autre short à la main.

" C'est pour toi !" dit-elle en écartant délicatement le tissu par la ceinture pour me permettre de passer mes jambes. Elle poursuivit :

" Il est à moi ! C'est la même taille … mais, c'est un tissu élastique alors çà devrait aller. "

Je fis un pas en avant et passai un pied puis l'autre, dans les ouvertures qui se présentaient à moi. Elle remonta lentement le short le long de mes jambes tout en se redressant. Mais, contre toute attente, lorsque le short fut à sa place, elle continua de se redresser en me soulevant à bout de bras. Quand nous fûmes face à face, elle regarda mon short et sourit. ensuite, elle me redescendit lentement. Je touchai terre  et regardai immédiatement dans une glace.
Le short qui semblait si petit sur elle, m'arrivait au dessus du genou et bien qu'il fut presque ajusté à la taille, flottait tant au niveau des cuisses qu'on eu dit que je portais une jupe.

" Je ne peux pas porter çà ! "

Natacha sourit.

" Non ! bien sûr ! Je vais chercher un short à papa ! "

Elle enfila rapidement un T-shirt dont j'osai à peine imaginer la taille et s'élança dans le couloir.

Lorsque je me retrouvai seul, je passai les mains dans le short, par le dessous et j'écartai le tissu pour simuler les cuisses de Natacha. Je tirai de toutes mes forces et arrivai à tendre le tissu mais malgré tous mes efforts, je ne parvins pas à voir le tramage du tissu apparaitre. Je me rappelai, alors, avec quelle facilité elle avait enfilé le short et imaginai aisément la force extraordinaire qu'elle avait du mettre en oeuvre.

" Bon sang ! Quelle femme ! "

more to come …

[msc827]

A nice continuation of the story… I'm anxious to read it in English!  The translation programs aren't nearly as good!

[Fonk]

Hi! I've translated the next chapter. Thanks go to scat for his tremendous stuff. The plot thickens up in this one and no mistake!

New Generation 6

A faint light shone into the room. I moaned a little and tried to get back to the dream that I'd been having. It was then that someone opened the shutters and any chance of dreaming flew out of the window. I turned over to begin my day. Before I could react I heard the characteristic clicking of high heels echoing around the room. I remembered immediately: Natacha! Natacha?!?

"Natacha?" I shouted, and opened my eyes to see the young woman.

Her tall silhouette stood in front of the window, wide open now, against the intense light. It was a shame that I had to satisfy myself with staring at the shape of her powerfully built body, the details of her generous form indistinguishable against the light. The beauty was standing tall, legs straight as an arrow on her high heels. She wore, like the day before, a thin silk shirt which was ruffling gently in the breeze. It gave the scene a bewitching air. The semi-transparent fabric let you clearly see her hypertrophied thighs, slightly apart, inflating with the slightest movement. She smiled, arms folded, hopping from foot to foot. As for me, I was trying desperately to hide my erection when she approached the bed.

"Get up!" she said. "It's late!"

"Late?" I said. "What time is it?"

"Nearly midday!" She brusquely tore the sheets off, leaving me completely naked in the middle of the bed. "Come on! You have to take a shower," she continued.

She took hold of my ankle and slid me to the edge of the bed. There, she slid a hand underneath my butt and offered me the other so I could keep my balance. I took her hand without the slightest hesitation. She stood upright, holding me at arm's length, and went toward the bathroom.

Gilles was right: I'd gotten used to Natacha's arms very quickly.

I tried to grab hold of her shoulders, just to touch her muscular body. She smiled faintly and brought her arm towards her body, thus bringing me closer to her. I threw myself at her neck and stuck my head next to her chest. As I rubbed up against her, I asked a question.

"I'm sorry about breakfast. I hope you didn't wait for me… ?"

"Don't worry! We had a great breakfast." She deposited me in front of the shower and pushed me inside.

"I won't be long," I said as I closed the door and turned back to her. She let her silk shirt slide the length of her legs before opening the door.

"Neither will I!" she said, and got into the shower with me.

              ______

On the other side of the property, Irina and Adriana were travelling down a long corridor, pushing a trolley laden with medical and video equipment. Both women were wearing white coats that covered them up to mid-thigh, slit at the sides to facilitate their movement. Despite this measure, each step revealed more and more of their tanned, muscly thighs. The coats, stretched as they were by the pair's massive muscles, could only be buttoned up to waist level. At bust level, ridiculously small metallic badges had been bent out of shape with the tension in the coats. They bore the sisters' first names, allowing you to distinguish between the twin sisters.

The shock nurses stopped in the middle of the corridor.

"Room 12," Irina said. "Here we are!" Adriana stood the trolley against the wall and opened the door.

"Hello!"

A young woman was sitting on the end of a hospital bed. She lifted her head to look at them. Her eyes were filled with tears and she rubbed at them with her wrist to see them clearly.

"Where am I? Who are you?"

Adriana walked around the room in two giant steps to hold the woman, preventing her from standing up. She helped the woman to lie back down on the bed, caressing her hair.

"Don't worry! We're going to take care of you."

"… and my husband? Where is he?" Adriana stood up and pointed a finger at a second bed on the other side of the room.

"He's there! Don't worry." The young woman tried to get up but Adriana grabbed her by the shoulder immediately and forced her to lie down.

"He's sleeping," she said, to reassure the young woman. She turned her head and seemed reassured to see her spouse lying on the bed next to hers, on the other side of the room.

"He's not going to go to prison, is he?" she questioned Adriana. "It was an accident, you know! It was my fault, I never pay attention!"

Adriana put a finger to her lips to quiet her and began to dab at her face with a piece of cotton wool soaked in disinfectant.

"Your husband beat you very badly. You nearly died at his hands… and you're worried about what's going to happen to him?

"I love him, don't you understand?"

"No!" Adriana replied. "No, I don't understand!"

"If you love someone – "

"OK now, this is going to hurt!" Adriana interrupted her. The young woman closed her eyes. Adriana ripped away a piece of bandage that was holding a compress stained with blood in one go. She continued speaking.

"If he loved you, he would never have hit you." The young woman turned her head away so that she didn't have to look at Adriana.

"I can't live without him…"

"Don't worry. We're not going to take him from you."

Irina approached her sister, holding out a syringe for her.

"How is she?"

"She's still suffering from shock, but she is recovering from her injuries."

"Excellent!" she said, and turned to the young woman, smiling widely, to try and make her relax. Adriana tapped the syringe a few times to burst the bubbles inside it, and leaned over to complete the injection.

"This is to calm you down," she said, seizing the young woman's arm. "You need to get some rest." She carried on, to reassure her: "Michelle… that's a nice name. I'm – "

"Adriana! It's written on your badge."

"Of course! I'm so stupid."

"No! No, you're not stupid! You're very kind to take care of me. You are – " The young woman's head fell heavily to one side, and Adriana turned towards her sister:

"She's asleep!"

              _____

Natacha emerged from the shower whilst I stayed inside to dry myself down. It was the first time I'd seen the goddess completely naked and I found myself unable to take my eyes from her through the glass. I couldn't make out much because of the condensation. To better devour her with my eyes, I formed a little circle in the steam.

She nonchalantly moved towards the window and stood there to profit from the heat of the sun's rays. As she has not gone to the trouble of drying herself, the glints of light on her wet body seemed to inflate her extraordinary muscles. The light hit her tanned skin, accentuating her curves everywhere. As the sunlight dried her skin, the smallest drops of water evaporated, forming a small cloud which she seemed to follow her as she moved. The larger drops of water slid the length of her exposed muscles at the slightest gesture. And what movements they were!

She had placed her hands on the windowsill and pushed down hard to contract her enormous triceps. When she felt her large muscles engorged with blood, she stretched her heavy, powerful legs, making her powerful quadriceps somersault as she stood on the tips of her toes. Her head thrown back, she stayed like that for a moment, enjoying the gentle warmth that filled her exposed throat.

She progressively relaxed her arms and lifted them towards the sky to stretch for a moment, hopping from one foot to the other.

She was so gorgeous!

She clenched her fists and brought her arms down slowly to pull off a superb double biceps. As she had breathed in so deeply, her back had flared outward and her pectorals had risen. Her waist seemed more slender, her silhouette even more feminine and sexy. I stood with my jaw dropped. So much muscular power made me go mad. I didn't know where to look first.

Natacha trembled for a brief moment and started to massage her arms. Mimicking her unconsciously, I began to rub my feeble and flimsy arms. I tried to imagine my hands around those massive arms but the limpness of my arms shattered the illusion instantly – my thoughts went back to Natacha. Thin tracks of sparkling water traced the path of thick veins brought into prominence by the warm shower, then exploding under the impulsion of muscle that was contracting too quickly. I jumped every time, as if I could feel, from where I was, the push of the muscle on me. She continued to knead her arms and shoulders for a moment, then drew her hands down her torso. Then she slowly caressed her thighs, as if she were trying to penetrate the muscle, the heat of her skin.

When she leaned forward, I did the same. My fingertips could feel my bony knees and long tendons through the skin, but I imagined myself rubbing Natacha's mighty quadriceps and felt strong pleasure. Leaning well forward, legs taut, she was able to leave her chest exposed to the sun's rays to get the most out of this moment of relaxation, all whilst rubbing down her big, protruding calves.

In this caressing movement, she crushed, although involuntarily, her luxurious chest between her arms. Her two big breasts started to knock into each other. They slapped wetly together, causing the water on her body to accelerate to the tips of her nipples. From there, a steady rush of tiny drips splashed onto the floor.

I hadn't noticed anything but my sex, filled with blood, had taken on extraordinary proportions. It had risen, little by little, and was now pushing strongly against the glass door. The cubicle door slowly opened, screeching horribly. I didn't even move my hands to cover my shame: I simply looked for Natacha's reaction.

She was wringing out her wet hair, the slightest of the muscles on her Herculean arms brought sharply into relief by the effort she was putting into the task. She turned her head toward me and stood upright, keeping her hands on her blonde hair. A marvellous smile lit up her face, but I couldn't move my eyes from her enormous biceps, which she was making erupt alternately from each of her massive, voluminous arms.

She lifted her hands slowly from over her head, causing long tangles of her brilliant blonde – and now dry – hair to fall, ever so slowly and very appealingly, onto her fleshy shoulders.

She pretended that nothing had happened.

"I'll put something on and then I'll be ready!"

She picked up what appeared to be a pair of shorts and threw it on the floor. Then, delicately keeping it open with the tips of her toes, she lowered herself to put it on, one ankle at a time. She lifted her head to me, voluntarily accentuating the arching of her back, and slipped the garment up the length of her legs by wriggling her body like a pole dancer rubbing her fleshy butt cheeks on the steel of that phallic symbol. The material stretched slowly, her hypertrophied muscles forcing the weave of the shorts to show occasionally. When she had finished, the shorts were like a second skin, the stitches clearly visible at thigh level because of the huge muscle mass there.

Whilst I tried to get back to my senses, she was squatting in front of me, holding another pair of shorts in her hand.

"These are for you!" she said, delicately forcing the material apart to allow me to put my legs inside.

"They're mine," she continued, "so they're the same size… but it's elastic, so it should be OK."

I took a step forward and put one leg through, and then the other, in the openings she was presenting to me. She pulled the shorts up slowly, bringing herself to her full height at the same time. Against my expectations, she continued to pull herself upright even when the shorts were in place, lifting me up. When we were face to face, she looked down at my shorts and smiled. Then she lowered me slowly. As soon as my feet touched the floor, I looked at myself in a mirror.

The shorts that looked so small on her came down to below my knees and though they were alright around my waist, they were so wide at my thighs that it looked like I was wearing a skirt.

"I can't wear this!" Natacha smiled.

"No, of course not! I'll go and find a pair of Papa's shorts." She quickly pulled on a T-shirt whose size I didn't dare to imagine and shot off down the corridor.

Once I was alone, I put my hands down the shorts and pushed the fabric out to what I guessed was the size of Natacha's thighs. I pushed with all my strength and managed to stretch the fabric but, despite my efforts, I couldn't get the stitches to appear. Then I recalled the ease with which she had put the shorts on and easily imagined the extraordinary force she had to have used to do so.

"Good Lord! What a woman!"

[Lupus14]

I can't find No. 5. Last episode was No. 4 ?????

[Fonk]

It's here.

[ratlaf]

Many thanks again to Scat and Fonk!!  ;D

[scat]

part 7 is writen. (i'll post it as soon as i do a few drawings)

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