Sylvie – Troisième chapitre

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  • #70045
    marcello90300
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    Chapitre trois – Ca se précise.

    La voiture s'arrêta devant leur  pavillon et Sylvie  guida les trois autres passagers vers l'entrée. Elle frémissait. Autant de son audace que du plaisir anticipé que lui procurerait – Elle en était sûre ! – l'accomplissement de ses projets.
    Elle souffla quelques mots discrets à Françoise qui éclata de rire.
    Bien ! C'est pas le tout,  annonça la brune amie de Sylvie, mais je ne peux hélas pas rester avec vous. Amusez-vous bien les enfants !
    Étonnés les deux jeunes hommes regardèrent Françoise s'éloigner.
    Eh quoi ! S'exclaffa Sylvie. Je suis là, moi : Toute ENTIERE à vous ! Elle avait lourdement appuyé le mot entière.
    Avec ostentation elle referma alors derrière leur trio la lourde porte d'entrée  – Qui, ça du traverser l'esprit de ses deux proies, n'était plus une porte de sortie – et jeta la clef dans une tiroir de la commode du hall.
    Voilà ! Chantonna-t-elle avec plaisir. Je suis toute à vous !
    Que voulez-vous ? Osa péniblement Grégori.
    Sylvie les toisa amusée. Perchée sur les interminables talons de ces chaussures qu'elle affectionnait à présent autant qu'elle les avait évitées naguère, elle dominait ses minuscules admirateurs de la tête et des épaules. Elle hocha la tête et daigna répondre :
    Votre vénération et votre crainte.
    Devant  le spectacle de leur stupeur incrédule elle poursuivi :
    Je veux que vous appreniez, dans votre âme, votre esprit et votre chair que je suis La femme à laquelle des aujourd'hui vous appartiendrez pour toujours.
    Elle se sentait une déesse qui réclamait l'amour de ses adorateurs. Qui exigeait leur dévotion entière et inconditionnelle. Une déesse crainte autant qu'espéree. Celle qui remplirait à présent le pauvre horizon de leurs cabotages désespéré de son attente.
    Vous êtes timbrée ! Explosa Alexandre.
    Laissez-nous partir ! Ponctua Grégori qui se précipita vers la commode où gisait la précieuse clé de leur liberté.
    Comme une explosion la gifle claqua sur la joue de Grégorie qui roula sur lui même avant de s'immobiliser groggy contre le canapé du salon.
    Alexandre eut à peine le temps d'esquisser un geste de défense, la même sentence  l'envoya rejoindre, dans le même état son pauvre compagnon d'infortune.
    Bien, grinça Sylvie, votre dévotion me semble encore hésitante ! Qu'a cela ne tienne je vais vous réchauffer un peu ! Déshabillez-vous.
    Comme ils semblaient peu hâtifs de s'exécuter elle avança d'un pas vers eux et tonna en levant une main lourde de menaces :
    Vite !
    Avec une précipation maladroite les deux jeunes hommes, cette fois, obtempérèrent.
    Bon sang , ce qu'ils pouvaient être mal bâtis ! Que faisaient-ils durant ces heures passées au gymnase ? Leurs petits bras pitoyables étaient à peine ourlés de ce qu'avec beaucoup de générosité on aurait pu appeler des biceps ! Quand à leurs poitrails… Ils tenaient d'avantage du xylophone anémié que des vastes soufflets des forges d'Hephaïstos !
    Mince ! Explosa de rire la jeune femme blonde devant le spectacle de la navrante anatomie de ses deux victimes. Votre maman vous nourrissait pas  ?
    Elle ôta alors son pull puis  son jean pour fièrement exhiber son impossible plastique aux deux garçons tremblants.
    Regardez ! Regardez ce qu'est une femme !
    Elle replia alors ses bras, contracta ses épaules, ses abdominaux, ses cuisses et ses mollets pour une fête musculaire lascive où la dureté et la puissance le disputaient à la douloureuse douceur de ses courbes satinées.
    Eussent-ils été doués de ce talent des anciens aèdes qu'ils auraient pu chanter sa beauté et sa force insoutenable. Sans doute ne l'étaient ils pas… Pourtant, à leur manières un peu frustres ils lui dirent à qu'elle point elle était belle. Ils bredouillèrent quelques malhabiles et craintifs compliments en hommage à son inaccessible beauté. Mais le plus vibrant témoignage avait jailli d'entre leurs cuisses où il s'était jusqu'alors précautionneusement tapi. Vibrant, c'était bien le mot. Au combien ! Et quand Sylvie, faisant glisser son slip de dentelles blanches et son soutien gorge assorti leur apparut dans son éblouissante nudité, les deux hommes exprimèrent leur reddition inconditionnelle dans un inextinguible éclaboussement de ferveur séminale.
    Pour cette fois je vous pardonne… Venez montrer à votre déesse à quel point vous l'admirez. Et, si je suis convaincue je vous autoriserai le besoin d'être libre.
    Subjugués, trempés encore par leur émoi, les deux petites choses la rejoignirent.
    Quelque chose comme une immense tendresse submergea Sylvie. Elle songea au petit prince qui un jour osa caresser un renard. Elle avait apprivoisés ses deux petits renards. Il lui fallait maintenant en prendre soin.
    Elle secoua sa belle tête blonde pour en chasser cette idée, pour l'instant, encombrante et encerclant les tailles de ses gentilles petites proies les emporta, telles deux enfants en bas âges, vers le lit ouvert sur d'étranges et agitées promesses !
    …/…

    #70046
    Tim
    Participant

    Tres bon developpement de l'histoire.c'est tres bien ecrit, y'a meme quelques mots que je ne connaissais pas.A quand la suite?

    #70047
    Anonymous
    Guest

    L'Histoire devient de plus en plus interessante. De plus ton style est tres vif, surtout en ce qui concerne la description des personnages.

    #70048
    Fonk
    Participant

    Part 3…

    ——————-

    Chapter 3 – It's Taking Shape

    The car stopped in front of the house and Sylvie guided the three other passengers towards the door. She trembled. As much audacity as anticipated pleasure which would bring her to – she was sure! – the end of her plans.

    She whispered a few words to Françoise, who burst out laughing.

    "Right! This isn't all, guys," Sylvie's brown-haired friend announced, "but I'm afraid I can't stay here with you. Have a great time, boys!" And with that, and trailing two astonished looks from the two young men, Françoise left.

    "Hey!" Sylvie exclaimed. "I'm here, though: ENTIRELY ready for anything!" She had really emphasised the word "entirely". Ostentatiously she closed the heavy door behind the trio – which, and it had to have crossed the minds of her prey, was no longer an exit door – and threw the key in a desk drawer.

    "Voila!" she said, in a sing-song voice. "I'm all yours!"

    "What do you want?" Grégori managed to say. Sylvie eyed them with a mixture of scorn and amusement.

    Perched on the endless heels that she had come to love recently as much as she had avoided them before, she dominated her minuscule admirers, being head and shoulders above them. She nodded her head and deigned to respond.

    "Your veneration and your fear." In spite of, or maybe because of, their incredulous stupor, she continued.

    "I want you to learn, in your mind, body and soul, that I am the woman to whom, starting from today, you belong for ever."

    She felt herself a goddess, demanding the adoration of her worshippers. Who demanded their entire and unconditional devotion. A goddess who is feared as much as hoped for. One who filled the poor horizon of her hopeless worshippers as she waited.

    "You're nuts!" Alexandre exploded.

    "Let us go!" Grégori demanded as he walked towards the desk where the precious key to their liberty was lying.

    The slap cracked onto Grégori's cheek like an explosion, sending him falling backwards before he managed to groggily stop himself on the living room sofa. Alexandre had just enough time to try to a defensive gesture before he suffered the same fate and joined his poor unlucky companion.

    "Well," Sylvie growled, "it seems you are hesitant in your devotion! I'll just have to heat it up a little for you! Strip."

    As they seemed a little worried about carrying out the command, she took a step towards them and boomed, whilst lifting a heavy and threatening hand towards them, "Now!"

    With clumsy haste the two young men, this time, obeyed.

    "Good grief, these guys look awful! What were they doing during their time in the gym?!" she thought. Their pitifully small arms were barely lined with, with a lot of generosity, you would have to call their biceps. As for their torsos… they looked rather like anemic xylophones than vast bellows from Hepaistos's forge!

    "Wow!" he young blonde exploded with laughter when faced with the distressing spectacle of her victims' anatomies. "Didn't your mummies feed you?"

    She took her sweater and jeans off to proudly display her impossible body to the trembling youths.

    "Look! Look at what a woman is!"

    She flexed her arms and contracted her shoulders, abdominals, thighs and calves in a lustful muscular feast in which the hardness and power fought against the painful softness of her satin smooth curves.

    Did they have the talent of the ancient Greek bards, who could sing of her beauty and unbearable force? Almost certainly not… however, in their own slightly frustrated way they told her how beautiful she was. They stammered some clumsy and fearful compliments in homage to her unpossessable beauty. But the most vibrant account had slid from between their thighs, where it had cautiously hidden up to that point. Vibrant was really the word! When Sylvie, sliding her lacy white panties and matching bra from her body to appear in dazzling nudity, the two men expressed their unconditional surrender in an inextinguishable splash of seminal fervour.

    "This time, I forgive you," she said. "Come and show your goddess who much you admire her. And, if I am convinced of your love, I will give you permission to be free."

    Subjugated, drowning in their own emotions, the two little things joined her.

    Something like an immense tenderness submerged Sylvie. She thought of the little prince who one day dared to stroke a fox. She had tamed these two little foxes. She now had to take care of them.

    She shook her pretty blonde head to rid herself of the heavy thought for the moment. Circling the waists of her dumb prey, she carried them, like two young children, to the bed, open to strange and restless promises!

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