Tanya’s diary – part 3 – in french (NSFW)

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    scat
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    LE JOURNAL DE TANYA – LIVRE 3

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    27 Mai 2001,

    Comme je grandi encore, je mets des talonettes dans les chaussures de Sam pour qu'il soit encore plus grand que moi. Mais je crois qu'il commence a se douter de quelque chose. Je vais devoir le lui avouer. Peut-être demain ?

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    29 Mai 2001,

    Hier, Sam m'a annoncé qu'il part en déplacement pendant deux mois.

    J'ai décidé de tout lui dire au sujet de ma croissance. J'ai mis des escarpins et des dessous sexy pour l'occasion.

    Je l'ai attendu impatiemment toute la journée. Quand il est arrivé, au lieu de me jeter à son cou, je suis montée dans la chambre et je me suis allongée sur le lit.

    Je me suis dit qu'il remarquerait moins la différence de taille si j'étais couchée.

    Nous avons fait l'amour toute la nuit.

    Je n'ose pas écrire ce que nous avons fait ou plutôt ce que j'ai fait. Lui, il n'a pas eu d'autre choix que de subir. Même s'il semblait aimer cela, j'ai le sentiment de l'avoir violé.

    A aucun moment, il n'a eu le contrôle. A aucun moment, il n'a pu faire le moindre geste sans que je le lui ai permis. Je l'ai maintenu par les poignets, par les chevilles. Je l'ai écrasé entre mes cuisses, entre mes bras, contre mes pectoraux ou encore entre mes mains surpuissantes. A aucun moment, ses pathétiques efforts n'ont entravés le moindre de mes mouvements.

    Pourtant, il a essayé. Le pauvre !

    Il ne pouvait même pas se débattre tant mes muscles écrasaient les siens. Je sentais simplement de petites ondulations sur ma peau lorsqu'il tentait de contracter un muscle pour se dégager.

    A un moment, tandis qu'il gisait allongé sur le dos, je l'ai agrippé d'une main par les deux chevilles réunies et de l'autre par la mâchoire. Puis, je me suis approchée lentement et j'ai léché son sexe tout doucement. Il a commencé à gigoter. J'ai tendu mes bras. J'avais l'impression de l'étirer, comme s'il était en train de s'allonger. Ses tremblements devenait de plus en plus faibles. J'ai écarté encore mes bras. J'ai entendu les os de ses jambes craquer au niveau des articulations. Ses muscles s'étaient allongés et semblaient tout raides. Il ne pouvait plus faire le moindre mouvement. Seuls ses bras s'acharnaient sur ma main pour se libérer au niveau de la mâchoire.

    Je l'ai utilisé comme un sex-toy toute la nuit. J'espère qu'il a aimé. En tous cas, il a eu cinq orgasmes.

    Finalement, je lui ai tout avoué au sujet de ma croissance. Il n'a eu aucune réaction.

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    30 Mai 2001,

    Aujourd'huis Sam n'a pas pu aller travailler. D'abord, il s'est réveillé à midi, ensuite, il ne peut pratiquement pas bouger. Tous ses muscles sont endoloris. Toutes ses articulations émettent de petits craquements lorsqu'il essaie de bouger. J'ai proposé de le masser avec des baumes apaisants mais il n'a pas voulu. Il a passé la journée enfermé dans la chambre.

    Peut-être, suis-je allée trop loin hier soir ? Son égo a du en prendre un coups, c'est sûr !

    J'espère qu'il m'aime toujours !

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    08 Juin 2001,

    Sam est parti en stage la semaine dernière.

    Je ne lui pas dit que j'avais rencontré un coach.

    Je suis décidée à me lancer dans la compétition. Après tout, les filles que je voie dans les magazines ne sont pas plus musclées que moi. En m'entraînant de façon plus scientifique, avec le coach, je suis sûre de progresser.

    La seule chose qui me préoccupe c'est la réaction de Sam quand il verra les résultats.

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    24 Juillet 2001,

    Sam est rentré de stage. J'ai remarqué qu'il avait profité de notre éloignement pour aller dans un gym. Il est plus tonique. Cependant, les changements  ne sont pas visibles. Il est toujours aussi fluet et a toujours son petit ventre bedonnant.

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    25 Juillet 2001,

    Sam commence à se poser des questions sur notre relation. Mais, il n'ose pas m'en parler.

    Comme je suis plus forte que lui, c'est moi qui fait les travaux pénibles à la maison, ne lui laissant plus que les tâches ménagères. Il ne rechigne pas à la besogne mais je pense qu'il doit se sentir inutile dans son rôle d'homme. En admettant, bien sûr, que l'homme est un rôle particulier !

    Par exemple, aujourd'huis, il n'a pas pu sortir la voiture du garage : J'ai laissé un bac à fleurs posé devant la porte basculante. Comme il n'a pu ni le soulever, ni le traîner, il a du attendre que je revienne du footing pour l'enlever. Je l'ai soulevé facilement et l'ai maintenu en l'air avec une main :

    " Tu vois, ce n'était pas si dur ! "

    Il a tourné les talons et est parti.

    Je crois qu'il a pleuré. Je n'aurais pas du me moquer de lui.

    Pour me faire pardonner, j'ai mis la robe rouge moulante qu'il aime bien. Cà m'a couté 200 euros de retouches !

    C'est que j'ai encore pris du volume !

    Taille : 1.72 m 5 ' 8"
    Poids  :  95 kg 211 lb
    mensurations : 130B/74/90 51B/29/35
    biceps : 48 cm 19"
    cuisse : 73 cm 29"

    Je crois qu'il commence à fantasmer sur mon corps.
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    29 Juillet 2001,

    Sam m'a demandé s'il pouvait encore venir au gym avec moi. Je suis sûre qu'il veut me montrer qu'il peut soulever davantage que la première fois.

    Cette fois ci, je crois que je vais faire des séries avec les charges habituelles. Au diable son ego !

    Après tout, avec des biceps de 48 cm (19"), peut-il vraiment croire que je me contente de soulever des charges de débutante ?

    Je suis plus musclée que la plupart des bodybuilders masculins !

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    30 Juillet 2001,

    L'entrainement :

    Sam a été très enthousiaste.

    Dès qu'on est arrivés, il a chargé la barre du développé couché avec un disque de 20 kg de chaque côté pour un poids total de 65 kg. C'est ce que j'avais utilisé la première fois. J'ai été surprise qu'il s'en souvienne encore. C'est la preuve qu'il n'est pas complètement détaché de ce que je fais.

    Je lui ai fait remarquer que j'avais progressé et lui ai demandé de rajouter 20 kg de chaque côté pour faire une série d'échauffement avec 105 kg.

    C'était facile ! Je n'ai pas eu besoin de me concentrer.

    Pour les séries suivantes, il a rajouté encore un disque de chaque côté pour amener la barre à 145 kg. Là, c'était plus dur mais je me suis concentrée pour éxecuter le mouvement parfaitement. Je sais que çà lui a plu : Il suffisait de voir sa tête.
    Surtout quand il compris qu'il y avait 60 kg de chaque côté de la barre, c'est-à-dire son propre poids.

         

    Cela fait longtemps qu'il n'a pas posé ses mains sur mes bras. Même quand nous faisons l'amour, il évite de les toucher ou de s'attarder dessus. Il doit avoir peur que je lui demande de comparer.

    D'ailleurs, maintenant que j'y pense, il ne me touche presque pas.

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    31 Juillet 2001,

    Hier, c'était trop bon ! J'espère qu'il reviendra s'entrainer avec moi. J'ai adoré cette sensation de supériorité. Il faut que je teste çà encore et encore.

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    02 Août 2001,

    Sam n'a pas eu l'air emballé de partir à la mer cette année, pourtant nous partons tous les ans depuis notre rencontre. Je crois qu'il a peur de se retrouver en maillot à côté de moi. Il a pris un peu de ventre. Il est blanc comme un cachet d'aspirine et a des bras tout maigrelets à cause du manque d'exercice. Moi, au contraire, j'ai la tablette de chocolat, une peau saine et bronzée et des bras de bodybuilder. Demain j'essayerai encore de le convaincre.

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    05 Août 2001,

    Sam a dit qu'il était d'accord pour aller à la mer. Du coup, j'ai commandé un bikini sur un site que m'a recommendé Sandy.

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    13 Août 2001,

    Sam n'est toujours pas venu s'entraîner de nouveau avec moi. Il a peur d'être ridicule.

    Nous partons à la mer demain !

    Je me suis mesurée avant de partir :

    Taille : 1.74 m 5 ' 9"
    Poids  :  103 kg 230 lb
    mensurations : 142B/74/90 56B/29/35
    biceps : 54 cm 21"
    cuisse : 81 cm 32"

    ——

    14 Août 2001,

    Cà y est ! Youpi ! On est au camping de la plage !

    Pour la première fois, j'ai monté la tente : Sam n'est pas arrivé à planter les sardines avec le petit maillet en bois qui est livré avec la tente.

    Bien sûr, il n'a pas voulu l'admettre, surtout quand il a vu que j'ai enfoncé les sardines à la main.

    Demain, Sandy arrive. Elle et Ben ont l'emplacement à côté du notre.

    On va bien s'amuser.

    ——

    15 Aout 2001,

    Sandy est arrivée ce soir. Elle est toujours aussi belle !

    Elle a un corps de rêve mais je ne l'envie plus. Je pense même que c'est le contraire !

    Je revoie encore sa tête quand elle m'a vue. Elle a du rester cinq minutes bouche bée ! Pourtant, je lui ai envoyé des photos il y a quelques mois. J'ai hâte qu'elle me voie en bikini, demain !

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    même jour,

    Sandy n'a pas pu attendre demain ! Elle a profité que Ben et Sam soient allés boire un verre, pour se glisser dans ma tente.

    Elle a amené le melon que j'ai prévu de servir demain. Il parait que sur internet, elle a vu des filles capables d'éclater un melon entre leurs cuisses et elle veut que j'essaie. Au début, j'ai refusé mais devant son insistance, je me suis executée.

    Je me suis assise par terre, les coudes en arrière, posés au sol, et Sandy a inséré le melon, gros comme ma tête, entre mes cuisses. Elle m'a regardée nerveusement.

    " Vas-y ! " a t'elle crié.

    J'ai frotté mes jambes contre le melon pour relâcher mes muscles et je me suis lancée. Mes muscles se sont gonflés tout doucement sous le regard émerveillé de Sandy. Ils ont enveloppé lentement le gros fruit et ont commencé à appliquer leur pression inéxorablement.

    L'intérieur des cuisses est une zone érogène et j'ai rapidement senti le plaisir monter en moi. Plus j'appliquais de pression, plus la sensation était vive. J'ai du me mordiller les lèvres pour ne pas gémir de plaisir. J'ai contracté mes abdominaux pour ne pas basculer en arrière puis j'ai posé mes mains sur mes cuisses : Je voulais sentir mes muscles se durcir progressivement.

    Sandy a crié :

    " Allez ! Vas-y ! "

    J'ai croisé mes jambes et j'ai poussé de toutes mes forces. Mes quadriceps sont devenus énormes. J'ai vu pour la première fois, des stries transversales se former sur le muscle. Et … SPLASHHH ! Le gros melon a éclaté en plusieurs morceaux. Je ne l'ai pas vu exploser : Dommage !

    J'avais fermé les yeux pour jouir de toutes les sensations que me procuraient mes muscles gorgés de sang. Oh ! Que c'est bon ! Moi qui trouvais çà stupide. J'écraserais des melons toute la nuit pour éprouver encore cette sensation de puissance et cette jouissance !

    Ensuite, elle a voulu que je me déshabille pour voir mon corps nu. Je dois dire qu'à la lueur d'une bougie, c'est particulièrement impressionnant. Les reflets augmentent le relief des muscles. Les ombres accentuent leurs contours. Au moindre mouvement de la flamme, tout le corps semble s'ébranler pour entamer une danse torride.

    Elle m'a demandé de prendre des poses, de contracter, de gonfler. Ensuite, elle a voulu toucher. J'ai senti ses mains sur mes biceps, tater le muscle, le masser, le couvrir de baisers.

    Elle a passé ses mains sur mes abdominaux et les a carressés. Puis,  elle a fermé le poing et m'a demandé si elle pouvait taper dessus. Je lui ai répondu que c'était une drôle d'idée mais qu'elle pouvait le faire.

    Elle a commencé tout doucement puis a augmenté progressivement l'intensité de ses coups. Comme cela n'avait aucun effet sur moi, elle a cogné de toutes ses forces. Puis elle a crié.

    " Oh… ! Oui ! "

    J'ai remarqué que ses tétons étaient gonflés et endurcis car ils pointaient sous le tissu de son bikini. Elle a fermé les yeux et a commencé a pousser de petits gémissements :

    " Oh… ! Oui … ! Oui … ! Ouiiiiiiiii !!

    C'est là que j'ai vue sa main dans sa culotte carresser doucement son sexe. Je me suis jetée sur elle en criant :

    " Arrête ! Ne fais pas çà ! "

    Je l'ai saisie par les poignets et je l'ai couchée sur le dos. Elle m'a sourit, et j'ai su qu'elle avait atteint l'orgasme.

    C'est arrivé si vite !

    Au fond, je ne suis même pas en colère. Moi aussi, j'étais terriblement excitée.

    Je me suis agenouillé au-dessus d'elle et je l'ai saisie par les cheveux. Puis, en guise de représailles, j'ai collé ses lèvres contre mon sexe et je lui ai ordonné de lécher.

    Jamais, je n'ai éprouvé autant de plaisir. je l'ai vue se débattre pour respirer mais j'ai maintenu ma pression. Je l'ai entendue suffoquer mais j'ai pressé sa tête contre mon clitoris. Puis, j'ai frotté, frotté, frotté sa face contre mon sexe. Et il n'y avait rien qu'elle puisse faire !

    Oh ! Oui ! Que c'était bon ! …

    Lorsque j'ai atteint l'orgasme, je l'ai relachée. Sandy devait être inconsciente depuis longtemps.

    Je me suis allongée à côté d'elle un moment puis je l'ai portée dans sa tente. 

    ——–

    16 Aout 2001,

    Ce matin, au réveil, Sandy ne se souvient de rien.

    En déjeunant, elle a simplement dit qu'elle a fait un rêve étrange et qu'elle ne veut pas m'en parler parce que cela me concerne.

    Elle m'a fait remarquer le nombre sans cesse grandissant de badauds qui s'attroupaient autour de nos tentes. C'est vrai que nous étions toutes deux en bikini et nous exposions notre peau au soleil comme au regard des campeurs.

    Après déjeuner, nous sommes allées au bâtiment où se trouvent les sanitaires des filles et avons partagé la même cabine de douche.

    J'ai remarqué qu'elle fuyait mon regard, qu'elle était mal à l'aise, confinée, avec moi, dans cette cabine exigüe. Malgré cela, elle ne pouvait pas détacher son regard de mes bras.

    Je crois qu'elle est en train de tomber amoureuse de moi … ou de mes muscles ! Je ne sais pas.

    De mon côté, l'expérience de cette nuit a été une révélation. Et, en la regardant, je ne peux maintenant penser à autre chose qu'à de torrides jeux érotiques.

    J'ai dénoué mes cheveux sous la douche, le plus lentement possible, en contractant soigneusement mes biceps pour stimuler son désir. Sa réaction a été immédiate : Elle s'est tournée et elle a discrètement écrasé sa poitrine contre le mur. Puis, par un petit déhanché imperceptible mais terriblement sensuel, elle a formé de petits cercles pour masser ses deux grosses mamelles. Je l'ai vue se cambrer légèrement, juste assez pour décoller son bassin du mur. Puis, elle a inséré son majeur dans son sexe.

    Comment pouvait-elle deviner que je l'avais fais intentionnellement,  que j'étais en train de la dévorer des yeux avec envie ?

    Tandis que je me caressais le sexe en la regardant, j'ai été prise d'une impulsion subite.

    D'une pichenette, j'ai retourné Sandy. J'ai saisi ses poignets avec une seule main et je l'ai plaquée contre le mur, bras tendus au dessus de sa tête. Ensuite, j'ai collé ma main libre contre son sexe et j'ai violemment introduit mon doigt dedans. Sur le coup, elle s'est retrouvée les pieds ballants à 10 cm du sol. Cette fois fois-ci, j'ai lu de la peur dans ses yeux.

    Je me suis penchée vers elle en souriant et je l'ai embrassée goulument. J'ai senti ses muscles se décontracter et elle s'est abandonnée à moi. Elle a remonté ses jambes lentement pour les croiser autour de ma taille et a enfoncé sa langue dans ma bouche. Nous sommes restées un moment comme cela, à nous ennivrer des goûts et des odeurs de l'autre.

    Puis, j'ai attrappé Sandy par la taille et je l'ai soulevée tout doucement en la maintenant plaquée contre le mur. Elle grimaçait. Elle avait mal aux côtes. Mais, elle en avait autant envie que moi. Lorsque son sexe a été à portée de mes lèvres, Je l'ai couvert de baisers puis de grands coups de langue. Mes bras ont commencé à ressentir des tremblements puis les spasmes qui secouaient le corps entier de Sandy. Tout d'un coup, elle à poussé un long râle de plaisir et je l'ai laissée glisser le long du mur mouillé. Elle est tombée à genoux devant moi, tête baissée, ses longs cheveux blonds collés sur ses muscles humides.

    " Je n'ai pas rêvé, n'est ce pas ? "

    J'ai posé mon pieds contre ses lèvres et l'ai obligée à relever la tête.

    " Non, Sandy ! Tu n'as pas rêvé ! "

    " Mais …"

    " Shuuut ! … Tais toi ! … "

    Je me suis assise sur le lavabo en écartant les jambes et j'ai commencé à me masturber avec mon majeur.

    Sandy s'est approchée de moi. Elle s'est redressée et m'a carressé les cuisses.

    " Ooooh ! Tanya ! … Elles sont énooormes ! "

    Elle a posé sa bouche dessus, en m'interrogeant du regard, puis elle les a léchées à grands coups de langue. Un coup par-ci, un coup par là.  C'était tellement bon ! J'allais bientôt jouir !

    Pourtant, j'étais frustrée. J'avais besoin d'autre chose !

    Je voulais sentir ma domination sur Sandy ! C'était plus fort que moi ! Le souvenir de l'épisode d'hier soir était encore trop frais pour que je l'ai oublié.

    J'ai saisi ses cheveux et j'ai tiré sa tête en arrière.

    " Pardonne-moi, Sandy ! "

    J'ai collé sa bouche contre mon sexe et j'ai immédiatement senti les premiers spasmes m'ébranler. Mes cuisses ont enveloppé sa tête et j'ai serré mes jambes avec force. Sandy à commencé à se débattre. Elle frappait à poings fermés sur mes quadriceps bodybuildés. Mes muscles étaient si durs que je ressentais ses coups comme de tendres carresses. J'ai éjaculé mon fluide vaginal sur son visage et j'ai  écarté les cuisses. Elle s'est écroulée comme une vulgaire poupée de chiffon.

    Je l'ai relevée.

    Nous nous sommes regardées sans rien dire et nous sommes restées un moment à nous carresser les cheveux.

    Finalement nous avons fait ce pourquoi nous étions venues : nous nous sommes douchées.

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    #58238
    Fonk
    Participant

    I'd like to apologise to scat – there's a little part of this chapter that I can't translate! :-[ There's a part where I've put "I, on the other hand, have a healthy tan and the arms of a bodybuilder." In the original French, it starts with "J'ai la tablette de chocolat", which I can only think means "I have a block of chocolate". But that doesn't make sense! It must be a saying of some kind… anyway, sorry!

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    27 May 2001

    As I'm still growing, I've started putting heelpieces in Sam's shoes so he'll still be taller than me. But I think he's starting to suspect something. I'm going to have to tell him. Maybe tomorrow?

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    29 May 2001

    Yesterday Sam announced that he's going to be working away for two months.

    I decided to tell him everything about my growth. I put on heels and sexy underwear for the occasion.

    I waited impatiently for him all day. When he arrived, instead of launching myself at him, I went upstairs and laid on the bed.

    I said to myself that he would notice the height difference less if I was lying down.

    We made love all night.

    I don't dare write down what we did, or rather, what I did. He didn't have any choice – he had to submit. Even if he seemed to like it, it feels like I violated him.

    He did not have control at any moment. At no moment did he do make even the slightest gesture without my permission. I held him by his wrists, by his ankles. I crushed him between my thighs, in my arms, against my pectorals or even with my superpowerful hands. At no point did his pathetic efforts get in the way of my movements.

    And yet he tried. The poor guy!

    He couldn't even struggle – my muscles crushed his that much. I only felt little undulations on my skin when he tried to move a muscle to escape.

    At one point, whilst he was lying flat on his back, I took both his ankles with one hand and put the other on his jaw. Then I approached him slowly and licked his sex softly. He started to wriggle about. I spread my arms. I felt like I was stretching him out, as if he was getting taller. His trembling fits got weaker and weaker. I spread my arms further. I heard the bones in his legs cracking, around his knees. His muscles had lengthened and seemed all stiff. He couldn't move, except for his arms, which were fiercely working at my hand to free his jaw.

    I used him like a sex toy all night. I hope he liked it. In any case, he had five orgasms.

    In the end, I told him everything about my growth. He didn't react.

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    30 May 2001

    Today Sam couldn't go to work. First, he got up at midday; then he could hardly move. All his muscles hurt. All his joints cracked when he tried to move. I said I'd rub some Deep Heat into him, but he didn't want me to. He spent the day locked in our room.

    Maybe I went too far last night? It must have been a blow to his ego, that's for sure!

    I hope he still loves me!

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    8 June 2001

    Sam left for his placement last week.

    I didn't tell him that I've found a coach.

    I've decided to enter a competition. After all, the girls I see in the magazines aren't as muscular as me. If I train myself in a more rigourous way, with the coach, I'm sure I can progress.

    The only thing that worries me is Sam's reaction when he sees the results.

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    24 July 2001

    Sam came back home. I noticed that he'd made use of his spare time there by going to the gym. He is more toned. However, the changes aren't noticeable. He's just as slender and still has his little pot belly.

                —–

    25 July 2001

    Sam has started asking himself serious questions about our relationship, but he doesn't dare talk to me about them.

    As I'm stronger than him, I do all the hard work around the house, leaving him the day-to-day tasks. He doesn't complain but I think he must feel useless in the role of man about the house. Of course, the man about the house is a very peculiar phrase!

    For example, today, he couldn't get the car out of the garage: I'd left a large flowerbox in the way of the door. As he couldn't lift it, or drag it, he had to wait till I came back from my jog to move it. I lifted it easily and held it in the air with one hand.

    "You see, it wasn't that hard!"

    He turned his heel and left.

    I think he cried. I shouldn't have made fun of him.

    To make him forgive me, I put on the clingy red dress that he likes. It's cost two hundred euros to get it altered!

    That's because I've put on more muscle again!

    Height:      5'8"
    Weight:      211 pounds
    Measurements: 51B/29/35
    Biceps:      19 inches
    Thighs:      29 inches

    I think he's starting to fantasise about my body.

                —–

    29 July 2001

    Sam asked me if he could come with me to the gym again. I'm sure he wants to show me that he can lift more than the first time.

    This time, I think I'm going to do my exercises with the usual weights. To hell with his ego!

    After all, with biceps nineteen inches around, does he really think I'll be happy lifting beginners' weights?

    I'm more muscular than most male bodybuilders!

                —–

    30 July 2001

    Training:

    Sam was very enthusiastic.

    As soon as we arrived, he loaded the seated press bar with a twenty kilo weight on both sides, making it sixty-five in total. That's what I'd used the first time. I was surprised he could still remember. That's proof he's not completely turned off by what I'm doing.

    I told him that I'd made progress and asked him to add twenty kilos to both sides to do a warm-up set of a hundred and five.

    It was easy! I didn't even have to concentrate.

    For the next sets, he added a weight to both sides to make a total of a hundred and forty-five. That was harder, but I concentrated and did the set with perfect form. I know he liked it: you could tell just by looking at him.

    Mostly when he understood that there was sixty kilos on both sides of the bar; his own weight.

    It's been a long time since he last put his hands on my arms. Even when we make love, he tries not to touch them or spend too long on them. He must be afraid that I'll get him to compare them with mine.

    Also, now that I think about it, he hardly touches me at all.

                —–

    31 July 2001

    Yesterday was too good! I hope he'll come back and do more training with me. I loved the feeling of superiority. I've got to test it again and again.

                —–

    2 August 2001

    Sam doesn't seem too keen on the idea of going to the seaside this year, even though we've gone every year since we met. I think he's scared of wearing a swimming costume next to me. He's put on a bit of weight. He's as white as an aspirin tablet and his arms are stick-thin from lack of exercise. I, on the other hand, have a healthy tan and the arms of a bodybuilder. Tomorrow I'll try to convince him again.

                —–

    5 August 2001

    Sam gave in and said we could go to the seaside! I went and ordered a bikini from a site that Sandy recommended.

                —–

    13 August 2001

    Sam still hasn't come training with me. He's scared of looking silly.

    We're going to the seaside tomorrow!

    I measured myself before we left:

    Height:      5'9"
    Weight:      230 pounds
    Measurements: 56B/29/35
    Biceps:      21 inches
    Thighs:      32 inches

                —–

    14 August 2001

    Hooray! We're here! We're staying at a campsite near to the beach!

    For the first time I put up the tent: Sam couldn't put the tent pegs in the ground with the little wooden mallet he packed with the tent.

    Of course, he didn't want to admit it, especially when he saw me drive them in by hand.

    Tomorrow, Sandy arrives. Ben and her have the spot next to ours.

    We're going to have a great time.

                —–

    15 August 2001

    Sandy arrived tonight. She's just as pretty as she ever was!

    She has a dream body but I don't envy it anymore. I even think it's the opposite now!

    I can still see her face when she first saw me. She must have stayed, slack-jawed, for five minutes, despite the fact that I sent her some photos a few months ago. I can't wait to show my bikini off to her tomorrow!

                —–

    Same day

    Sandy couldn't wait until tomorrow! She pounced when Ben and Sam went off to the pub and slid into my tent.

    She brought the melon I wanted to eat for breakfast tomorrow. It seems that she'd seen girls who could crush a melon between their thighs on the Internet and she wanted me to try. At first I refused but, when she insisted, I had a go.

    I sat on the ground, elbows back on the ground, and Sandy put the melon, as big as my head, between my thighs. She looked at me nervously.

    "Go on!" she cried.

    I rubbed my legs against the melon to relax my muscles and then it began. My muscles expanded slowly under Sandy's bedazzled gaze. They slowly surrounded the big fruit and started to inexorably apply pressure.

    The inside of my thighs are an erogenous zone and I soon started to feel pleasure rise in me. The more pressure I put on, the stronger the sensations got. I had to bite my lip to not moan in pleasure. I contracted my abdominals so I wasn't forced back and put my hands on my thighs: I wanted to feel my muscles getting harder.

    "Yes! Go on!" Sandy shouted.

    I crossed my legs and pushed with all my might. My quadriceps became enormous. For the first time I saw striations appear along my muscles. And… SPLASHHH! The big melon exploded into several pieces. I didn't see it go: shame!

    I'd closed my eyes to drink in all the sensations that my blood-filled muscles gave me. Oh, it was so good! And I'd thought it was stupid. I'd crush melons all night long to feel that power and pleasure again!

    Then she wanted me to undress so she could see me naked. I must say that, in candlelight, it was very impressive. The glints of light seemed to add to the size of my muscles. The shadows accentuated their forms. My whole body seemed to move in a torrid dance whenever the light flickered.

    She asked me to pose, to flex, to make my muscles swell. Then she wanted to touch me. I felt her hands on my biceps, feeling the muscle, massaging it, covering it with kisses.

    She moved her hands down to my abs and caressed them. Then she made a fist and asked if she could punch them. I said that it was a weird idea but she could try it.

    She started gently but started to up the power of her punches. As it didn't have any effect on me, she hit me with all her strength. Then she started shouting.

    "Oh… yes!"

    I noticed that her nipples had swollen and hardened because they were pointing through her bikini top. Then she closed her eyes and started to moan quietly.

    "Oh! Yes… yes! Yeeeeeees!"

    And it was then that I saw her hand in her bikini bottoms, slowly caressing her sex. I jumped on her.

    "Stop! Don't do that!" I shouted.

    I grabbed her by the wrists and laid her on her back. She smiled at me, and I knew that she had had an orgasm.

    It had happened so quickly!

    Deep down, I wasn't even angry. In fact, I was really excited.

    I knelt down in front of her and grabbed her by the hair. Then, to get her back, I stuck her lips next to my sex and ordered her to lick it.

    I had never felt so much pleasure before. I saw her fight to breathe but I kept up my pressure. I heard her choking but I pressed her head against my clitoris. Then I pushed her head closer, closer, closer to my sex. And there was nothing she could do!

    Oh! Yes! It was so good.

    When I'd orgasmed, I let her go. Sandy had probably been unconscious for a long time.

    I laid down next to her for a moment, and then carried her back to her tent.

                —–

    16 August 2001

    This morning, when we woke up, Sandy didn't remember anything.

    While we ate lunch she only said that she'd had a strange dream and didn't want to talk about it because it concerned me.

    She pointed out to me the ever growing number of gawpers who were gathering around our tents. It's true: we were both in bikinis, exposing our bodies to the sun… and the campers.

    After lunch we both went to the building where the women's showers were and shared the same cubicle.

    I noticed that she wouldn't look me in the eye, that she was uneasy, trapped with me, in the cramped cubicle. Despite that, I did notice that she couldn't tear her eyes away from my arms.

    I think she was falling in love with me… or my muscles! I don't know.

    As for me, last night's experience had been a revelation. And, looking at her, I could only think of playing dirty.

    I ran my fingers through my hair under the shower, as slowly as possible, painstakingly contracting my biceps to stimulate her desire. Her reaction was immediate: she turned and discreetly squashed her chest against the wall. Then, with a barely perceptible but terribly sensual swaying, she made little circles to massage her two big breasts. I saw her arch her back slightly, just enough to move her pelvis away from the wall. Then she put her middle finger in her sex.

    How could she guess that I'd done it on purpose, that I was devouring her with my eyes?

    Whilst I stroked my sex just looking at her, I had a sudden impulse.

    I turned Sandy to me with a little flick. I grabbed her wrists with one hand and thrust her against the wall, arms held above her head. Then, I stuck my free hand against her sex and violently pushed my finger inside. Then she found herself four inches off the floor. This time I saw fear in her eyes.

    I leaned towards her, smiling, and kissed her greedily. I felt her muscles relax as she abandoned herself to me. She lifted her legs slowly to wrap them around my waist and stuck her tongue into my mouth. We stayed like that for a moment, getting drunk on the tastes and smells of each other.

    Then I took Sandy by the waist and lifted her gently, keeping her stuck against the wall. She grimaced. Her sides hurt. But she still wanted me. When her sex was within range, I covered it in kisses and then long licks of my tongue. I began to feel tremblings and then spasms in my arms from holding up Sandy's entire body. Suddenly she gave a long groan of pleasure and I let her slide down the length of the wet wall. She fell to her knees in front of me, head down, long blonde hair glued to her sweaty muscles.

    "It wasn't a dream, was it?"

    I put a foot next to her lips and made her raise her head.

    "No, Sandy, it wasn't a dream."

    "But – "

    "Shhhhh! Be quiet!"

    I sat on the washbasin, spread my legs and started to masturbate with my middle finger.

    Sandy came up to me. She stood up and caressed my thighs.

    "Ooooh! Tanya! They're huuuge!"

    She put her mouth on them, looked at me questioningly, and then licked them longingly with her tongue. One lick here, one there. It was so good! I was going to orgasm any minute!

    Even then, I felt frustrated. I needed something else!

    I wanted to dominate Sandy! I couldn't help myself! The memory of the night before's episode was still too fresh in my mind.

    I grabbed her hair and forced her head back.

    "Forgive me, Sandy!"

    I stuck her mouth against my sex and immediately felt the first spasms wash over me. My thighs enveloped her head and I closed my legs forcefully. Sandy started to fight. She hit my built quadriceps with her fists. My muscles were so hard that I felt her blows like tender caresses. I ejaculated into her face and spread my legs. She fell back like a rag doll.

    I stood up.

    We looked at each other without saying anything, just caressing each other's hair.

    Finally we did what we'd come in to the place to do: we showered.

    #58239
    nutsy
    Participant

    Interesting story.
    To help fonk.
    "J'ai la tablette de chocolat" is a figurative phrase for "I have washboard abs"

    #58240
    Fonk
    Participant

    Interesting story.
    To help fonk.
    "J'ai la tablette de chocolat" is a figurative phrase for "I have washboard abs"

    Thanks!

    #58241
    scat
    Participant

    Woah ! Dear Fonk, what a big work in a few days ! Bravo !

    I'm speechless (By chance mails are written  😀 )

    PS : Well, I like a lot the … chocolate translation !  ;D ;D ;D ;D ;D

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