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ratlaf.
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August 17, 2007 at 2:25 am #58242
scat
ParticipantLE JOURNAL DE TANYA – LIVRE 4
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05 Janvier 2002,
Deux ans d'entrainement !
Ce soir, nous sommes allés au cinéma.
Pendant que nous faisions la queue, un malpoli a doublé toute la file d'attente et s'est glissé devant nous. Sam lui a fait remarquer poliment que nous attendions tous notre tour.
L'autre l'a regardé de haut et s'est retourné sans un mot. C'était un type très costaud, Sam n'a pas insisté.
Il a baissé la tête sans dire un mot.
J'ai eu de la peine pour lui.
Je ne sais pas ce qui m'a prise. J'ai attrapé le type par le col et je l'ai soulevé. J'ai attendu calmement qu'il arrête de gigoter, en souriant : Il a suffit pour cela que je serre mes poings pour le comprimer dans ses vêtements. Puis, je l'ai transporté jusqu'au bout de la queue. Là, je l'ai reposé par terre, sans un mot.
J'ai adoré çà ! Le type était tout blanc, tétanisé par la peur ! J'en ai encore des frissons en l'écrivant. Quel sentiment de puissance ! J'aurais pu lui demander n'importe quoi, ce grand gaillard l'aurait fait sans broncher. La prochaine fois, je lui demande de me lécher les pieds devant tout le monde !
Sam n'a rien dit de la soirée. Je me demande s'il a peur de moi ?
—–
12 Février 2002,
Sam m'a demandé s'il pouvait assister à mon entraînement. Il m'a questionnée, toute l'après-midi, sur les charges que j'utilise, les exercices que je fais. En fait, il veut voir de quoi je suis capable.
Il me tarde demain ! Que vais-je travailler comme groupe musculaire ? Bah ! Je fairais un peu de tout. Il ne va pas être déçu.
—–
13 Février 2002,
Volià comment c'est passée la séance :
Dès que nous sommes arrivés, il a chargé la barre du développé couché avec trois disques de 20 kg de chaque côté pour un poids total de 145 kg. C'est ce que j'avais utilisé la dernière fois. Il me surprendra toujours. Quelle mémoire ! Il m'a regardé en souriant :
« C'est 145 kg , n'est-ce-pas ? »
« Cà ira pour la première série. »
J'ai été surprise de la facilité avec laquelle j'ai soulevé la barre. J'ai même fait quelques répétitions de plus.
Ensuite, il a rajouté encore un disque de chaque côté pour amener la barre à 185 kg. J'ai pris soin de bien me concentrer et j'ai isolé mes muscles au maximum.
Sam n'a pas dit un mot. Cette fois-ci, il y avait 80 kg de chaque côté de la barre.
Je me suis assise sur le banc et lui ai demandé :
« Peux-tu rajouter encore un disque de chaque côté ? »
Il a rapidement fait le calcul dans sa tête. Puis, il est devenu tout blanc :
« 225 kg !! Mais … les champions ne soulèvent même pas 200 kg à l'entraînement ! »
« Peut-être, chéri. Mais les champions n'ont pas çà ! »
J'ai levé mon bras et contracté mon biceps devant ses yeux écarquillés.
« Pas mal, non ? »
Le pauvre a été pris de frémissements. J'ai senti ses doigts trembler sur mon muscle quand il a essayé de le recouvrir avec sa petite main.
« Allons, dépêche-toi ! »
Il est parti chercher un disque, puis l'autre et les a montés sur la barre. C'est là que je me suis aperçue qu'il avait une érection. J'en tremble encore. Mes muscles, ma puissance, l'ont excité sexuellement.
J'ai executé ma série avec l'idée qu'il était en train de fantasmer sur mon corps. Je n'ai pratiquement pas senti le poids de la barre.
Quand j'ai fini, je me suis relevée immédiatement. J'ai contourné le banc. Là, j'ai agrippé la barre à deux mains et je l'ai soulevée légèrement pour la poser par terre. Mes muscles étaient gonflés à bloc.
Sam semblait tout géné. Je lui est demandé ce qui se passait. Il a raclé sa gorge pour pouvoir parler puis il a répondu :
« Je …Je ne peux pas d'aider à porter la barre : Il y a 100 kg de chaque côté ! »
« Oh ! Ne t'inquiètes pas chéri. Tu sembles oublier …çà ! »
Joignant le geste à la parole, j'ai executé une superbe pose double biceps. Sam a du sentir ses jambes le lâcher parce qu'il s'est assis sur le banc.
J'ai soulevé la barre et l'ai amené au poste de squat. Puis, je me suis glissée dessous. J'ai regardé Sam à travers le reflet du miroir et je l'ai rassuré.
« C'est juste un échauffement ! Pour la prochaine série, il faut que tu charges la barre. »
Il me dévorait des yeux. J'ai profité de ce moment là pour commencer ma série. Je l'ai effectuée soigneusement mais en gardant toujours un oeil sur Sam. Je voulais être sûre qu'il me regarde.
A la dernière répétition, je ne suis pas redescendue. A la place, j'ai effectué un épaulé-jeté et ai maintenu la barre au dessus de moi pendant un moment.
Sam a baissé la tête. Je me suis dit que j'en faisais peut-être beaucoup. J'ai laissé la barre retomber lourdement sur le sol et je l'ai interpellé :
« Sam ? Aides-moi, s'il te plaît ! Rajoutes trois disques ! »
« Trois disques ?! »
« Oui ! Cà fait seulement 345 kg ! »
Sam n'a pas su quoi répondre. Il a rajouté trois disques sans rien dire et est allé s'asseoir pendant que j' effectuais mes séries. Lorsque j'ai terminé, il est venu vers moi :
« Tu vas travailler le dos ? »
« Oui, mais pas à la machine. Je vais faire des rowings d'un bras avec haltère … Amène moi un haltère. »
« Un seul ? »
« Oui ! … le plus lourd que tu puisse porter. »
Sam s'est dirigé vers le rack et a essayé de soulever plusieurs haltères. Finalement, il est revenu en portant péniblement un haltère de 25 kg à deux mains.
Il aurait sans doute pu en porter un plus lourd mais il n'a pas réussi à le soulever du rack à bout de bras. Il l'a posé à mes pieds et s'est assis sur le banc en soufflant péniblement. Je ne lui ai pas laissé le temps de respirer :
« Non, chéri ! Je t'avais demandé le plus lourd que tui puisse prendre ! »
J'ai saisi l'haltère dans une main et, tout en faisant des curls, j'ai poursuivit :
« Tu vois, c'est bien trop léger pour le rowing. C'est même pas assez lourd pour travailler les biceps ! … Ce n'est pas grave. Je vais y aller.»
Je suis retournée au rack pour poser l'haltère et j'en ai pris un autre :
« Voilà ! Celui-là est parfait. »
« Combien il pèse, celui-là ? »
« 60 kg ! C'est ce que je prends pour les rowings. »
« 60 kg !!? »
« Oui, chéri ! 60 kg ! Allez, pousse toi ! J'ai besoin du banc ! »
Il est allé s'asseoir sur le banc incliné et m'a regardé faire.
Je sais exactement ce qu'il a du penser à ce moment là car c'est volontairement que j'ai pris un haltère de 60 kg : C'est son propre poids !
Entre chaque série, j'ai fait exprès de le laisser tomber lourdement pour faire du bruit. Je voulais qu'il puisse imaginer le poids de l'haltère.
A ma dernière série, je l'ai même projeté contre sol. L'haltère a roulé jusqu'à lui.
« Tu peux me le ramener, chéri !? »
Il a essayé de le soulever sans plier les jambes mais il a eu mal au dos : il a arrêté de tirer.
Il s'est accroupi et a essayé de nouveau. Il a decollé l'haltère du sol et est même arrivé à le maintenir un moment au niveau du genou. Mais c'était trop lourd pour lui, il a commencé à trembler et à grimacer puis il l'a laissé retomber.
Il allait commencer à le faire rouler vers moi quand je l'ai arrété :
« Attends ! Finalement, j'ai une autre idée. Je vais faire quelques écartés. C'est un excellent exercice pour les pectoraux ! »
Je suis allée chercher l'autre haltère. Pendant ce temps, je ne l'ai pas quitté des yeux. Il m'a regardée prendre le poids du rack et le soulever à une main ensuite, il a baissé les yeux vers l'haltère qui gisait à ses pieds.
Quand je suis arrivée devant lui, il n'avait pas bougé d'un centimètre. Je me suis baissée en me frottant contre lui. Je ne l'ai pas quitté du regard. Ensuite, je me suis relevée lentement, un haltère dans chaque main en les faisant glisser le long de ses jambes tremblantes. Son érection était toujours là !
« As-tu vu faire des écartés, Sam ? … Regarde-moi faire, chéri ! »
Je suis allée me coucher sur le banc et j'ai attaqué ma série.
CLING ! … CLANG ! …
« Tu pense à quoi, chéri ? »
Sam m'a regardée comme un enfant qui a été pris sur le fait. Il n'a pas su quoi dire. J'ai répondu à sa place:
« Tu te rends compte ! 60 kg ! Je pourrais soulever quelqu'un ! »
J'ai pris un malin plaisir à faire s'entrechoquer les haltères à chaque mouvement.
CLANG !
J'ai poursuivi :
« Tu pèses combien ? »
Je n'ai pas pu m'empêcher de poser la question, même si je connaissais dèjà la réponse.
CLANG !
« 60 kg »
CLANG !
Je n'ai rien répondu tout de suite. Je l'ai laissé un moment dans l'expectative.
CLANG !
CLANG !
Puis, je lui ai demandé :
« 60 kg ? Te rends-tu compte que je suis en train de soulever ton propre poids ? Tu veux essayer ! »
« Essayer ? »
CLANG !
« Tu as très bien compris ! »
" Mais je ne pourrai jamais soulever un poids pareil ! "
" Non, idiot ! Je ne te demande pas de soulever le poids mais de le remplacer !! "
« Quoi ?? Mais ce n'est pas possible ! Tu n'as pas la même prise … Pour y parvenir, il faudrait que tu soit capable de faire des séries avec … je ne sais pas moi … 90 kg ! »
BRAOOMMM !!! BRAOOOMM !!!
J'ai laissé retomber les haltères et je me suis redressée sur le banc.
« Mais, chéri ! Ce sont des haltères de 90 kg ! Regarde toi-même ! C'est marqué dessus ! »
« Mais, je ne comprends pas … »
Je lui ai indiqué du doigt l'haltère de 60 kg qui était encore à ses pieds. Puis, je l'ai commandé :
« Approche ! »
Il n'a pas répondu. Il a avancé machinalement vers moi comme s'il était hypnotisé. Je me suis couchée sur le dos et lui ai demandé de s'asseoir à califourchon sur moi :
« Assied-toi ! Attrappe les pieds du banc. En haut ! Là où on pose la barre ! Ne t'inquiètes pas, il n'y a personne d'autre que nous au gym. »
« Cà y est ? »
« Cà y est ! »
« Maintenant, je vais te soulever en te tenant par la taille. Quand tu auras trouvé ton équilbre, tu pourras lâcher tes mains. Allons-y ! »
C'était vraiment trop facile ! Quand je fais des pompes, avec mes 128 kg , c'est plus difficile !
Sam n'a pas tardé à se lâcher. Progressivement, il a approché ses mains de mes bras et a posé ses paumes sur mes biceps. J'ai senti ses mains trembler. Un tremblement que je connais bien. C'est le même que celui de Sandy quand elle est dans mes bras, juste avant de jouir. J'ai senti les spasmes de Sam et j'ai serré ma prise pour ne pas qu'il soit déséquilibré. Il a plissé les paupières. J'ai du lui faire mal. Mais cela ne l'a pas empêché de jouir. Il a fermé les yeux et a éjaculé tout ce qu'il avait.
Je l'ai maintenu en l'air et j'ai attendu qu'il ouvre de nouveau les yeux. Ensuite, je l'ai redescendu lentement et je l'ai posé contre moi.
J'ai contracté mes abdominaux et je me suis redressée avec Sam sur mon buste. Puis, le l'ai attrapé par les pieds et je l'ai renversé en arrière. Il s'est retrouvé sur le dos et m'a regardé en se demandant ce que j'allais faire.
Je me suis levée et je me suis assise à califourchon sur lui. J'ai senti qu'il avait du mal à supporter mon poids mais cela ne m'a pas arrétée. J'ai posé les mains sur le banc et je l'ai commandé de nouveau :
« Essaie de te libérer ! »
« Pardon ! »
« Essaie de t'en aller ! Je ne vais pas t'en empêcher ! »
« Argh ! Tu me fais mal ! … Tu sais bien que je peux pas ! Que veux-tu prouver ? »
« Tu insinue que je suis lourde ? Ne t'en fais pas. Je prends çà comme un compliment ! Je pèse 128 kg et comme tu peux le voir, 128 kg de muscles ! … Allez ! Essaie de t'en aller! Je te promet de ne pas te retenir. »
Je le regardait en souriant tout en me nouant les cheveux.
« Je ne peux pas ! »
« Alors si je décidais de te violer, tu ne pourrais rien y faire, n'est-ce-pas ? »
« Tu ne pourrais pas me violer ! »
« Ah, bon ? Et pourquoi çà ! …»
Je me suis relevée et j'ai commencé à me masser les bras et les seins devant lui. J'ai effectué un double biceps et je me suis léché les bras longuement sans le quitter des yeux. Son sexe à commencé à bouger.
SLURP ! SMACK ! Je me suis léchée. J'ai posé de délicats baisers sur mes muscles contractés.
Je me suis carressée les seins puis, tout doucement, je suis descendue vers mes abdominaux. J'ai mis mon doigt dans mon sexe et j'ai commencé à me masturber. Son sexe à commencé à se redresser.
J'ai fait claquer mes baisers.
« SMACK !… Alors, répond ! …SMACK ! … Regarde ces biceps ! Aaaah ! Oh, ouiiii ! …SMACK !… dis-moi pourquoi je ne pourrais pas te violer ! … SMACK !… Aaaah ! C'est bon ! »
Son sexe s'est complètement déployé. Il est long et dur. Il m'a regardé dans les yeux et m'a répondu :
« Parceque je serai consentant chaque fois que tu me le demanderas. Par conséquent, ce ne sera pas un viol ! »
« Oh ! Oui ! … Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! »
Je me suis levée. J'ai attrapé Sam par le crâne et j'ai collé sa tête entre mes cuisses. J'ai ressenti de violents spasmes de plaisir et j'ai joui :
« Aaaaaaaaaaah ! Ah , ouiiiiiiiiiiii ! »
Je l'ai lâché et il est retombé sur le banc, innaniné.
Il a mis plus d'une heure à se réveiller. Cela m'a largement laissé le temps de continuer mon entrainement.
Lorsqu'il est revenu à lui, il s'est assis sur le banc.
Je me suis assise à coté de lui.
« Tiens ! »
« Qu'est ce que c'est ? »
« Tu vois bien ! Un mètre ! Tu vas prendre mes mesures ! »
J'ai retranscrit ici les mesures prises qu'il a prises :
Taille : 1.78 m 5.11"
Poids : 128 kg 285 lb
mensurations : 155B/74/90 61B/29/35
biceps : 61 cm 24"
cuisse : 81 cm 32"Tant que j'y étais, je n'ai pas pu résister à la tentation de le mesurer aussi. Il n'a pas voulu se préter au jeu mais je ne lui ai pas laissé le choix.
Taille : 1.70 m 5.8"
Poids : 59 kg 131 lb
mensurations : 80/85/80 32/33/32
biceps : 26 cm 10"
cuisse : 48 cm 19"Mon biceps est plus gros que ses cuisses !
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August 17, 2007 at 5:56 am #58243lbujold
ParticipantC'est tout simplement magnifique. Tes histoires sont parfaitement comme je les aime, avec des femmes qui decouvre la jouissance des muscles et de la force progressivement et sans trop de violence excessive. Vraimant parfait. Tous ce que je peux dire d<autre…tu peux continuer avec le meme modele et je n'en serais jamais lasse.
Bravo
August 17, 2007 at 4:32 pm #58244Mermoz
ParticipantJe confirme le dernier commentaire, le texte fait bien ressortir la découverte du corps par l'héroïne.Son amusement vis à vis de son mari, et son besoin de domination avec toutes ses répercussions sur la sexualité. Quand à la violence, j'aime bien de façon habituelle mais ici elle ne s'impose pas, elle est en filigranne de la relation du couple… 😉 😉
August 19, 2007 at 4:21 pm #58245Fonk
ParticipantOK, this means I'm all caught up! I hope you like this part.
—————————–5 January 2002
Two years of training!
We went to the cinema tonight.
Whilst we were in the queue, a rude man jumped the queue and slid in front of us. Sam said to him that we were all waiting our turn.
The man looked down at him and turned round without saying anything. He was a brawny sort of man, so Sam didn't pursue it.
He dropped his head quietly.
I felt bad for him.
I don't know what came over me. I grabbed the guy by the neck and lifted him up. I waited calmly for him to stop struggling, smiling all the while: all I'd done was close my fist to crush him in his clothes. Then I carried him to the back of the queue. There I put him down on the ground silently.
I loved it! The guy had gone white, paralysed by fear! I still shiver just writing it down. What a feeling of power! I could have asked him for anything, this big buffoon would have done it without arguing. The next time I'll ask him to lick my boots in front of everyone!
Sam didn't say anything the whole night. I wonder if he's scared of me?
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12 February 2002
Sam asked if he could come and watch me train. He asked me, all day, about what weights I used, the exercises that I did. In fact, he wanted to see what I could do.
I can't wait for tomorrow! Which muscle group should I work? Bah! I'll do a bit of everything. He won't be disappointed.
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13 February 2002
This is how it went:
As soon as we arrived, he loaded the seated press bar with three twenty kilo weights on both sides to make a total of a hundred and forty five kilos. That's what I'd used last time. He still surprised me. What a memory! He looked at me and smiled.
"That's a hundred and forty five kilos, isn't it?"
"That'll do for my first set."
I was surprised how easy it was to lift the bar. I even did a few more reps than usual.
Then he added a weight to both sides to make it a hundred and eighty five kilos. I made sure to concentrate fully and isolate the muscles as much as possible.
Sam didn't say anything. This time, there was eighty kilos on both sides of the bar.
I sat down on the bench.
"Could you add a weight to both sides?" I asked him.
He quickly did the calculation in his head. Then he went white.
"Two hundred and twenty five kilos! But… the champions only lift two hundred when they're training!"
"Maybe so, darling. But then the champions don't have these!"
I lifted my arms and contracted my biceps as his eyes went wide.
"Not bad, eh?"
The poor guy was taken with the shivers. I felt his fingers shake when he tried to cover my muscle with his little hand.
"Go on, hurry up!"
He went to look for some weights and slid them onto the bar. It was then that I noticed he'd got an erection. I still shiver just thinking about it. My muscles, my power were turning him on.
I did my set thinking that he was fantasising about my body. The bar practically felt weightless.
When I finished, I got up immediately. I turned the bench. Then I took the bar with both hands and carefully put it on the floor. My muscles had swollen to their maximum.
Sam seemed very embarrassed. I asked him what had happened. He cleared his throat to speak.
"I… I can't help you carry the bar: there's a hundred kilos on both sides!"
"Oh! Don't worry about it, honey. You seem to have forgotten… these!"
And then I did a superb double biceps pose. Sam must have felt his legs going because he sat down on the bench.
I picked the bar up and got into a squatting position. I looked at Sam via the reflection of the mirror in front of me and reassured him.
"This is just the warm-up set! For the next one you're going to have to get some weights!"
He ate me with his eyes. It was at that moment that I started my set. I pulled it off meticulously, keeping my eyes on Sam. I wanted to be sure he was looking at me.
I didn't go down on the last rep. I did a clean-and-jerk instead, keeping the bar above my head for a moment.
Sam looked down. I wondered if I wasn't overdoing it. I dropped the bar, which landed loudly.
"Sam? Help me, please! Go and find three weights!" I ordered.
"Three weights?"
"Yes! That'll only make three hundred and forty five kilos!"
Sam didn't know what to say. He added three weights on and went to sit down whilst I did my set. When I'd finished he came up to me.
"Are you going to work your back?"
"Yes, but not with the machine. I'm going to do some dumbbell rows… get me a dumbbell."
"Just one?"
"Yes! The heaviest you can carry."
Sam went over to the dumbbell rack and tried to lift several dumbbells. Finally he came back, struggling with a twenty-five kilo dumbbell in both hands.
He could definitely have brought a heavier one but hadn't been able to lift it from the rack. He left it at my feet and went to sit on the bench, wheezing horribly. I didn't give him time to think.
"No, darling! I said the heaviest you could carry."
I took the dumbbell in one hand, doing a few curls, carried on.
"You see, it's far too light for rows. It's not even enough to work my biceps!" I paused. "Don't worry, I'll give it a go."
I went to the rack to put the dumbbell down and took another.
"There! That one's perfect."
"How much does that one weigh?"
"Sixty kilos! That's what I use for rows."
"Sixty kilos?!"
"Yes, honey – sixty kilos. Come on, get up! I need the bench!"
He went to sit on the inclined bench and watched to see how I'd get on.
I knew exactly what he was thinking at that moment because I had purposely picked the sixty kilo dumbbell: that's how much he weighs!
Between each set I purposely dropped it to make some noise. I wanted him to imagine the weight of the dumbbell.
On my last set, I actually threw it on the floor. The dumbbell rolled over to him.
"Can you bring it back over here, darling?"
He tried to lift it without bending his legs but hurt his back: he stopped trying to lift it.
He crouched down and tried again. He picked up the weight and even managed to keep it at knee level for a moment. But it was too heavy; he started to tremble and make faces and then had to let it go.
He was going to roll it towards me when I stopped him.
"Wait! You know, I've had an idea. I'm going to do some dumbbell presses. They're very good for the pectorals!"
I went to look for the matching dumbbell. I kept an eye on him throughout. He watched me take the weight from the rack in one hand and then looked down at the dumbbell at his feet.
When I came back to him, he hadn't moved one inch. I squatted down, rubbing against him, still looking at him. Then I stood up slowly, a dumbbell in each hand, sliding them the whole length of his trembling legs. He was still erect!
"Have you seen dumbbell presses, Sam? Watch me, honey!"
I laid down on the bench to do my first set.
CLING! … CLANG! …
"What are you thinking about, darling?"
Sam looked at me like a child caught in the act. He didn't know what to say, so I answered for him.
"You're realising! Sixty kilos! I could lift a person!"
I took a cruel pleasure in making the dumbbells hit each other during each rep.
CLANG!
"How much do you weigh?" I continued.
I couldn't stop myself asking the question, even if I knew the response.
CLANG!
"Sixty kilos."
CLANG!
I didn't reply straightaway. I wanted to leave him hanging for a moment.
CLANG!
CLANG!
"Sixty kilos? Do you realise I'm lifting your own weight? Do you want to try?" I asked him.
"Try?"
CLANG!
"You understand!"
"But I could never lift that weight!"
"No, you idiot! I don't want you to lift the weight – just replace it!"
"What? But that's impossible! You wouldn't have the same grip! To be able to do it, you'd have to be able to do sets with… I dunno… ninety kilos!"
BRAOOMMM! BRAOOMMM!
I dropped the dumbbells and sat up on the bench.
"Come on, darling! Those were ninety kilo dumbbells! Look for yourself: it's written on them!"
"Erm… I don't understand…"
I pointed out the sixty kilo dumbbell that was resting at his feet again.
"Come here!" I ordered.
He didn't reply. He came towards me mechanically, as if he were hypnotised. I turned onto my back and asked him to sit astride me.
"Sit down! Put your feet on the bench. Higher! Where you put the bar! Don't worry, there's only us in the gym."
"Have you done it?"
"Yes!"
"Now, I'm going to lift you by your waist. When you're OK, you can let go. Let's do it!"
It really was too easy! Doing press-ups with my hundred and twenty eight kilos, that's more difficult!
Sam let go really quickly. He slowly moved his hand towards my arms and put his palms on my biceps. I felt his hands trembling. A trembling I knew well. Sandy did the same when she was in my arms, just before orgasming. I felt Sam's spasms and held on tight so he wouldn't lose balance. He closed his eyes. I must have hurt him, but that didn't stop him cumming. He closed his eyes and let fly with all he had.
I kept him in the air and waited for him to open his eyes again. Then I lowered him slowly and put him down next to me.
I contracted my abdominals and stood up with Sam on my chest. Then I took him by the feet and turned him around. He found himself on his back, wondering what I was going to do.
I stood up and sat astride him. I knew he was going to have trouble supporting my weight but that didn't stop me. I put my hands on the bench.
"Try and get free!" I ordered.
"What!"
"Try to leave! I'm not going to stop you!"
"Argh! You're hurting me! You know I can't! What are you trying to prove?"
"Are you trying to say I'm heavy? Don't worry. I take it as a compliment! I weight a hundred and twenty eight kilos and as you can see, a hundred and twenty eight kilos of muscle!" I paused. "Come on! Try to escape. I promise I won't hold you back."
I looked at him, smiling, twirling my hair with a finger.
"I can't!"
"So if I decided to rape you, you couldn't do anything about it, right?"
"You couldn't rape me!"
"Oh, really? And why not?"
I stood up and started to feel my arms and breasts in front of him. I pulled a double biceps and licked my arms slowly, keeping my eyes on him. His sex started to twitch.
SLURP! SMACK! I kept licking myself. I kissed my contracted muscles sweetly.
I caressed my breasts then, very gently, moved my hand down to my abdominals. I put a finger inside my sex and started to masturbate. His sex started to get hard.
I exaggerated my kisses.
SMACK! "Come on, answer me!" SMACK! "Look at these biceps! Aaaah! Oh, yeeees!" SMACK! "Tell me why I couldn't rape you!" SMACK! "Aaaah! It feels so good!"
His sex was standing to full attention. He was long and hard. He looked me in the eyes when he replied.
"Because I will be consenting every time you ask me. So, it won't ever be rape!"
"Oh! Yes! Yeeeeeeeeeeeeees!"
I stood up. I took Sam by the back of the head and shoved his head between my thighs. I felt violent spasms of pleasure, and I came.
"Aaaaaaaaaaah! Ah, yeeeeees!"
I let go of him and he fell onto the bench and went still.
He took more than an hour to come round. Which more or less gave me the time I needed to finish off my training.
When he came back to his senses, he sat up on the bench.
I sat next to him.
"Here!"
"What's this?"
"Can't you tell? It's a measuring tape! You're going to take my measurements!"
And these are the measurements that he took:
Height: 5'11"
Weight: 285 pounds
Measurements: 61B/29/35
Biceps: 24 inches
Thighs: 32 inchesWhilst we were there, I couldn't resist the temptation to measure him too. He didn't want to play but I didn't give him any choice.
Height: 5'8"
Weight: 131 pounds
Measurements: 32/33/32
Biceps: 10 inches
Thighs: 19 inchesMy biceps are bigger than his thighs!
August 19, 2007 at 5:47 pm #58246stmercy2020
ParticipantVery nice. I really appreciate that Tanya, despite her muscular superiority, hasn't become cruel or abusive, but instead seems to genuinely care for Sam. Playful and sweet- I like!
August 21, 2007 at 3:49 am #58247ratlaf
ParticipantI like that Sam has finally come around to accepting his wife's new size and has finally admitted to himself that he does enjoy it. I know I sure would!!!
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