- This topic has 3 replies, 4 voices, and was last updated 17 years, 5 months ago by stmercy2020.
-
AuthorPosts
-
August 16, 2007 at 12:28 am #58159scatParticipant
LE JOURNAL DE TANYA – LIVRE 2
—–
03 Novembre 2000,
Cela fait bientôt un an que je vais à la salle !
… et déjà six que Sam ne me touche plus et je ne sais pas pourquoi.
Peut-être à cause de mon physique ? Il faut dire que j'ai encore pris du muscle.
Peut-être parcequ'il sent que je suis plus forte que lui et qu'il ne veut pas l'admettre ? Il dit toujours que c'est de la gonflette mais je crois qu'il ne le pense pas réellement.
En tous cas, il ne veut pas en parler. Je vais lui laisser du temps. Je verrai bien.
—–
05 Novembre 2000,
Ce matin, Sam était furieux. Il a du se doucher à l'eau froide en plein mois de Décembre : Le robinet d'eau chaude était bloqué. J'espère que ce n'est rien parcequ'il va encore dire que c'est ma faute : Il fonctionnait quand je me suis douchée.
S'il ne fonctionne pas demain, je me doucherai au gym après l'entraînement.
De toutes façons, il a promis de le réparer ce soir.
———
06 Novembre 2000,
Je me suis apercu que j'avais grandi de quatre centimètres !!!
Je l'ai remarqué parceque je ne voyais plus mes cheveux dans le miroir qui est pendu dans la salle de bain. Je suis allée consulter un médecin : Il n'a jamais vu de cas semblable.
" La croissance qui rédemarre à vingt ans, ce n'est pas possible ! " a-t'il déclaré. Il ne m'a pas crue.
Quoi qu'il en soit, j'ai décidé de porter des chaussures avec des talons plus petits pour éviter que Sam ne soit gêné. Il a toujours été plus grand que moi et je ne sais pas comment il réagirait si j'étais aussi haute que lui.
Si je continue à grandir, je ne mettrai plus de talons du tout.
Ah, oui ! … Sam a réparé le robinet.
—–
17 Novembre 2000,
Je me suis trompée de t-shirt en m'habillant, j'ai pris celui de Sam.
Je m'en suis aperçu tout de suite parcequ'il me serrait à la poitrine et aux épaules. Les manches qui sont flottantes lorsque Sam porte le t-shirt, ont du mal à contenir mes bras. j'ai décidé de me mesurer.
Taille : 1.64 m 5.6"
Poids : 62 kg 138 lb
mensurations : 98B/74/90 32B/29/35
biceps : 38 cm 15"
cuisse : 58 cm 23"Mes bras font 38 cm de circonférence (15 ") ! Ils sont bien plus gros que ceux de Sam mais je ne sais pas exactement combien mesurent les siens. J'ai drôlement envie de le lui demander mais j'ai peur de le vexer. Non seulement mes bras sont plus gros mais ils sont beaucoup plus durs et plus définis.
Ce soir, Sam m'a dit qu'il en avait assez de se doucher à l'eau froide depuis une semaine ! Pourtant, je me douche tous les jours avec de l'eau chaude.
Je crois savoir ce qui ne va pas ! Demain, j'en aurai le coeur net.
—–
18 Novembre 2000,
Au petit déjeuner, j'ai pris une bouteille de jus de fruit dans le frigo. J'en ai bu une gorgée et je l'ai mise sur la table en vissant bien le couvercle. Sam a essayé de l'ouvrir. Il est devenu tout rouge. Il s'est blessé à la main. Mais, il n'y est pas parvenu !
Dès qu'il a posé la bouteille, je l'ai prise et je l'ai ouverte sans effort manifeste. J'ai bu une grande gorgée à même la bouteille et je l'ai refermée. Puis, comme si je ne m'étais aperçue de rien, je l'ai reposée sur la table.
Je savais que Sam allait reprendre la bouteille et j'ai resserré aussi fort que la première fois.
Il a essayé à nouveau et, bien sûr, sans succès !
" Tu veux que je te l'ouvre, chéri ! "
" Je suis sûr que tu as un truc ! "
" Un truc ? … Je ne comprends pas ! "
" Si tu crois que je n'ai pas vu ton petit manège, tu te trompes ! "
" Mais, chéri ! Si tu n'y arrives pas, c'est uniquement parce que je suis plus forte que toi ! " et joignant le geste à la parole, j'ai ouvert la bouteille.
" Plus forte que moi ? Tu ne l'est pas et tu ne le seras jamais ! "
" Mais enfin, chéri ! Regarde-moi ! Tu ne crois tout de même pas que ces muscles sont là pour la décoration ? "
" Chérie, la gonflette ce n'est jamais que de la gonflette ! Et en plus tu es une fille ! "
" Oh ! En plus, monsieur est macho ! … Et que dirai-tu si la fille te proposait un bras de fer ? "
" Je dirai que c'est débile ! "
" Sam ! … Je veux que nous fassions un bras de fer ! "
" Tu donnes des ordres, maintenant ? "
" Tu préfères sans doute que nous le fassions en présence de Sandy et de Ben ? … Je ne veux pas te ridiculiser. Je veux juste te montrer que je suis plus forte que toi. "
" OK ! D'accord ! "
Sam a posé son coude sur la table et j'ai fait de même. Mais il ne m'a pas laissé le temps de me préparer. Il a immédiatement couché mon avant-bras sur la table.
Il s'est levé aussitôt avec un air satisfait.
" Tu vois ! C'est moi le plus fort ! "
Je n'ai rien dit car je savais bien qu'il avait triché parcequ'il avait peur de faire ce bras de fer.
Ce sera pour une autre fois.
—–
25 Novembre 2000,
Nous avons planté des arbustes pour décorer le jardin.
Sam a commencé à creuser un trou pour planter le premier arbre. Le sol est sec en ce moment et la bêche avait du mal à s'enfoncer. Il avait beau appuyer dessus avec le pied, l'outil refusait de s'enfoncer dans le sol. J'avais l'impression qu'il grattait le sol au lieu de le creuser. Petit à petit, en enlevant à chaque fois, une poignée de terre, il a réussi tout de même à faire un trou d'un trentaine de centimètres de profondeur.
Cela faisait plus d'une demie heure qu'il creusait. Il a arrété et a dit que cela suffisait. Mais, j'ai insisté pour qu'il continue en lui rappelant ce que nous avait dit le pépiniériste. Il faut au moins soixante centimètres de profondeur.
Il m'a tendu la bêche.
" Tu n'as qu'à continuer ! "
J'ai saisi la bêche et l'ai posée sur le bord du trou. j'ai mis une main à son extrémité et j'ai poussé de toutes mes forces. Mes bras se sont durcis, ils ont commencé à gonfler. Les muscles se sont dessinés lentement. Ils ont continué un court instant à grossir et à se détacher les uns des autre. Je sentais le regard de Sam sur moi, ou plutôt sur mes bras. La transpiration aidant, ils brillaient, ce qui augmentait encore leur définition. Tout d'un coup, la terre à cédé et la bêche s'est enfoncée quasi entièrement. J'ai enlevé une grosse pelletée de terre et j'ai continué. En deux minutes j'ai enlevé quatre fois plus de terre que lui en une demie heure.
Sam m'a dit que j'avais une bonne technique.
Il n'a pas voulu admettre que je suis plus forte que lui mais a proposé que je continue à creuser tandis qu'ils enracinerait les arbres.
Je me demande ce qu'il doit ressentir. Il sait pertinemment que je suis plus forte que lui. Pourquoi refuse-t'il de l'admettre ? Bien sûr, cela doit être difficile pour un homme d'admettre qu'il est plus faible que sa femme. Il lui faut du temps !
Pendant tout le reste de l'après-midi, je l'ai vu qui m'épiait. Ils semblait hypnotisé par mes bras et mes cuisses. Plus le travail avançait, plus je transpirais. Les goutellettes de sueur commençaient à perler le long de mes muscles gonflés par l'effort. De temps en temps, je m'essuyais le front avec mon avant bras puis je frottais mes bras pour en évacuer la sueur. Mes muscles étaient de plus en plus gros, de plus en plus durs, de plus en plus brillants. Moi-même, je me sentais excitée en passant mes doigts sur ma peau brûlante. J'ai passé mes doigts sous mon T-shirt. Mes abdominaux étaient durs et saillants. Mes doigts épousaient leur relief en glissant sur les muscles mouillés.
Mon T-shirt était tout trempé. J'ai décidé de l'enlever.
Je l'ai attrapé par la taille et l'ai levé lentement au dessus de mes épaules. Comme il collait à ma peau, j'ai été obligée d'onduler pour le faire glisser. Mes abdominaux se sont ébranlés. Ils se sont tendus où se sont contractés à tour de rôle. La sueur les rendait éclatants.
Je sais que Sam avait les yeux rivés dessus. Je l'ai entendu murmurer :
" Oh, mon D… ! "
" Tu disait, chéri ? "
" Non, non ! Rien du tout ! "
Je me demande ce qu'il pense de mon corps. Est-ce qu'il le trouve excitant ? Est-ce qu'il le trouve monstrueux ?
Je n'ose pas lui poser la question. J'ai peur de sa réponse. Peut-être vaut-il mieux attendre qu'il ait accepté l'idée que je le surpasse largement en force même si je suis une femme, qui plus est la sienne !
—–
15 février 2001,
Sam m'a demandé si cela ne me génait pas que les gens me regardent dans la rue et qu'ils fassent des commentaires sur mon physique. En réalité, je sens bien que c'est lui qui est géné. Il ne supporte plus la comparaison : Je ressemble aux bodybuildeuses des magazines.
La semaine dernière, dans un grand magasin, j'ai entendu une dame qui disait à sa fille :
" Regarde ! … Regarde comme il est maigre … et regarde sa femme ! "
Je sais qu'il a entendu mais je n'ai pas réagi et j'ai continué à regarder les vêtements . Je n'ai pas voulu le rabaisser en intervenant.
—–
21 février 2001,
Sam a arrété de se moquer de moi depuis quelques semaines. Mais je le sens distant. Je crois qu'il devient jaloux.
Il se sent flasque. Il se sent laid. Moi, je ne me suis jamais sentie aussi belle et je ne le cache pas. Il va falloir que je le persuade de s'entrainer avec moi.
—–
02 Mars 2001,
J'ai encore grandi. J'ai décidé de ne mettre que des sandales sans talons.
—–
15 Mars 2001 ,
Ce matin, en repassant, je suis tombée sur le t-shirt de Sam, celui que j'avais mis par erreur. J'ai bien envie de l'essayer encore mais j'ai peur de le craquer. C'est que j'ai pris beaucoup de muscle ces derniers mois. Je commence même à envisager la compétition de bodybuilding !
" Quite à le craquer, autant le faire avant de le repasser!"
Alors je n'ai pas hésité. J'ai passé le t-shirt autour de mon cou avec précaution en tendant le tissu à son maximum. J'ai entendu de petits craquement en passant les bras puis j'ai déroulé le tissu le long de mes abdominaux. Pas un pli n'était visible sur le t-shirt. J'ai eu l'impression d'avoir une seconde peau. Cette fois, il serrait vraiment ! En tout cas, j'ai constaté que je n'avais plus besoin de repasser mes t-shirts. Ils se tendaient tout seuls sur mon corps bodybuildé. Sam n'aura qu'a repasser les siens !
Du coup, j'en ai profité pour mesurer mes biceps à nouveau. Ils font 43 cm (17")
J'ai l'allure des championnes de bodybuildingTaille : 1.70 m 5.8"
Poids : 74 kg 165 lb
mensurations : 115B/74/90 45B/29/35
biceps : 43 cm 17"
cuisse : 66 cm 26"—–
17 Mars 2001,
Sandy et Ben sont venus souper à la maison.
Je n'ai pas raté l'occasion de proposer une partie de bras de fer. Sandy a paru enchantée.
Elle a fait de la place sur la table et elle a posé son coude dessus. Son biceps bien dessiné a immédiatement attiré le regard des deux garçons qui l'observaient avec convoitise.
Mais lorsque je suis revenue et que j'ai posé mon coude sur la table. Les regards se sont immédiatement portés sur mes bras. J'avais passé le t-shirt de Sam, celui qui me serrait tant. Le tissu épousait le moindre de mes muscles et semblait près à craquer. Pourtant, je faisais attention de ne pas les contracter. A côté de mes bras, ceux de Sandy, semblaient ridicules. Je n'ose pas imaginer ceux des garçons quand ils vont les mettre à côté des miens.
Sandy a poussé un soupir, puis s'est extasiée devant mes biceps." Oh, mon Dieu ! Tanya ! Ils sont merveilleux ! … Ben, tu as vu çà ? "
" Tu es prête ? … Dis 'Go' quand tu veux y aller ! "
" Ok … Go ! "
Le biceps de Sandy s'est contracté instantanément, formant une boule dense et saillante. Elle a serré les dents puis a commencé à émettre de petits cris pour faciliter sa respiration.
Je l'ai regardée en souriant mais elle ne regardait qu'une chose : mon biceps !
Il a commencé à se raccourcir et à gonfler lentement sous le tissu du t-shirt déjà trop petit. Bientôt, les coutures se sont tendues, elles ont émis de petits craquements et chacun a pu deviner ce qui allait se passer. Tous les yeux étaient rivés sur mon biceps.
J'ai tourné mon poignet et, CRAAAAAAAAK ! La manche s'est littéralement ouverte en deux, laissant émerger le muscle sous le regard médusé de Sandy et des deux garçons.
J'ai amené la main de Sandy contre la table, sans forcer, mais en contrôlant le mouvement, du début à la fin, pour que Sandy puisse mesurer à quel point ses efforts étaient vains.
J'ai levé l'autre bras en signe de victoire. Puis, je l'ai replié juste sous les yeux de Sam qui a reconnu son t-shirt.
J'ai contracté mon muscle.
" Ce qu'il me faudrait, chéri, c'est un vrai challenge ! … Un bras de fer contre un homme ! …
… CRAAAAAAAAK ! … Mon biceps a traversé le tissu !
" … contre un homme comme toi ! "
Sandy ne lui a pas laissé le temps de répondre :
" Oh, Oui ! Le mari contre la femme ! … C'est super excitant ! Tu ne peux pas refuser ! "
Elle s'est levée et a poussé Sam sur sa chaise. J'ai questionné Sam de nouveau :
" Alors, chéri ! Tu relèves le défi ? "
" Je t'ai battue une fois, je peux le refaire ! "
" Très bien, mon amour ! "
J'ai posé mon bras la première sur la table. Cette fois-ci j'ai volontairement contracté mon biceps pour l'impressionner. Mon bras semblait encore plus gros que tout à l'heure. Sam a hésité un moment puis il a posé son coude sur la table.
Même contracté, son biceps pouvait difficilement se voir tant il était petit et mal défini. Sam est devenu tout rouge. Son bras était ridiculement petit comparé au mien.
" Tu es prêt chéri ? … Tu dis 'GO' quand tu … "
Sam n'a pas attendu que je finisse ma phrase. Il a poussé de toutes ses forces mais mon bras n'a pas bougé.
J'ai contracté tous mes muscles et je l'ai laissé essayer pendant un long moment en souriant à Sandy et à Ben. Puis, j'ai rompu le silence :
" Chéri ! J'attends toujours que tu dise 'GO' ! "
" GO ! "
… BLAM ! …
En une fraction de seconde, j'ai abattu sa main sur la table et je l'ai ramenée à notre point de départ.
" Allez, chéri ! Je te donne une autre chance. "
Je me suis tournée vers Ben.
" Ben ! Tu es gaucher, n'est ce pas ? "
" Oui, pourquoi ? "
J'ai posé le bras gauche sur la table.
" Tu peux commencer quand tu veux ! "
" Mais … et Sam ? Vous n'avez pas fini ! "
Sandy s'est écrié :
" Tu veux dire que tu veux te mesurer à eux … en même temps ? … un adversaire à chaque bras ? "
" Allons Ben, ne me fais pas attendre ! Sam commence à fatiguer ! "
Ben s'est assis et à posé son coude sur la table. Il a jeté un coup d'oeil à Sandy et a lancé :
" Go ! "
Je sais que Sandy bat facilement Ben au bras de fer. Je savais donc pertinemment qu'il n'avait aucune chance contre moi. Ben et Sandy le savaient aussi. Je me suis simplement contentée de raidir mes muscles pour maintenir sa main en place. C'était vraiment trop facile.
Sam et Ben ont tenté de toutes leurs forces de faire bouger mes mains mais sans aucun succès. Ils se sont épuisés lentement. Moi je regardais Sandy en souriant. Elle semblait toute excitée. Elle s'est approchée de la table et a posé ses mains dessus. Ses seins comprimés entre ses bras se sont gonflés dangereusement. J'ai cru qu'ils allaient faire exploser sa fine robe printanière. Elle a proposé :
" Le vainqueur à droit à un baiser ! "
Contre toute attente, c'est Sam qui s'est senti pousser des ailes. L'idée d'embrasser Sandy semblait lui donner de nouvelles forces. J'ai décidé de jouer avec lui.
J'ai aplati la main de Ben contre la table et je l'y ai maintenue plaquée. J'ai concentré mon regard sur Sam en feignant de ne pas voir les gesticulations de Ben qui tentait desespérément de se libérer. J'ai interpelé Sandy.
" Sandy ! "
" Oui ? "
" … Tu parles d'un baiser sur la bouche, n'est-ce-pas ? … un baiser long et passionné ? "
Je pouvais sentir les tremblements dans les doigts de Sam. Je pouvais même sentir son pouls s'accélérer. Son coeur battait de plus en plus fort à l'idée d'embrasser Sandy. J'ai continué :
" Dis-moi, Sandy, est-ce que tu laisserais le vainqueur toucher tes seins ? "
" Pourquoi pas ! Ben, tu es d'accord ? "
Comme je maintenais toujours la main de Ben en place, j'ai resserré mes doigts lentement pour augmenter la pression. Cela a du devenir douloureux parcequ'il a eu du mal a répondre.
" Oui, oui, je suis d'accoooord ! "
Là, j'ai doucement amené la main de Sam contre la table. J'ai maintenu sa main sur la table un moment, contre celle de Ben, puis je les ai relâchés tous les deux. Sam s'est levé immédiatement:
" Cà m'a fait transpirer. Je vais passer un short et un autre T-shirt ! … Le temps de me changer et je reviens ! "
Sandy et moi nous sommes regardées. Nous avons pincé nos lèvres pour ne pas rire.
" Dommage que tu ne sois pas plus costaud, chéri, tu aurais gagné un beau baiser de Sandy ! … Ben, avec ta permission … "
" Vas-y ! C'est le jeu. "
J'ai attrapé Sandy par la taille et je l'ai embrassée longuement en la serrant dans mes bras.
Je voulais que Sam soit jaloux, alors j'y ai mis tout mon coeur. Bizarrement, j'ai trouvé cela délicieux. J'ai senti les mains de Sandy se poser sur moi et parcourir mes muscles encore chauds. Elle ne se contentait pas de toucher mais elle carressait doucement ma peau humifiée par les efforts que je venais de faire. Ses doigts épousaient les contours des veines qui sillonent mes bras. Elle a glissé ses mains jusqu'à mes épaules puis elle s'est plaquée contre moi. Ses seins se sont écrasés sur ma poitrine. J'ai senti leur chaleur se répandre sur mes pectoraux et m'envahir toute entière.
Lorsque j'ai senti que ma culotte comcençait à être mouillée, j'ai eu peur. Je l'ai repoussée énergiquement et l'ai maintenue à distance. Ben à rompu le charme.
" Eh bien ! Pour un baiser, c'est un baiser ! Pas vrai Sam ? … Tiens, mais où donc est Sam ? "
Devinez où il était ce faux-jeton ?
—–
18 Mars 2001,
Sam m'a demandé s'il pouvait s'entrainer avec moi. Il veut perdre le ventre et retrouver un peu de tonus. C'est ce qu'il dit mais je crois qu'il veut se muscler pour redevenir plus fort que moi. Malgré cela, je suis contente qu'il s'y mette. J'ai simplement peur qu'il se sente ridicule. Il se sent déjà affreusement moche lorsqu'il est près de moi. Que va t'il penser, à l'entrainement, quand il va se sentir faible, fragile et inutile ? Je ne veux pas ruiner son ego.
J'ai décidé de faire juste un échauffement avec lui. Je m'entraînerai plus tard dans la journée.
—–
19 Mars 2001,
Je lui ai demandé de faire une répétition à son maximum pour calculer sa charge idéale. Il a fait un développé couché à 35 kilos. Je n'en reviens pas que ce soit son maxi ! J'utilise plus de poids pour les biceps à la barre !
Je lui ai fait faire une série de 10 répétitions avec 29 kg. ( C'est à dire la barre de 25 kg et un disque de 2 kg de chaque côté. Il y est arrivé assez facilement mais en trichant un peu sur la vitesse d'execution. Puis, il a fait une deuxième série et une troisième. Pour la dernière, j'ai été obligée de l'aider sur les dernières répétitions. Il était assez fier de lui.
Puis je lui ai dit que j'allais faire une série à 65 kg. ( D'habitude je soulève 100 kg mais j'ai décidé de faire un échauffement pour ménager l'égo de Sam. Alors aujourd'huis, rien au dessus de 65 kg !). Il n'a rien dit. Pourtant c'était plus de deux fois ce qu'il venait de lever. J'ai enlevé le disque de 2 kg et je suis allée en chercher un de 20 kg (25 kg plus deux disques de 20 égalent 65 kg).
Lorsque je suis revenue, il avait empilé 10 disques de deux kilos et était en train de sécuriser la charge avec une pince. Je revois encore son regard lorsqu'il m'a dit :
" Dix fois plus ! ".
J'étais génée pour lui. Je n'avais pas envisagé la chose sous cet aspect là.
Je me suis senti obligée de faire semblant de forcer.
Pour les dernières répétitions, je lui ai même demandé de l'aide. Pourtant, j'aurais pu soulever cette barre même avec Sam assis dessus !Pauvre Sam ! Pour le squat, çà a été pire !
J'ai réalisé mes séries avec la même barre de 65 kg. (On l'a soulevée du banc et transportée à deux, vu que tout seul il n'y arrivait pas et que je ne voulais pas la porter toute seule devant lui). Sam a fait les squats avec un manche de balai : le poids de la barre seule le faisait basculer dangereusement.
Je lui ai proposé d'arrêter pour aujourd'huis. Il m'a dit que le squat c'était trop facile et qu'il voulait faire quelquechose de plus dur. Pauvre Sam ! Il arrivait à peine à respirer tant le squat lui avait demandé d'efforts mais il ne voulait pas l'admettre.
Je lui ai conseillé de travailler le dos.
J'ai fait deux séries en tirant 65 kg à la machine. J'ai pris soin de faire l'exercice lentement et de bien lui expliquer et je lui ai cédé la place en positionnant la goupille sur 30 kg. Il a fait sa première série en trichant un peu mais il y est arrivé. Pour la deuxième, il a repéré les crochets qui me servent à tirer les lourdes charges et il les a mis aux poignets. Il a ensuite remis la goupille à 65 kg, comme moi !
" C'est pour essayer ! " a t'il dit.
Il s'est accroché et a tenté de s'asseoir. Impossible ! Le pauvre faisant 60 kg tout mouillé est resté pendu. Il m'a demandé de l'aider à bloquer ses genoux mais j'ai refusé. Il se serait encore ridiculisé.
J'ai attendu que Sam parte faire des courses pour faire mon entrainement.
Pour le développé couché j'ai mis 105 kg, soit 40 kg de chaque côté. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser :" Vingt fois plus, chéri ! … Vingt fois plus ! "
———
13 Avril 2001,
Aujourd'huis, nous sommes allés à la fête foraine Sam et moi. Nous avons passé l'après-midi en amoureux.
J'aurais aimé que nous nous enlacions que nous marchions l'un contre l'autre mais Sam a dit qu'il préférait que nous nous tenions la main.
Il a eu peur de paraitre ridicule.
Il faut dire que j'ai mis ma robe bleue avec de petits motifs fleuris, c'est celle qui est la plus moulante. Elle est très courte et sans manches : elle met en valeur mes cuisses et mes bras. En plus, j'ai fait un gros entraînement ce matin, mes muscles sont surgonflés.
Pauvre Sam ! De toutes façons, il avait l'air ridicule lorsque je le dirigeais de gauche à droite comme un pantin, manquant de le renverser ou de lui arracher le bras à chaque occasion.
De temps à autre, je le laissais diriger lorsque je sentais une traction à mon bras, de sorte qu'il ai l'impression de prendre l'initiative. Mais le plus souvent, je restais immobile et le laissais se fatiguer ou je le trainais de force là où je voulais.
Je l'ai amené devant le stand du punching-ball, celui où chacun peut montrer sa force en cognant un ballon de basket. C'est modèle qui affiche votre niveau en indiquant qui vous êtes : '1-fillette', '2-gringalet', '3-homme', '4-athlète', '5-costaud, '6-brute', '7-superman'.
L'année dernière, il y avait passé un moment avec Ben. Si je me souviens bien, l'un et l'autre n'arrivaient pas au tiers des graduations, quelque part entre '1-fillette ' et '2- gringalet '. Je savais qu'il ne voudrait pas se mesurer à moi.
Mon intention n'était pas de l'y obliger mais de lui montrer ma supériorité.
" Sam ! Je voudrais essayer. "
" Cà ? "
" Oui ! J'aimerais essayer ! Tu veux bien me montrer ? "
" C'est hors de question ! C'est un truc de débiles ! "
" Tu l'as bien fait, l'année dernière, avec Ben ? "
Sam est devenu tout rouge. J'ai introduit une pièce dans l'appareil et ai mis le ballon en place, sans cesser de le regarder.
" Chéri ! Tu te souviens jusqu'où tu es arrivé l'année dernière ? "
Il a hésité un moment ne sachant quoi répondre: ce n'est pas facile de dire à sa femme qu'on a atteint le score de 'fillette'. Sa gorge s'est nouée. Des larmes ont commencé à poindre dans le coin de ses yeux. Il savait que j'allais faire mieux, beaucoup mieux. Il a du se sentir minable.
" Je crois que je suis arrivé à '3-homme' … peut-être '4-athlète' mais je ne suis pas sûr. "
" Oui, bien sûr. Si tu avais fait moins, cela aurait été pitoyable, n'est-ce-pas ? "
Il a baissé la tête.
" Oui, bien sûr. "
Je n'avais jamais envoyé de coup de poing avant aujourd'huis. Je me demandais comment faire, quelle sensation cela allait me procurer. Je trépignais à l'idée de frapper dans le ballon.
J'ai levé mon bras et me suis tournée legèrement pour préparer ma frappe. Mes muscles se sont bandés. Ils sont devenus durs et saillants. De grosses veines sont apparues sous la peau. J'ai contracté encore puis lorsque mes muscles ont commencé à trembler, j'ai frappé.
Au choc, j'ai senti ma main s'enfoncer dans le ballon. Ce dernier a épousé la forme de mon poing pendant un court instant. Puis, avec son élasticité, il s'est regonflé en accompagnant mon bras et est allé s'écraser contre le socle métallique… BLAAAMMMM !!! …
" Niveau 7 ! Superman ! "
Sam avait toujours la tête baissée. Je l'ai saisi par la machoire et l'ai obligé à me regarder. Ses yeux étaient remplis de larmes.
" Chéri, je suis une superwoman ! "
—–
August 16, 2007 at 12:27 pm #58160MermozParticipantAdmirable, comme à l'accoutumée!!! j'attends avec impatience de poouvoir feuilleter la suite de ce journal intime!!! ::) ::)
August 19, 2007 at 4:11 pm #58161FonkParticipantMore from Tanya's diary!
——————–3 November 2000
Soon it'll be a year since I started at the gym!
… and six months already since Sam stopped touching me and I don't know why.
Maybe it's because of my physique? I have to say that I've put on more muscle.
Maybe because he feels that I'm stronger than him and he doesn't want to admit it? He keeps saying it's silly girly exercise but I don't think he really thinks so.
Anyway, he doesn't want to talk about it. I'm going to give him some time. I'll see.
—–
5 November 2000
This morning Sam was furious. He had to take a shower with cold water: the hot water tap was blocked. I hope it's not a big problem because he's going to say it was my fault: it worked perfectly when I showered.
If it doesn't work tomorrow, I'll shower at the gym after training.
Anyway, he promised to repair it tonight.
—–
6 November 2000
I noticed that I've gotten four centimetres taller!
I noticed when I couldn't see my hair in the mirror we've got in the bathroom. I went to the doctor, and he said he's never seen anything like it.
"Growing again at the age of twenty… it's just not possible!" he declared. He didn't believe me.
Whatever's happened, I've decided that I'll wear smaller heels so that Sam doesn't get embarrassed. He's always been taller than me and I don't know how he would react if I was as tall as him.
If I keep growing, I won't wear heels at all.
Oh yes! Sam repaired the tap.
—–
17 November 2000
I put on the wrong T-shirt this morning – it must have been one of Sam's.
I noticed straightaway because it was tight around the chest and shoulders. The sleeves, which are baggy on Sam, had trouble containing my arms. I decided to measure myself.
Height: 5'6"
Weight: 138 pounds
Measurements: 32B/29/35
Biceps: 15 inches
Thighs: 23 inchesMy arms are fifteen inches around! They are much bigger than Sam's, but I don't know exactly how much his measure. I really want to ask him but I'm afraid he'll go in a mood. Not only are my arms bigger but they are much harder and more defined.
In the evening Sam said to me that he'd had enough of showering with cold water for a week! It was weird because I've been showering with hot water all the time.
I think I know what's up! Tomorrow I'll see if I'm right.
—–
18 November 2000
At breakfast I took a bottle of fruit juice from the fridge. I took a sip and put it on the table, putting the lid back on tightly. Sam tried to open it. He went red. He hurt his hand. But he couldn't do it!
As soon as he put the bottle down, I took it and opened it without any effort. I took a big swig from the bottle and put the lid back on. Then I put it back on the table, as if I hadn't noticed anything.
I knew that Sam was going to pick up the bottle again and so I'd tightened just as hard as before.
He tried again and, of course, couldn't do it!
"Do you want me to open it, honey?"
"I'm sure you've done something!"
"Something? I don't understand!"
"If you think I haven't seen your little game, you're wrong!"
"Come on, honey! If you can't do it, it's only because you're not as strong as me!" And, making word into action, I opened the bottle.
"Stronger than me? You are not and you never will be!"
"Come on, darling! Look at me! You don't think that these muscles are just for show?"
"Honey, your girly exercise hasn't done a thing! You're still a girl!"
"Oh! And sir is so macho!" I paused. "What would you say if this girl asked you to arm-wrestle?"
"I'd say it was silly!"
"Sam! I want us to arm-wrestle!"
"Are you giving the orders now?"
"So you'd obviously prefer that we do it when Sandy and Ben are here? I don't want to make you look silly. I just want to show you that I'm stronger than you."
"OK! All right!"
Sam put his elbow on the table and I did the same. but he didn't give me time to get ready. He immediately put my forearm on the table.
He stood up instantly, looking satisfied.
"You see! I'm the strongest!"
I didn't say anything because I knew he'd cheated because he was scared of the contest.
I'll have to do it another time.
—–
25 November 2000
Today we planted bushes in the garden.
Sam started to dig a hole to plant the first tree. The ground is dry at the moment and he had trouble getting the spade into the ground. He pushed on it with his foot, but it refused to go in. I had the impression he was scratching at the ground instead of digging. Little by little, pulling out a handful of earth each time, he managed to dig a hole about twelve inches deep.
And that was from more than half an hour's work. He stopped and said that would be enough. But I insisted that he carry on, reminding him what the guy at the DIY store had said: the hole should be at least two feet deep.
He handed me the spade.
"So why don't you carry on?"
I took the spade and placed it at the edge of the hole. I got a grip on the handle and pushed with all my strength. My arms went hard and started to expand. The muscles revealed themselves slowly. They continued to grow for a moment and began to separate out. I could tell Sam was looking at me, or rather my arms. Thanks to the sweat they started to shine, increasing their definition. All of a sudden the ground gave up and the spade was nearly swallowed whole. I lifted out a shovelful of earth and carried on. In two minutes I'd moved four times more soil than he had in half an hour.
Sam said that I had good technique.
He didn't want to admit that I am stronger than him, but said I should continue to dig whilst he planted the trees.
I wonder how he must feel. He must know that I am stronger than him. Why does he refuse to admit it? Of course, it must be difficult for a man to admit that he is weaker than his wife. He just needs time!
I noticed that he spied on me for the rest of the afternoon. He seemed hypnotised by my arms and thighs. The more I worked, the more I sweated. Beads of sweat started to run down my inflated muscles. From time to time I wiped my forehead with my forearm, and shook my arms to get the sweat out. My muscles were bigger and bigger, harder and harder, more and more shiny. I even felt excited when I brushed my fingers against my burning skin. I passed my fingers under my T-shirt. My abdominals were hard and prominent. My fingers traced their shape, sliding over the slick muscles.
My T-shirt was soaked through. I decided to take it off.
I took it by the waist and slowly lifted it over my shoulders. As it was stuck to my skin, I had to wriggle out of it. My abdominals shook. They stretched and contracted in turn. The sweat made them shine.
I know Sam's eyes were glued to them. I heard him murmuring.
"Oh my G – "
"What was that, darling?"
"No, no! Nothing!"
I wonder what he thinks of my body. Does he think it excite him? Does he think it's monstrous?
I daren't ask him. I'm afraid of what he'll say. It might be better to wait till he's accepted the idea that I'm stronger than him, even if I'm a girl… and his, to boot!
—–
15 February 2001
Sam asked me if I got embarrassed when people look at me in the street and make comments about my physique. In reality, I know full well that it's him who's embarrassed. He can't stand the comparison: I look like a female bodybuilder.
Last week we were in a department store when I heard a woman speaking to her daughter.
"Look!" she whispered. "Look how thin he is… and look at his wife!"
I know he heard but I carried on looking at clothes as if nothing had happened. I didn't want to make it worse by intervening.
—–
21 February 2001
Sam's not made fun of me for a few weeks now. But he's become distant. I think he's gotten jealous.
He feels weak. He feels ugly. Well, I've never felt so beautiful and I don't hide it. I'm going to have to get him to come training with me.
—–
2 March 2001
I grew again. I'll have to wear flats now.
—–
15 March 2001
This morning I happened on that T-shirt of Sam's, the one I put on by mistake. I really want to try it on but I'm scared I'll rip it apart. I've put on a lot of muscle these past few months. I'm even thinking about entering a bodybuilding contest!
"So what if I burst it," I thought. "One less thing to iron!"
So I didn't hesitate. I put the T-shirt around my neck, taking the precaution of stretching it to its maximum. I heard a few rips when I put my arms through, just before rolling it out over my abs. The T-shirt didn't bunch up anywhere – it felt like I had a second skin. This time it was really tight! In any case, I noticed that I no longer had to iron my T-shirts. They would straighten out by themselves if I put them on my muscular body! Sam would have to iron his own!
At the same time, I measured my biceps again. They are seventeen inches.
I look like a bodybuilding champion!
Height: 5'8"
Weight: 165 pounds
Measurements: 45B/29/35
Biceps: 17 inches
Thighs: 26 inches—–
17 March 2001
Sandy and Ben came over for dinner.
I didn't miss the chance to ask for an arm-wrestle. Sandy agreed readily.
She made a place on the table and put her elbow on it. Her well formed biceps immediately drew the attention of the two boys, who looked at it jealously.
And then I came in and put my elbow on the table. Everyone looked at my arms straightaway. I'd put on Sam's T-shirt, the one that was so tight on me. The fabric showed off every one of my muscles and seemed ready to burst at any moment. However, I made sure not to contract them. Next to my arms, Sandy's seemed ridiculous. I didn't dare imagine what the boys' arms would look like next to mine.
Sandy sighed dreamily, and then got all enthusiastic.
"Oh my God! Tanya! They're incredible! Ben, have you seen these?"
"Are you ready?" I asked. "Say 'Go' when you want to start!"
"OK… go!"
Sandy's biceps contracted instantly, forming a dense and prominent ball. She gritted her teeth and started to grunt a little.
I looked at her, smiling, but she was only looking at one thing: my biceps!
They had started to draw in and slowly expand under the fabric of the T-shirt that was already too small. Soon the stitching stretched out, making little cracking noises so that everyone could guess what was going to happen. All eyes were fixed on my biceps.
I turned my wrist and CRAAAAAAAAK! The sleeve literally tore in two, revealing the muscle to Sandy and the boys' dumbfounded gaze.
I brought Sandy's hand to the table, not forcing it, controlling the movement from beginning to end, so that Sandy could tell how vain her efforts were.
I lifted my other arm in victory. Then I flexed it just at the moment that Sam recognised his T-shirt.
I contraced my muscle.
"What I really need, honey, is a proper challenge! To arm-wrestle against a man!"
CRAAAAAAAAK! My biceps came through the material!
"Against a man like you!"
Sandy didn't give him time to reply.
"Oh, yes! The husband against the wife! Very exciting. You can't turn her down!"
She stood up and pushed Sam into her chair. I asked Sam again.
"So, darling! Do you take up this challenge?"
"I beat you once, I can do it again!"
"Very well, my love!"
I put my arm on the table first. This time I voluntarily contracted my biceps to impress him. My arm seemed bigger than before. Sam hesitated for a moment, but put his elbow on the table.
Even contracted it was difficult to see his biceps as he was so small and undefined. Sam went red. His arm seemed ridiculously small compared to mine.
"Are you ready honey? Say 'Go' when you – "
Sam didn't wait for me to finish. He pushed with all his strength but my arm didn't move.
I contracted all my muscles and let him try for a little while, smiling at Sandy and Ben. Then I broke the silence.
"Honey! I'm still waiting for you to say 'Go'!"
"Go!"
BLAM!
In a fraction of a second, I'd put his hand on the table and then brought it back upright.
"Alright, darling! I'm going to give you another chance."
I turned to Ben.
"Ben! You're left-handed, aren't you?"
"Yes, why?"
I put my left arm on the table.
"You can start when you want!"
"But… what about Sam? You haven't finished!"
"You mean you want to arm-wrestle both of them – at the same time? One on each arm?" Sandy cried.
"Come on, Ben, don't make me wait! Sam's starting to get tired!"
Ben sat down and put his elbow on the table. He glanced at Sandy.
"Go!" he said.
I know that Sandy can easily beat Ben in an arm-wrestling contest. So I definitely knew he had no chance against me. Ben and Sandy both knew it too. I was happy just to tense my muscles and keep them both in check. It was really too easy.
Sam and Ben tried with all their might to get my arms to move, but couldn't do it. They both got tired. I just looked at Sandy and smiled. She seemed very excited. She came close to the table and put her hands on it. Her breasts, squashed between her arms, had swollen dangerously. I thought they were going to bust through her thin summer dress.
"The winner gets to kiss me!" she proposed.
Against all expectation, Sam got a second wind. The idea of kissing Sandy seemed to give him strength. I decided to play with him.
I beat Ben and kept his hand on the table. I looked hard at Sam and faked not being able to feel Ben, who was going to increasing efforts to free himself.
"Sandy!" I said.
"Yes?"
"You mean a kiss on the lips, right? A long and passionate kiss?"
I could feel Sam's fingers trembling. I could even feel his pulse accelerate. His heart beat faster and faster at the idea of kissing Sandy.
"Tell me, Sandy, would you let the winner touch your breasts?"
"Why not! Ben, is that OK with you?"
As I was still keeping Ben's hand in place, I tightened my grip slowly to turn the pressure on. It must have gotten painful because he had trouble replying.
"Yes, yes, that's fiiiiiiiiine!"
Then I gently brought Sam's hand to the table. I kept his hand there for a moment, next to Ben's, then I let them both go. Sam stood up immediately.
"That made me sweat. I have to get into shorts and a T-shirt. I'll just get changed!"
Sandy and I looked at each other, biting on our lips so as not to laugh.
"Shame you're not much tougher, darling, you could have gotten a nice kiss from Sandy! Ben, with your permission…"
"Go on! You did win!"
I took Sandy by the waist and kissed her slowly, squeezing her tight in my arms.
I wanted Sam to be jealous, so I didn't hold back. Bizarrely, it was delicious. I felt Sandy's breasts push into me and squash against my still warm muscles. She didn't just touch me; she caressed my skin, warmed up by the efforts I'd just displayed. Her fingers traced the lines of the veins running through my arms. She slid her hands up to my shoulders and pulled her body close to mine. Her breasts crushed up against my chest. I felt their warmth spread over my pectorals and invade me completely.
When I felt my panties getting wet I got scared. I pushed her away from me and kept her at a distance. Ben broke the spell.
"Well! That's what you call a kiss! Isn't that right Sam… hey! Where's Sam?"
Guess where that phoney was?
—–
18 March 2001
Sam asked if he could come training with me. He wants to lose weight and get some tone. That's what he said but I think he wants to get stronger so he can be stronger than me again. Despite that, I'm pleased he wants to. I'm just scared he'll feel silly. He already feels a fool when he's near to me. What's he going to think, at the gym, when he feels weak, fragile and useless? I don't want to destroy his ego.
I decided I'd just do my warm-up with him. I can train later in the day.
—–
19 March 2001
I asked him to do one rep at his maximum so I could calculate the best weight for him. He did a seated press of thirty-five kilos. I couldn't believe that that was his maximum! I use that weight for my bicep curls!
I made him do ten reps of twenty-nine kilos – the bar (weighing twenty-five kilos) and a two kilo weight at either side. He managed fairly easily but cheated a little with the speed of the exercise. Then he did a second set, and a third. I had to help him with the last few reps. He was quite proud of himself.
Then I said to him I was going to do a set with sixty-five kilos (I normally lift a hundred but I'd decided to do a warm-up to keep Sam sweet.. so today, nothing over sixty-five kilos!). He didn't say anything, although it was more than twice as much as he'd lifted. I took the two kilo weights off and went to find some twenty kilo ones.
When I came back, he had piled up ten two kilo weights and was putting them through a bar. I can still he him now…
"Ten times more!"
I was so embarrassed for him. I'd never thought of it that way before.
I felt that I had to make it look like I was struggling.
I asked him to help me out for the last few reps, even though I could have lifted that bar, even with Sam sitting on it!
Poor Sam! His squats were worse!
I did my sets with the same sixty-five kilo bar (we moved the bench and moved the bar together, seeing as he would never have been able to do it himself and I didn't want to carry it on my own in front of him). Sam did his squats with just the bar: that weight alone made him wobble dangerously.
I said we should stop for the day. He said that those squats had been too easy and he wanted to do something harder. Poor Sam! The squats had taken so much out of him he could hardly breathe, but he didn't want to admit it.
I advised him to work on his back.
I did two sets, setting the machine to sixty-five kilos. I took care to do the exercise slowly and explain it to him fully. When we swapped places I set the machine to thirty kilos. He cheated a little on his first set but he got through. For the second set, he noticed the needle I'd used to set the machine and took hold of it. He put it at sixty-five kilos, like I had!
"Just to see," he said.
He took hold of the grip and tried to pull it. Impossible! The poor guy, no more than a hundred and thirty pounds, had no chance. He asked me to help him out but I refused. He would have felt awful.
I waited for Sam to go and do the shopping before I started my training.
I put a hundred and five kilos on for the seated press – forty kilos on both sides.
"Twenty times as much, honey – twenty times as much!"
—–
13 April 2001
Today Sam and I went to the fun fair. We spent the afternoon as a couple.
I would have liked us to be cuddled up next to each other but Sam said he preferred to hold my hand.
He didn't want to seem ridiculous.
I have to add that I put on my blue flowery dress because it's the most figure-hugging one. It's very short and doesn't have sleeves, showing off my thighs and arms. I'd also trained hard that morning and my muscles were still pumped.
Poor Sam! Anyway, he looked ridiculous as I dragged him all over the shop like a puppet. I nearly trod on him or tore his arm off several times.
Once in a while I let him take the lead when I felt my arms get tired, so it looked like he had taken the initiative. Most of the time, though, I stayed still and let him tire himself out, or dragged him around where I wanted.
I brought him in front of a punching ball – one of those naff fairground things, where you show how strong you are by bunching a basketball. This particular model had seven rankings: 1 – little girl; 2 – little boy; 3 – man; 4 – athlete; 5 – tough; 6 – beast; and 7 – superman.
Last year he and Ben both tried it out. If I remember rightly, neither of them got more than a third of the way up the rankings, landing somewhere between 'little girl' and 'little boy'. I knew he wouldn't want to measure himself against me.
But I didn't want to oblige him to; I just wanted to show my superiority.
"Sam! I want to have a go."
"On that?"
"Yes! I'd love to have a go! Do you want to show me how it's done?"
"Out of the question! It's for losers!"
"But you had a go last year, with Ben, right?"
Sam went red. I put a coin in the machine and put the ball in place, looking at it constantly.
"Honey! Do you remember where you got to last year?"
He hesitated for a moment; it's not easy to admit to your wife that you got the score 'little girl'. He couldn't speak. Tears started to appear at the corners of his eyes. He knew I was going to do better, much better. He must have felt like a loser.
"I think I got '3 – man'… maybe '4 – athlete', but I can't be sure."
"Yes, of course. If you'd got less, it would have been pitiful, wouldn't it?"
He lowered his head.
"Yes, of course."
I'd never thrown a punch before today. I wondered how to do it, what sort of feeling I'd get. I was impatient to hit the ball.
I lifted my arm and turned slightly to prepare myself. My muscles tensed, becoming hard and prominent. Big veins appeared under my skin. I contracted more until my muscles had started to shake, then I punched.
I felt my hand push into the ball on impact. In fact, it kept the shape of my fist for a moment when I removed it. Then, with its elasticity, it snapped back into shape and the siren went off – BLAAAMMMM!!!
"Level 7! Superman!"
Sam had kept his head down. I grabbed his jaw and forced him to look at me. His eyes were filled with tears.
"Darling, I'm a superwoman!"
August 19, 2007 at 5:10 pm #58162stmercy2020ParticipantOddly enough, I find myself feeling a little sorry for Tanya, not Sam. I've seen guys like this, too- guys who have to prove how manly they are by demeaning or belittling someone else's accomplishments- you can totally understand Tanya's desire to show her superiority, even if just a little. The reason I end up feeling sorry for her, though, is that she is still reacting to his personality and his emotional abuse. Hopefully she is strong enough to break the abusive cycle, although that is rare for this type of story.
-
AuthorPosts
- You must be logged in to reply to this topic.