[scat]

hi !  ;D
next part of the diary. ::)

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05 Aout 2002

Je n'ai pas écrit depuis six mois car j'ai passé une période assez difficile.

Bien que mon nouveau corps m'apporte beaucoup de satisfactions dans la vie quotidienne, il engendre aussi quelques petits désagréments.

Hier, par exemple, j'ai voulu me peser : La balance électronique a affiché 'overload' puis, soudain, elle a cédé dans un horrible craquement . Elle était limitée à 150 kg !

Autre exemple : Le mètre de couturière était trop court pour mesurer ma poitrine. J'ai du utiliser un décamètre de maçon !

Taille : 1.88 m 6.3"
Poids  :    226 kg 502 lb
mensurations : 205C/74/94 81C/29/37
biceps : 76 cm 30"
cuisse : 114 cm 45"

Je ne sais pas pourquoi je me mesure pieds nus : compte tenu de ma masse musculaire, je porte toujours des talons hauts pour me sentir plus féminine. Avec mes talons de 13 cm (5") je mesure 2.01 m
(6.8").
Lorsque je passe une porte, j'ai l'impression que le monde cesse de tourner : toutes les têtes se tournent vers moi, les gens se figent et s'arrêtent de respirer.
Il faut dire, qu'en plus de me baisser pour passer, je suis obligée d'engager une épaule après l'autre pour ne pas desceller les montants d'un coup de coude!

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07 Aout 2002

Depuis que nous avons fait l'amour au gym, il y a six mois, nous le faisons au moins deux fois par jour. Je ne peux pas m'en passer mais je vais être obligée d'arrêter: Sam se sent très fatigué et il est vraiment très amoindri.

Il a beaucoup maigri :

Taille : 1.70 m 5.8"
Poids  :    49 kg 109 lb
mensurations : 76/70/76 30/27/30
biceps : 23 cm 9"
cuisse : 43 cm 17"

Même ses pantalons ne tiennent plus. Je dois lui acheter une ceinture.

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15 Aout 2002

Je suis allée au magasin ce matin. Comme je ne voulais pas perdre de temps, je me suis adressée directement à une vendeuse. Je lui ai demandé une grosse ceinture en cuir marron de 70 cm.

Je n'avais jamais mis les pieds dans ce magasin : La vendeuse a failli s'évanouir en me voyant. Il lui a fallu cinq bonnes minutes pour retrouver sa voix. Même ainsi, elle avait du mal à respirer et semblait hypnotisée par mes bras.

Elle m'a expliqué qu'elle n'avait pas de ceintures pour hommes dans cette taille et m'a conseillé de regarder dans le rayon des "filles".

  Comme elle ne pouvait pas me quitter des yeux, elle m'a suivie un moment entre les rayons et a proposé de m'aider. Finalement, j'ai trouvé quelques modèles qui correspondaient à ce que je cherchais.

J'ai pris une ceinture et je l'ai bouclée. Ensuite, je l'ai faite glisser le long de mon bras pour la mettre autour de mon biceps.

Il mesure 76 cm (30 ") contracté !!
La boucle de ceinture c'est d'abord déformée puis elle a littéralement explosé.

Je voulais m'excuser mais je n'en ai pas eu le temps. La vendeuse, toute tremblante, s'était écroulée comme un château de cartes. Je l'ai rattrapée in extremis par les épaules et l'ai remise sur ses pieds. Elle avait encore l'ourlet de sa jupe entre les dents et la main dans sa culotte. De grosses larmes ont jailli de ses jolis yeux bleus et elle s'est excusé immédiatemment entre deux sanglots :

" Pardon ! …Je suis désolée ! … Votre bras … il est énorme … il est plus gros que la taille de votre mari ! Vous vous rendez compte ? Je suis désolée, j'ai joui… Oui ! J'ai joui ! "

J'ai tout de suite repensé à Sandy. Elle me manque tellement !

Je me suis dirigée vers les cabines d'essayage avec la vendeuse à bout de bras. J'ai fermé la porte et je l'ai reposée par terre sans rien dire.

Je lui ai attaché les chevilles avec une des ceintures et je l'ai pendue par les pieds au porte-manteaux. C'était facile,  elle devait peser 45 kg (100 lb) tout au plus. Elle n'a même pas essayé de résister. Je l'ai regardée pleurer un moment tandis qu'elle se balançait lentement.

Ses fesses frottaient contre le mur et sa jupe retomba sur sa poitrine découvrant ses jambes maigrelettes et sa culotte toute mouillée. Ses mains pendaient quelques centimètres au dessus du sol. Seuls ses longs cheveux noirs, balayaient le parquet de la petite cabine d'essayage.

Elle a imploré :

" Pitié ! Ne me faites pas mal ! … pitié ! … "

Sans déclouer les dents, j'ai arraché sa petite culotte qui s'est quasiment désintégrée. Ensuite j'ai déchiré sa jupe et son chemisier.

Lorsqu'elle a été nue, je l'ai saisie par la taille,  j'ai mis sa petite tête entre mes cuisses et je l'ai serrée en contractant mes quadriceps.

J'ai senti ses mains remonter le long de mes jambes. Elle essayait de se dégager mais en vain. Mes cuisses étaient trop volumineuses pour ses petits bras.

Elle pouvait à peine se débattre, suspendue au mur par les pieds, la tête écrasée entre mes cuisses et ses mains prisonnières de mes fesses bodybuildées. J'ai serré mes jambes et j'ai repensé à Sandy.

Mon clitoris à triplé de volume. Je l'ai senti écraser le visage de la jeune femme. Il devenait chaud et humide. Soudain, un premier spasme m'a ébranlée, puis un autre. J'ai immédiatemment relaché la pauvre vendeuse pour éviter de la broyer dans un spasme plus violent.

Je l'ai décrochée du porte-manteaux en saisissant ses chevilles et en explosant la ceinture. Je l'ai plaquée contre le mur, toujours la tête en bas, et j'ai porté son sexe à ma bouche en lui écartant les jambes. J'ai plongé ma langue dedans et je l'ai léché goulument en pensant à Sandy. J'ai joui instantanément.

J'ai continué à la lécher et à la mordiller jusqu'à qu'elle ait un autre orgasme.

Ensuite, je l'ai posée par terre puis je suis rentrée.

J'y retournerai pour m'excuser… et pour payer les ceintures.

——

20 Aout 2002

Je suis repassée à la boutique. La pauvre vendeuse a les deux pieds dans le plâtre et marche avec des bequilles.

Elle a dit qu'elle ne m'en veut pas et qu'elle est prête à recommencer.

Pourquoi pas ?

——

10 Septembre 2002

L'idée de me passer de sexe m'est insupportable. En effet, les concours de bodybuilding ou de power-lifting n'étant plus des challenges pour moi, j'ai reporté toute mon énergie sur les plaisirs charnels.

C'est pour cela que j'ai demandé à Sam de faire attention à lui et que je l'ai obligé à venir s'entraîner avec moi pour se muscler un peu. Il est vraiment très faible.

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14 Septembre 2002

Aujourd'huis, Sam a fait des développés avec la barre seule, sans charges. Elle pèse seulement 25 kg (55 lb) mais j'ai du l'aider pour ses dernières répétitions. Il est vraiment en très mauvaise forme.

Malgré cela, il a absolument tenu à faire des curls. Comme tous les hommes, il veut avoir de gros bras.

J'ai essayé de l'en dissuader puis, finalement, j'ai cédé. Je lui ai conseillé les haltères de 4kg. Il a voulu utiliser ceux de 6 kg (13 lb) mais il a du tricher pour finir ses séries.

Demain, il ne pourra certainement pas bouger les bras.

Moi aussi, je me suis entraînée.

Voilà comment s'est déroulé le développé couché :

Sam à voulu charger la barre. Il a essayé de soulever un disque mais il n'y est pas arrivé. Il pouvait le lever d'un côté mais lorsqu'il essayait de le décoller du sol, le poids lui glissait des mains. Je l'ai arrêté :

" Chéri, fais attention ! Tu vas te faire mal au dos ! … Tu vois bien que ce sont des disques de 45 kg (100 lb) ! "

J'ai empilé trois disques machinalement puis je les ai soulevés simultanément. J'ai commencé à charger la barre en les faisant glisser tous les trois, tout en m'adressant à lui:

" Chaque disque pèse pratiquement ton propre poids, chéri ! … Tu vois, j'en mets trois de ce côté, et je vais en mettre trois de l'autre. Avec la barre, çà fera un total de 295 kg (655 lb). "

Sam n'a rien dit et s'est assis pour regarder.

J'ai effectué ma série tranquillement puis j'ai reposé la barre.

Je me suis relevée et ai contracté mes pectoraux un moment, avant de commencer à enlever les sécurités sur la barre.

Cette fois-ci, Sam n'a pas pu se contenir :

" Tu ne vas pas en rajouter quand même ? "

" Si ! … Bien sûr que si ! … Je vais rajouter un disque de chaque côté. "

Sam à réfléchi un peu puis a continué :

" Mais çà fera 385 kg !! " (855 lb) … Il y a huit disques !!!  … C'est donc plus de huit fois … "

Je ne le laissai pas finir sa phrase :

" Ton propre poids ! … Je sais, chéri. "

Je ne pouvais pas quitter Sam des yeux. Il avait le même regard que la première fois qu'il est venu au gym.

Je lui ai demandé :

" Te souviens-tu de la charge que tu avais mise de chaque côté de la barre, la première fois que tu es venu
au gym ? "

Il a baissé la tête.

" Oui ! J'avais mis 2 kg. "

" Te souviens-tu de la remarque que tu m'as faite quand j'ai chargé ma barre ? "

" Oui ! J'ai dit 'dix fois plus !' . Tu avais mis 20 kg de chaque côté. "

Je me suis approchée de lui pour lui murmurer à l'oreille :

" Aujourd'huis, il y a 90 fois plus, chéri ! "

Je lui ai soufflé dans le creux de l'oreille.

Il a chancelé puis s'est assis in-extremis sur le banc derrière lui pour ne pas tomber. Il n'a plus rien dit et m'a regardée faire mes séries à 385 kg !

Le curl avec haltères :

Je l'ai executé avec des haltères de 90 kg.

J'ai fait 4 séries de 10 répétitions.

Pour la dernière série, j'ai voulu faire participer Sam. J'ai pris une barre chargée à 120 kg. Je l'ai maintenue en l'air et j'ai demandé à Sam de se pendre au milieu, face à moi, en s'agrippant entre mes mains.

Je l'ai laissé se balancer un moment puis j'ai commencé ma dernière série.

A chaque répétition, je montais les bras pour pouvoir coller mes lèvres contre celles de Sam. Je ne
pouvais pas isoler mes muscles correctement mais c'était tellement bon !

J'essayais d'aller lentement pour que Sam ne lâche pas prise mais je voyais bien qu'il avais du mal à rester accroché.

A la sixième répétition Sam n'en pouvait plus. Il a lâché la barre et est tombé par terre.

J'ai reposé le poids et lui est demandé de s'asseoir dessus pour finir ma série. Il a posé ses mains sur mes épaules et je me suis redressée pour continuer mes curls.

A la première repetition, il a été obligé de poser ses mains sur ma tête pour ne pas basculer vers l'avant. J'ai remonté la barre lentement en isolant bien mes biceps.

A chaque curl suivant, je portais la barre contre moi, le menton en avant pour enfoncer ma tête entre ses jambes. J'essayais de mordiller son short du bout des lèvres puis je laissai la barre redescendre lentement. A la dixième repeptition, Sam tremblait d'excitation.

La presse inclinée :

La presse dispose d'une charge de 150 kg () et de barres destinées à rajouter des charges additionnelles. J'ai demandé à Sam de m'aider à charger. Il m'a regardée un instant puis s'est décidé à parler :

" Les disques de 45 kg, je ne peux pas … "

" Non, non ! Contente toi de ramener des disques de 20 kg. Je m'occupe des gros ! "

Quatre par quatre, j'ai rapidement porté les 12 disques de 45 kg dont dispose la salle. Pendant ce temps Sam avait péniblement ramené 2 disques de 20 kg.

" Attends un peu, chéri ! Voyons, il y a 150 kg , j'ai rajouté 540 kg , plus les 40 kg que tu as ramenés tout seul , çà fait donc … 730 kg ! "

" 730 kg ??!! " a crié Sam.

" Oui, tu as raison ! Je devrais en rajouter un peu ! "

Je me suis avancée vers un rack et j'ai pris, d'un seul coup, toute la pile de disques de 20 kg. Je l'ai ramenée comme une pile d'assiettes et je me suis arrêtée devant Sam.

" Onze disques, 220 kg … nous en sommes donc à 950 kg. "

" Mais çà fait presque une tonne !!! "

" C'est vrai ! " lui ai-je répondu. Je lui ai mis un disque de 1 kg dans les mains puis je l'ai soulevé par la taille et l'ai assis sur la pile de disques.

" … Plus 50 kg, çà fait mille ! "

Je ne me suis pas attardée pour ne pas lui laisser le temps de descendre. J'ai fais ma série très rapidement : 1000 kg ce n'est pas bien lourd.

J'ai demandé à Sam de rajouter tous les disques qu'il pourrait amener.

Il s'est assis pour souffler un peu et en a profité pour compter la charge de la presse : 1480 kg (3290 lb).

J'ai effectué 3 ou 4 repetitions puis nous avons du rentrer car Sam ne se sentait pas très bien.
Peut-être, l'excitation !?

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20 Novembre 2002

Sandy a écrit.

Elle et Ben se sont séparés. Elle se sent seule. Je lui manque.

Toi aussi, Sandy, tu me manques !

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26 Novembre 2002

J'ai acheté deux arbustes pour remplacer ceux qui sont morts.

Cette année, Sam tient à ce que nous les plantions ensemble. Je crois simplement qu'il veut être là pour me voir faire.

Nous le ferons demain.

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27 Novembre 2002

Ce matin nous sommes allés au jardin très tôt: Sam était impatient de voir mes muscles lutter contre les outils de jardin.

Il faisait un peu froid alors il a mis un gros pull en laine avec un blouson par dessus. Moi, j'ai simplement passé un petit T-shirt en coton pour qu'il puisse profiter du spectacle. De toutes façons, je supporte très bien le froid, même si je n'ai pas un gramme de graisse sur moi.

Le sol était encore gelé. J'ai immédiatement compris que Sam aurait beaucoup de mal à creuser. Je crois que lui aussi. Nous nous sommes embrassés et nous sommes allés au fond du jardin en prenant chacun notre arbuste.

J'ai saisi le mien, d'une main, par la base du tronc et l'ai emporté avec moi, à bout de bras, en laissant Sam lutter péniblement pour soulever le sien.

Arrivée à la clôture, j'ai agrippé l'arbre mort de ma main libre et j'ai tiré dessus. Le sol n'a pas résisté une seconde: Il a commencé à se fendiller puis s'est ouvert largement pour laisser sortir les grosses racines pleines de terre. J'ai enfoncé le nouvel arbuste dans le trou laissé par le premier. Ensuite, j'ai tassé la terre autour avec la main et je me suis tournée vers Sam.

Le pauvre luttait encore pour traîner son arbre. Il avait à peine parcouru la moitié du chemin quand je l'ai croisé en rentrant à la maison.

Je revois encore la tête qu'il a faite quand il a compris que j'avais fini.

Pauvre Sam ! Quand il est rentré, il était presque 9 heures. Il a mis une heure là où j'ai mis seulement quelques misérables secondes.

La seule chose qu'il m'ai dite c'est :

" Je voulais te voir faire ! Tu le savais, n'est ce pas ? "

Bien sûr que je le savais ! Demain, je remplacerai un autre arbre pour lui faire plaisir.

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04 Décembre 2002

Cela fait quelques jours qu'une idée me trotte dans la tête. C'est une idée horrible mais je ne peux pas m'en défaire.

L'autre jour, en déjeunant sur la terrasse, Sam m'a dit qu'il devait monter sur le toit pour repositionner l'antenne TV. Il était embêté car il ne trouvait pas l'échelle qu'il avait prétée à un voisin.

C'est là que l'idée m'est venue : Je me suis dite que je pourrais essayer de le lancer sur le toit !

Depuis, je ne cesse de me demander si je suis capable de le faire.

Ce matin, j'ai voulu en avoir le coeur net. Je suis allée chercher un haltère de 50 kg dans le garage. Je n'en ai pas. Tant pis, j'ai pris celui de 100 kg qui me sert à faire les curls d'un bras et j'ai enlevé 10 disques de 5 kg : Et voilà : 50 kg !!!

C'est tellement léger !

Je n'ai pas envoyé l'haltère sur le toit, au risque d'abîmer la toiture: Je l'ai lancé dans le jardin.

La première fois, je l'ai lancé timidement à deux ou trois mètres. Ensuite, je l'ai propulsé à plus de cinq mètres de hauteur. En retombant, il s'est enfoncé de moitié dans le sol humide.

Si j'avais essayé à deux mains, je suis sûre que j'aurais pu faire le double !

Ce soir, quand Sam est rentré, je l'ai soulevé par le col pour l'embrasser, comme d'habitude, à un bras, en faisant une pose biceps de l'autre. Mais ce soir, j'ai éprouvé un sentiment de puissance tout particulier. Mon baiser a duré encore plus longtemps car je voulais profiter de ce moment éternellement. J'étais si excitée que je ne sentais même pas les coups de Sam qui se débattait pour pouvoir respirer.

Les seules choses que je pouvais percevoir, c'était la facilité avec laquelle je promenais son corps maigrelet et l'envie grandissante de le lancer au quatre coins de la pièce.

J'ai peur d'aller trop loin.

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[Mermoz]

Awesome as always..The way she unroots a tree is great! I cannot wait for much feats of strengh thank you scat!

[ratlaf]

Is Fonk still about, and willing/able to translate…?  ???  ;D

[Fonk]

A mere three weeks later… also, I hope to have the next part ready some time early in the New Year. Thanks for continuing to read Tanya's diary… I hope she doesn't beat us up if she finds out!

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Tanya's Diary – Part 5

5 August 2002

I haven't written for six months. Times have been hard.

Although my new body has made lots of the everyday tasks easier, it sometimes makes things harder for me.

Yesterday, for example, I wanted to weigh myself. The electronic scales flashed up the word "overload!" and then suddenly cracked in two. Its maximum was set for 150kg!

Another example: the dressmaker's measuring tape is now too small for my chest. I had to use a builder's measuring tape!

Height:      6'3"
Weight:      502 pounds
Measurements: 81C/29/37
Biceps:      30 inches
Thighs:      45 inches

I don't know why I measure myself without shoes on: I always wear high heels to feel more feminine. With my five inch heels on, I'm 6'8". When I walk into a room, I sometimes feel like the world's stopped turning: every head turns towards me, people freeze and stop breathing. Also, not only do I have to duck before I can get through, I have to walk in sideways – and then carefully! – so I don't destroy the door frame with an elbow!

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7 August 2002

Since we made love in the gym six months ago, we make love at least twice a day. I couldn't do without it but I think I might have to stop: Sam feels very tired and he has really lost weight.

Here's the proof:

Height:      5'8"
Weight:      109 pounds
Measurements: 30/27/30
Biceps:      9 inches
Thighs:      17 inches

His trousers are loose too. I'm going to have to buy him a belt.

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15 August 2002

I went to the shop this morning. I didn't want to waste time so I went straight up to an assistant. I asked where I could find a thick leather belt of about 28 inches in length. I'd never been into that shop before: the assistant, a woman, nearly fainted when she saw me. She needed a good five minutes before she could speak. Even then she had trouble breathing and seemed hypnotised by my arms. Even so, she managed to explain to me that they didn't stock men's belts in that size and told me I should check the girls' section.

She couldn't stop looking at me, so she followed me between the racks of clothes and said she would help me. Finally we found a few that I liked the look of. I took one of them and did the buckle. Then I slid it down my arm so I could put it round my biceps.

They measure 30" when flexed! First the leather belt bent out of shape, and then it literally exploded. I wanted to say I was sorry, but I didn't have the time. The assistant, trembling all the while, collapsed like a house of cards. I just managed to grab her by the shoulders and put her back on her feet. She still had the hem of her skirt between her teeth and her hand in her panties. Huge tears began pouring from her pretty blue eyes and she made her excuses between two sobs.

"Sorry! I'm really sorry! Your arm… it's huge… it's bigger than your husband's waist! Do you realise that? I'm sorry, I came… Yes! I came!" I immediately thought about Sandy. I miss her so much! I went straight to the changing rooms, carrying the assistant in one hand. I locked the door and set her down without saying anything.

I bound her ankles with one of the belts and hung her, upside-down, from the coat hook on the back of the door. It was easy, she could only have weighed a hundred pounds. She didn't even try to resist me. I watched her cry for a moment as she hung there, swinging gently from side to side. Her butt hit the door from time to time and her skirt had fallen back over her chest, revealing her skinny legs and her soaked panties. Her hands hung a few centimetres from the floor. Only her long black hair did hit the floor, gently sweeping the carpet in the changing room.

"Please, don't hurt me! Please!" she begged.

Still not saying a word, I tore her panties away – they'd almost disintegrated anyway. Then I tore off her skirt and blouse. When she was naked, I grabbed her by the waist, put her head between my thighs and kept it there by contracting my quads. I felt her hands move the length of my legs. She tried to free herself, but could not. My thighs were too voluminous for her little arms.

Eventually she couldn't even struggle, hung up against the wall by her feet, head crushed between my thighs. She then got her hands stuck in my huge, sculpted glutes. I tightened the hold I had on her with my legs and thought about Sandy. My clitoris tripled in volume. I felt it smash into the young woman's face. It turned hot and humid. Suddenly a spasm shook me, followed by another. I immediately loosed my grip on the poor assistant to avoid crushing her head in a more violent spasm.

I got her down from the door by taking hold of the belt and tearing it apart. I held her against the door, still with her head down, and brought her sex to my lips by spreading her legs. I plunged my tongue inside it and licked hungrily, thinking about Sandy. I came instantly. I kept licking until she had her second orgasm.

Then I put her down and exited the changing room.

Later I went back to apologise… and pay for the belts.

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20 August 2002

I went back to the clothes shop. The poor assistant has both legs in plaster and walks with crutches.

She said she didn't mind, and in fact would like to go again.

Why not?

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10 September 2002

The idea of giving up sex is just unacceptable. In fact, as bodybuilding and power-lifting contests have become too easy for me, I've decided to dedicate myself to pleasures of the flesh instead.

That's why I've ordered Sam to take better care of himself, and made him come training with me to build up some muscle. He's really very weak.

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14 September 2002

Today Sam did some presses with just the bar, no weights attached. It only weighs twenty-five kilos, but I had to help him on the last few reps. He's really very unfit.

Despite that, he absolutely insisted on doing some curls. Like any man he wants to have big arms.

I tried to persuade him otherwise but, finally, I gave up. I advised him to use four kilo dumbbells. He wanted to use six kilo ones, but he had to cheat to finish his sets. I bet he will not be able to move his arms tomorrow.

I trained too.

This is how the overhead press went:

Sam wanted to load the bar. He tried to lift a disc but couldn't. He could get it standing on its edge, but when he tried to lift it from the floor, it slid through his hands. I stopped him.

"Honey, be careful! You're going to hurt your back. You can see that those are forty-five kilo discs!"

I mechanically piled up three discs and lifted them all together. I started to load the bar by sliding them all on together, all the while talking to him.

"Each one of these discs is almost your own weight, honey!" I paused. "See, I'm putting three on this side, and now I'll put three on the other. With the bar, that'll make a total of two hundred and ninety-five kilos." Sam didn't say anything and sat down to watch.

I easily did my set and put the bar back. I sat up and flexed my pectorals for a moment, before removing the bits of plastic used to secure the weights to the bar. This time Sam couldn't contain himself.

"You're not going to add more weight, are you?!"

"Yes!" I said. "Of course I am!" I paused. "I'm going to add a disc to each side." Sam thought for a moment before continuing.

"That'll make three hundred and eighty-five kilos! That's eight discs!" He paused. "That makes it more than eight times -" I didn't let him finish.

"Your own weight! I know, honey." I couldn't stop looking at Sam. He had the same look in his eyes that he'd had the first time we came to the gym.

"Do you remember the weight you put on the bar, the first time you came to the gym?" I asked him. He lowered his head.

"Yes! Two kilos on both sides."

"Do you remember what you said to me when I loaded my bar?"

"Yes! I said 'ten times as much'! You'd put twenty kilos on both sides." I went close to him.

"Today there is ninety times as much, honey," I practically breathed in his ear.

He staggered back and sat down on the bench behind him so that he didn't fall over. Then he watched me do my sets of three hundred and eighty-five kilos!

Curls with dumbbells:

I did my sets with ninety kilo dumbbells, four with ten reps in each.

For the last set I wanted to get Sam involved. I took a bar loaded with 120 kilos. I held it in the air and asked Sam to lean forward onto its middle, facing me, and holding onto it with both hands. I let him find his balance and then started my last set.

At each repetition, I lifted the bar so that I could glue my lips to Sam's. I couldn't isolate my muscles properly, but it was so good!

I tried to go slowly so that Sam wouldn't lose his grip but eventually I could see that he was having trouble holding on. On the sixth rep he couldn't take it any more: he let go of the bar and fell to the floor.

I put the weight down and asked him to sit on the bar so that I could finish my set. He put his hands on my shoulders and I helped him up so that I could continue my curls.

On the first rep he had to put his hands on my head so that he wouldn't fall forwards. I lifted the bar slowly, concentrating hard on my biceps.

For every curl after that, I brought the bar against my body, chin held out, so that I could stick my head between his legs. I tried to bite his shorts with my lips before letting the bar down slowly. On the tenth rep I saw that Sam was trembling with excitement.

Leg press:

The leg press machine itself has a limit of a hundred and fifty kilos, but it does have some bars to allow you to add on extra weight. I asked Sam to help me load it. He looked at me for a moment before deciding to speak.

"I can't move the forty-five kilo discs…"

"Oh, don't worry," I said. "Just bring the twenty kilo ones, I'll take care of the big ones!"

I quickly brought twelve forty-five kilo discs to the machine by carrying four at a time. During that time, Sam had just about managed to bring two twenty kilo discs.

"OK, honey, let's think. There's a hundred and fifty kilos already there, I've brought five hundred and forty, plus the forty kilos you brought by yourself, that makes… seven hundred and thirty kilos!"

"Seven hundred and thirty kilos?!" Sam cried.

"Yes, you're right. I should add more!"

I walked over to one of the weight racks and took the entire remaining stack of twenty kilo discs. I held them like a stack of dinner plates and stopped in front of Sam.

"Eleven discs, two hundred and twenty kilos… that makes a grand total of nine hundred and fifty kilos."

"But that's almost a tonne!"

"That's right!" I replied. I gave him a one kilo disc to hold and then lifted him up by the waist, sitting him on top of the pile of discs. "With fifty more kilos, that makes a thousand!" I didn't hesitate, because that would have given him the time to get down. I did my set very quickly: a thousand kilos isn't a lot, really. In fact, I then asked Sam to bring all the discs that he could. Eventually he sat down to catch his breath and we used the time to count how much weight the machine was holding: one thousand, four hundred and eighty kilos.

I did three or four reps, and then we had to go home because Sam wasn't feeling too well.

Maybe it was because he'd got too excited?!

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20 November 2002

Sandy wrote me a letter.

Ben and her are separated. She feels alone, and says that she misses me.

Well I miss you too, Sandy!

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26 November 2002

I bought two small trees to replace a couple that had died over the year. This year, Sam really wants us both to work on planting them.

I just think he wants to watch me work. Well, we'll see tomorrow.

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27 November 2002

We went into the garden very early this morning: Sam was impatient to see my muscles fight against the garden tools again.

It was a bit cold, so he put a large woolly sweater over his shirt. As for me, I wore a simple cotton T-shirt so that he could fully enjoy the show. In any case I don't mind the cold weather, even though there's not a gram of fat on my body.

The ground was frozen. I knew straight away that Sam would have trouble digging… I think he knew it too. We hugged and then went to the far end of the garden, each with our own trees. I took mine by the base of the trunk and carried it, one-handed, with me, leaving Sam to fight pitifully with his.

Once I'd got to the fence I grabbed the dead tree with one hand and pulled. The ground didn't resist for a second: it started to break up before opening out into a large hole to allow the network of roots to come through the earth. I stuck the new tree in the hole left by the first. Then I patted the earth back into place with my hand and turned to Sam.

The poor guy was still fighting to drag his tree along. He just got past the halfway mark as I passed him, going back into the house. I can still picture his face when he realised that I'd finished.

Poor Sam! When he came back in it was about nine o'clock. He took an hour to do what had taken me a few measly seconds. The only thing he said to me was:

"I wanted to watch you do it! You know that, don't you?"

Of course I knew it! I'll replace another tree tomorrow, just for him.

            —–

4 December 2002

I've had this idea for a few days now. It's a horrible idea but I can't stop myself.

The other day we were having breakfast on the patio and Sam said to me that he had to go onto the roof to reposition the TV aerial, which had shifted in a strong wind. He was annoyed because he couldn't find the ladder which he had lent to a neighbour.

That was when I had my idea: I thought that I might be able to throw him onto the roof!

Since then I haven't stopped asking myself if I could do it. This morning, I decided to try it out. I went to find a fifty kilo dumbbell in the garage. We didn't have any. It didn't matter: I took the hundred kilo one (that I'd been using to do one-handed curls) and removed ten discs of five kilos, and there it was: a fifty kilo weight!

It felt so light!

I didn't throw the dumbbell onto the roof, so as not to put the tiles at risk. I threw it in the garden.

The first time I was frightened of using my full strength, so it only went two or three metres. Pleased with that, I then threw it up to about five metres. When it came down half of the dumbbell disappeared in the wet ground.

If I'd used both hands, I'm sure I could have got it twice as high!

This evening when Sam came home I lifted him up by the neck with one hand to kiss him, as always, and pulled my other arm into a biceps pose. This time, though, I got a very particular feeling of power. My kiss lasted longer because I wanted to enjoy it forever. I was so into it that I didn't even notice Sam beating on my body, as he couldn't breathe.

The only things I could feel were the ease with which I picked up his skinny body and the growing desire to throw him around the room like a rag doll.

I'm scared I'll go too far.

[Seldom]

Another great addition! Thanks for the translation again!

[ratlaf]

Yes, many thanks to Scat and Fonk!!  ;D

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