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January 16, 2008 at 9:25 pm #65859
scat
Participanthi !
Happy new year !—–
15 Mars 2003
Je me suis rendue chez la femme que j'ai rencontrée chez le médecin pour lui rendre son sac.
Quand j'ai frappé pour m'annoncer, j'ai entendu pleurer à travers la porte. Les pleurs se sont
arrêtés brusquement et la porte s'est entr'ouverte. La pauvre fille séchait encore ses larmes quand elle
s'est écriée :" Vous ? "
J'ai souri.
" Que … que voulez-vous ?" a t'elle dit
" Vous avez oublié votre sac chez le docteur." ai-je répondu en tendant le sac.
" Oh ! Merci ! Je ne savais pas où il …"
La jeune femme s'est arrêtée net. Mon biceps venait de se détendre puis se contracter en une énorme
boule de muscle, grosse comme un ballon de volley-ball. Ses yeux se sont rivés dessus.Comme j'allais commencer à parler, elle m'a interrompue :
" Je suis désolée, je dois vous demander de partir! … Je suis … très occupée !" a t'elle dit d'une voix
tremblotante.Ses yeux se sont remplis de larmes et elle a tourné la tête.
Je l'interrogeai :
" Quelque chose ne va pas, … Sarah ? " J'avais lu son nom sur les papiers.
" Non ! Non ! Tout va bien !"
A ce moment là, une voix d'homme s'est élevée dans le couloir:
" Dis à ta copine de venir, salope ! J'espère qu'elle a de gros nichons ?"
L'homme s'est avancé. Il tenait un grand couteau de chasse à la main, dont la pointe fleurtait avec
le cou du petit Max. Il a continué :" On va bien s'amuser ! Pas vrai ? Tu vas être bien gentille !"
Je me suis baissée pour passer la porte et le type a levé la tête. Il a croisé mon regard au moment
où je me relevais à deux pas de lui, avec les mains sur la taille.Il est resté pétrifié. Max en a profité pour se libérer et se blottir contre sa mère.
J'ai pris une grande inspiration en projetant mes coudes sur les côtés. Mes dorsaux se sont évasés
lentement.Mon ombre, projetée sur le mur où il s'était adossé, s'est s'élargie petit à petit. Elle a bientôt
recouvert son visage, lui cachant complètement la lumière du jour.Mon corps, jusque-là masqué par le contre-jour, lui est apparu dans le moindre détail. Il a laissé
tomber le couteau.Je l'ai ignoré et me suis tournée vers Sarah.
" Il vous a brutalisé ?"
Elle a baissé les yeux et a relevé son T-shirt. J'ai compté plus tard plus de dix lacérations au
couteau. Sur le coup, mon sang n'a fait qu'un tour. J'ai attrapé le gaillard par la mâchoire et j'ai serré de
toutes mes forces en le collant contre le mur. Ses os ont offert peu de résistance. En une fraction de
seconde son maxilaire était brisé en plusieurs endroits … CRAAAKKKK !" Max, va te coucher mon lapin ! " ai-je dit
Sa mère l'a poussé dans le couloir et Max est allé se coucher. Le type gesticulait encore, suspendu à
mon bras, sans pouvoir pousser le moindre cri. Son sang commençait à couler sur mes mains. J'ai regardé
Sarah. Elle m'a suppliée :" Ne le tuez pas ! Pitié ! Laissez-le ! "
Je l'ai laissé, à contre-coeur, et nous l'avons livré à la police. J'espère pour lui qu'il va être
emprisonné à perpétuité.———
13 Avril 2001,
Nous sommes allés à la fête foraine. Nous avons passé l'après-midi avec Kate, Sarah et Max.
La dernière fois Sam a dit qu'il préférait que nous nous tenions la main. Cette fois, je l'ai porté
dans un bras. Max était dans l'autre. Il n'a pas eu peur de paraitre ridicule car personne n'aurait osé se
moquer de lui. En tous cas, pas devant moi ! Les filles suivaient derrière.Je les ai amenés devant le stand du punching-ball, celui où chacun peut montrer sa force en cognant
un ballon de basket. C'est le même ! Le fameux modèle qui affiche votre niveau en indiquant qui vous êtes :
'1-fillette', '2-gringalet', '3-homme', '4-athlète', '5-costaud, '6-brute', '7-superman'.L'année dernière, Je n'avais pas essayé, c'est devenu trop facile ! Mais, j'en avais parlé à Kate et
elle voulait voir." Sam ! Je voudrais essayer. "
" Encore ? "
" Oui ! Kate veut que je lui montre ! "
Max est descendu, Sam aussi. Il a introduit une pièce dans l'appareil et a mis le ballon en place
pour moi." Chérie ! Tes bras sont plus gros que le ballon ! "
" Oui, je sais. Mais çà ne te déplais pas, n'est-ce-pas ? "
Il a baissé la tête.
" Non. "
J'ai levé mon bras et me suis tournée legèrement vers Kate. Pas besoin de préparer ma frappe. Mes
muscles se sont bandés. Ils sont devenus durs et saillants. De grosses veines sont apparues sous la peau. Le
coup est parti !Au choc, j'ai senti ma main traverser le ballon. Ce dernier a explosé dans une puissante
déflagration. Mon bras a poursuivit sa trajectoire et est allé s'encastrer dans le socle métallique …BLAAAMMMM !!! …
La machine s'est éteinte et a commencé a dégager une épaisse fumée.
" Niveau 10 ! SuperTanya! "
—–
—–15 juillet 2003
Nous sommes allés au gym, Sam, Kate et moi.
Sam avait décidé de commencer par les pectoraux. Il a chargé la barre olympique avec deux disques de
10 kg et a effectué une première série. Comme j'attendais qu'il finisse, je lui ai emprunté la barre pour
faire un petit échauffement. Je l'ai passée derrière la nuque et j'ai commencé à faire des mouvements de
rotation de gauche à droite.Quand j'ai fini, machinalement, j'ai poussé vers l'avant pour contracter mes pectoraux. j'avais
laissée la barre sur mes épaules.Elle s'est pliée sans un bruit, lentement, sans la moindre résistance. Ses deux extrémités se sont
rapprochées inexorablement puis elle se sont cognées avec le son caractéristique de deux disques qui
s'entrechoquent. Le bruit m'a sortie de ma torpeur !J'ai passé la barre par dessus ma tête et l'ai regardée bêtement :
" Tiens ? Je croyais que c'était ma serviette ? "
Je me suis avancée vers Sam et Kate qui restaient bouche bée, tout en remettant la barre pliée autour
de mon cou." Kate ! Tu as encore pris ma serviette ! "
D'une main, j'ai saisi Kate par la taille et l'ai soulevée à ma hauteur. De l'autre, j'ai pris une
extrémité de la serviette et je me suis essuyée le visage. Kate est restée là, maintenue par la taille à 50
cm du sol.Comme je voyais qu'elle n'arrivait pas à parler, je l'ai interrogée :
" Quoi ? Qu'y a t'il ? "
" Tu … tu as plié la barre olympique de Sam ! "
" Je sais ! … Ce n'est pas un exploit ! " lui ai-je répondu, en la posant par terre.
Je lui ai passé la barre autour du cou et je l'ai pliée pour faire une boucle.
Kate m'a regardée en tremblant. Peut-être a-t'elle pensé que j'allais serrer la barre autour de son
petit cou jusqu'à l'étrangler ? Peut-être même jusqu'à broyer ses frêles vertèbres ? Elle a posé ses mains
dessus, essayant de la soulever. Elle a tenté de passer la tête dessous, en se baissant. Mais, je tenais la
barre fortement à chaque extrémité. Mes bras contractés étaient deux énormes masses inébranlables contre
lesquelles elle ne pouvait pas lutter. J'ai lâché la barre et ai regardé Kate s'écrouler à genoux, entraînée
par le poids.La pauvre a essayé de se relever mais la charge était trop lourde pour ses frêles épaules : Elle n'a
même pas pu se redresser. Elle est restée là, a regarder le sol, tandis que Sam se précipitait déjà vers moi:
" Mais qu'as-tu fait, Tanya ? … Aide-la voyons ! "
" Aide-la, toi ! "
Kate me regardais les larmes aux yeux. Je me suis mise à pleurer aussi.
" Pardon, Kate ! … Je suis désolée ! "
J'ai écarté la barre et je suis partie en pleurant. Sam tentait de comprendre :
" Cà va, Kate ? "
" Oui, oui !"
" Qu'est-ce-qu'elle a aujourd'hui ? "
Kate a regardé Sam en souriant.
" C'est l'anniversaire de Sandy ! Elle est triste ! "
Kate a compris, elle !
Sandy me manque ! Elle me manque énormément !
—–
16 juillet 2003
Nous avons pris nos mensurations :
mes mensurations : mensurations de Sam : mensurations de Kate :
Taille : 2.10 m (7") 1.70 m (5.8") 1.60 m
(avec talons) 2.23 m (7.5")
Poids : 492 kg (1093 lb) 59 kg (131 lb) 40 kg
mensurations : 266f/90/114(115f/35/45)80/85/80 (80/85/80) 90/58/85
biceps : 105 cm (41") 26 cm (10") 21 cm
cuisse : 156 cm (62") 48 cm (19") 42 cmSam n'est pas régulier dans son entrainement, il ne progresse pas.
—–
21 juillet 2003
Mes stats. : Stats. de Sam : Kate :
développé couché (bench press) : 835 kg (1855 lb) 45 kg (100lb) 25 kg
max 1110 kgcurl un bras (dumbbell curl) : 200 kg (445 lb) 10 kg (22lb) 4 kg
max 270 kgpresse inclinée (leg press) : 2100 kg (4670 lb) 80 kg (180lb) 40 kg
max 2950 kg—–
22 juillet 2003
Cet après-midi, Kate est entrée dans ma chambre au moment où je sortais de la douche. J'étais nue,
encore ruisselante, les muscles chauds et gonflés par l'entraînement.Elle a laissé tomber quelque chose en me voyant, qui a roulé sous le lit..
" Qu'est-ce que c'est ? " ai-je demandé en pointant l'objet tombé derrière elle.
Kate continuait de regarder mes muscles étinceler. La lumière rasante du soleil couchant, sur la peau
mouillée, les rendaient plus impressionants qu'à l'habitude. Elle a posé ses mains sur mes hanches, les yeux
rivés sur mes abdominaux. Elle n'a pas du entendre ma question. Je l'ai interrogée de nouveau." Qu'est-ce que c'est ? "
" Pardon ? "
" Ce que tu as laissé tomber, qu'est-ce-que c'est ? "
" Oh ! Cà ? … "
Elle a ramassé l'objet en répondant.
" … c'est une batte de base-ball. "
" Une batte ? "
" Tu m'avais promis … "
C'est vrai, j'avais promis. Mais, je ne pensais pas qu'elle le prendrait au sérieux. Le mois dernier,
en me frappant au ventre pendant nos ébats amoureux, Kate s'est cassé le poignet. Je lui avais dit que la
prochaine fois, elle pourrait me frapper sur le ventre à coups de batte de base-ball !Bien sûr, j'ai trouvé çà idiot. En tous cas, au premier abord ! Ensuite, en regardant les yeux de
Kate pétiller, l'idée a commencé à me séduire puis à m'exciter terriblement.J'ai pris la batte et je l'ai examinée attentivement. Je l'ai regardée de long en large. Je l'ai
palpée. Je l'ai testée entre mes doigts en appuyant fortement sur le bois. Elle n'est pas si dure que çà !
ai-je pensé.J'ai souri à Kate en lui tendant la batte.
" D'accord ! Tu peux frapper, mais uniquement sur le ventre ! … Attends, je me couche ! "
Je me suis allongée sur le lit en croisant les bras derrière la nuque. Mon énorme poitrine s'est
dressée devant mes yeux." Attend ! … Je n'y vois rien ! "
Je me suis relevée en contractant les abdominaux, pour me caler sur les coudes. Ma sangle abdominale
toute entière s'est ébranlée. Les muscles se sont gonflés, les séparations se sont prononcées. Les gouttes
d'eau se sont rassemblées en de petits cordons qui ont ruisselé le long de ma poitrine pour finir retenus par
tel ou tel muscle faisant barrage.Pendant un instant, j'ai joué de mes muscles pour faire de petites vaguelettes avec l'eau retenue
prisonnière puis j'ai regardé Kate." Tu peux y aller ! "
Kate a soulevé la batte et l'a abattue sur moi. POC ! … l'onde s'est propagée sur l'eau.
" Vas-y frappe ! "
Elle a frappé encore. POC ! … Quelques gouttes d'eau sont restées sur la batte. Elles ont commencé
à couler le long du morceau de bois." Plus fort ! "
POC ! … Cette fois, une gerbe d'eau a jailli, coulant sur les mains de Kate.
" Encore plus fort ! "
POC ! POC ! POC ! POC ! … L'eau a éclaboussé, allant plus loin à chaque coup, fendant les rayons de
soleil d'une multitude de goutelettes étincelantes. Le T-shirt de Kate était trempé. Maintenant, ses tétons
et le bout de ses seins étaient clairement visibles à travers le tissu. Elle commençait a m'exciter. Ses bras
mouillés luisaient au soleil, huilés par un mélange d'eau et de sueur. J'avais de plus en plus envie de
l'agripper par les poignets et de la coller contre moi.Elle, elle ne se doutait de rien. Concentrée qu'elle était, à frapper vite et fort, très fort. Elle
voyait bien que je ne sentais rien. Cela la faisait enrager. A chaque coup de batte, elle rajoutait un peu
d'énergie pour arriver à me faire mal. Rien n'y faisait.POC ! POC ! …
Au début, je voyais ses yeux briller d'excitation. Petit à petit, la fatigue survenant, elle
faiblissait, ses bras tremblaient à l'impact, ses mains devenaient douloureuses. Je pouvais deviner la
frustration qui lui nouait la gorge et l'empêchait de parler.J'ai fermé les yeux. J'aimais çà ! Je commençais même à jouir de ce sentiment de puissance que j'aime
tant. Je me mordillais les lèvres pour ne pas crier d'excitation.La batte est tombée. Je me suis redressée en ouvrant les yeux.
Une petite larme coulait sur sa joue. Elle a baissé la tête :
" C'est à elle que tu pense, n'est-ce-pas ? … à Sandy ! "
Elle s'est mise à pleurer et est partie en courant.
—–
28 juillet 2003
Aujourd'hui, j'ai fait des développés couchés avec la voiture ! Bien sûr, je ne soulève encore qu'un
côté, mais ç'est génial!Je me suis couchée devant la voiture et me suis glissée dessous, tête la première, jusqu'à buter avec
ma poitrine. J'ai posé mes mains à plat sous la carcasse et j'ai pris une grande inspiration.Ma cage thoracique s'est soulevée, appuyant fortement mes seins sur le pare-choc. Ils se sont
écrasés. Je les ai senti devenir plus denses, plus durs. A la première contraction de mes pectoraux, ils se
sont détendus comme un ressort, libérant la pression qui les étreignait. La voiture, qui n'avait pas le frein
tiré, a reculé de quelques centimètres.J'ai du ramener la voiture vers moi. Ensuite, j'ai agrippé les deux arbres de cardans et j'ai poussé
de toutes mes forces. Mes pectoraux et mes triceps se sont contractés, les muscles gonflant petit à petit, en
tremblotant. Les stries se sont faites plus visibles puis plus profondes. Mes muscles gonflaient encore. Les
tremblements se sont accentués. La voiture entière a commencé à vibrer.J'ai poussé un cri pour vider l'air de mes poumons. Mes pectoraux se sont raccourcis instantanément.
Dans le même temps, la voiture s'est ébranlée. Elle est montée, lentement, mais elle est montée. Les
amortisseurs se sont détendu, par accoups, puis les roues ont décollé du sol.Mes triceps sont entrés en action, aidant mes pecs qui commençaient à fatiguer. Les tremblements ont
persistés un moment puis, lorsque mes bras ont été complètement tendus, ils se sont arrêtés. OUF !J'ai soufflé un peu pour reoxigéner mes muscles et j'ai laissé la voiture redescendre petit à petit,
en contrôlant la descente.Les autres répétitions ont été beaucoup plus faciles: la charge n'était pas excessive et j'avais
trouvé une position comfortable pour la stabiliser.J'ai fait mes 5 séries de 10 répétitions et j'ai demandé à Sam et à Kate de descendre de l'auto. Ils
étaient émerveillés. Tous deux, sont venus se frotter contre moi.—–
January 16, 2008 at 11:54 pm #65860Fonk
ParticipantC'est magnifique. Moi et mon dico vont être très occupés!
January 26, 2008 at 7:44 pm #65861Icon
ParticipantFonk (or anyone) can you please translate this to English???
I got stuck at chapter 4…This is to good a story to be read only by francophones 😉
February 2, 2008 at 7:38 pm #65862Fonk
ParticipantPart 2 of the French Revolution coming right up! 😉
———————————15 March 2003
I went round to the house of the woman I met at the doctor's to give her her bag back.
When I knocked on the door, I heard crying through it. The sobs stopped quickly and the door opened a little. The poor woman was still drying her tears when she recognised me.
"You?" I smiled.
"What – what do you want?" she said.
"You left your bag at the doctor's," I replied, holding it out to her.
"Oh! Thank you! I didn't know where I'd…" The young woman stopped cold. My biceps had just relaxed and contracted into an enormous ball of muscle, big as a volleyball. Her eyes were glued to them. I was just about to say something when she spoke first.
"I am sorry, I must ask you to leave!" she said. "I am – very busy!" she finished, in a shaky voice. Her eyes filed with tears as she turned away.
"Is something wrong – Sarah?" I asked. I'd read her name in her things.
"No! No! Everything's fine!" At that moment, a man's voice came down the hallway.
"Tell your friend to come inside, bitch! I hope she's got big titties!" Its owner came forward. He was holding a big hunting knife, the tip of which was threatening little Max's neck.
"We're gonna have a great time, ain't we?" he continued. "You're gonna be real nice." I ducked my head to go through the doorway, just as the guy lifted his head. Our eyes met just as I stood at my full height, two steps away from him, with my hands on my hips.
He stayed stock still. Max used the moment to slip away and buried himself in his mother's arms. I took in a deep breath and spread my elbows wide. My back muscles flared our slowly. My shadow, projected on the wall which he had just backed up to, grew slowly larger. Soon it covered his face, completely hiding him from the light of day. My body, which was hidden by the dazzling light up to that point, was suddenly revealed to him in minute detail. He dropped the knife. I ignored him and turned to Sarah.
"Does he hit you?"
She lowered her eyes and lifted up her T-shirt. Later I counted more than ten scars, caused by the knife. My blood boiled instantly. I grabbed the guy by the jaw and pushed him up against the wall with all my might. His bones offered scant resistance. In a fraction of a second his jawbone was broken in several places… CRAAAKKKK!
"Max, sweetie, go to bed!" I said. His mother pushed him down the hallway and he went upstairs. The guy was still gesticulating, held up by my arm, unable to make the slightest sound. His blood was starting to run down my hands. I looked at Sarah.
"Don't kill him! Please! Leave him!" she pleaded.
I let go of him, against my better judgement, and we took him to the police. I hope, for his sake, that they will lock him up and throw away the key.
—–
13 April 2003
We went to the funfair. We spent the afternoon with Kate, Sarah and Max.
The last time we were here Sam said that he preferred it if we held hands. This time, I carried him on my arm. Max was in the other. He wasn't scared of people making fun of him because no-one would have dared. In any case, not in front of me! The girls followed on behind.
I took them to the punchball stall, the one where you can show how strong you are by hitting a basketball. It was the same one! The famous model with the seven different strength levels: 1 – little girl; 2 – little boy; 3 – man; 4 – athlete; 5 – tough; 6 – beast; and 7 – superman. I didn't even try last year, it had gotten so easy! However, I'd talked to Kate about it and she had wanted to see.
"Sam! I want to try it out."
"Again?"
"Yes! Kate wants me to show her." Max got down, Sam too. He put a coin in the machine and put the ball in place for me.
"Honey! Your arms are bigger than the ball!"
"Yes, I know. But it doesn't displease you, does it?" He lowered his head.
"No."
I lifted my arms and turned slightly toward Kate. I didn't need to prepare myself: my muscles were ready. They had become hard and prominent. Big veins appeared under my skin. The game was afoot!
I felt my hand go through the ball. It exploded outwards in a big plume of dust. My arm carried on going and embedded itself in the machine's metallic base…
BLAAAMMMM!!!
The lights on the machine went out and it started to spew out thick smoke.
"Level 10! SuperTanya!"
—–
15 July 2003
Kate, Sam and I went to the gym.
Sam decided to start with his pecs. He loaded the bar with two ten kilo discs and started his first set. As I was waiting for him to finish, I borrowed the bar to do a little warm-up. I put it behind my neck and started rotating my body from left to right. When I finished, I pushed forward to contract my pecs as I usually did. I'd left the bar on my shoulders. It folded inwards without a sound, slowly, offering me no resistance at all. The two ends were getting closer and closer until they inevitably hit each other with the characteristic sound. The noise shook me awake!
I brought the bar over my head and looked at it stupidly.
"Eh? I thought it was my towel… ?" I walked towards Sam and Kate, who were still staring slack-jawed, putting the bar back around my neck.
"Kate! You've got my towel again!" I picked her up with one hand around her waist, lifting her to the height I needed. With the other I took one corner of the towel and wiped my face. Kate stayed there, held by the waist some half a metre above the floor. I saw that she was trying to say something, but couldn't.
"What? What is it?" I asked.
"You… you bent Sam's bar!"
"I know!" I replied. "It's not that amazing," I finished, putting her back down.
I passed the bar around her neck and bent it into a loop.
Kate looked at me, trembling. Maybe she thought I was going to squeeze the bar around her little neck until I strangled her? Or maybe just until I broke her frail spine? She put her hands on it, trying to lift it. She tried to fit her head through by squatting down. But I was holding the bar by each end. My flexed arms were two unwavering huge masses against which she could not fight. I let go of the bar and watched Kate fall to the floor, brought down by the weight.
The poor girl tried to get up but the weight was too much for her slender shoulders. She stayed there, looking at the floor, whilst Sam walked over to me.
"What are you doing, Tanya?" he whispered. "Help her!"
"Why don't you help her?" Kate looked up at me, tears in her eyes. I started to cry too.
"Oh, Kate!" I said. "I'm really sorry!" I removed the bar and left them in tears. Sam tried to understand.
"Are you alright, Kate?"
"Yes, yes."
"What's wrong with her today?" Kate looked at Sam and smiled.
"It's Sandy's birthday today. She's sad!"
And she was right. I miss Sandy! I miss her so much!
—–
16 July 2003
We took our measurements today.
My measurements:
Height: 7'
Height with heels: 7'5"
Weight: 492kg
Measurements: 115F/35/45
Biceps: 41"
Thighs: 62"Sam's measurements:
Height: 5'8"
Weight: 59kg
Measurements: 31/33/31
Biceps: 10"
Thighs: 19"Kate's measurements:
Height: 5'3"
Weight: 40kg
Measurements: 35/23/33
Biceps: 8"
Thighs: 17"Sam doesn't train regularly, so he isn't making any progress.
—–
21 July 2003
My stats:
Bench press: 1855 lb.
Dumbbell curl: 445 lb.
Leg press: 4670 lb.Sam's stats:
Bench press: 100 lb.
Dumbbell curl: 22 lb.
Leg press: 180 lb.Kate's stats:
Bench press: 55 lb.
Dumbbell curl: 9 lb.
Leg press: 90 lb.—–
22 July 2003
This afternoon Kate came into my bedroom just as I was getting out of the shower. I was naked, still dripping wet, muscles warm and pumped from training. She dropped something when she saw me, which rolled under the bed.
"What's that?" I asked, pointing at the thing which had rolled behind her. Kate kept watching my muscles sparkle. The low-angled light of the setting sun on my wet skin made them more impressive than usual. She had put her hands on my thighs, eyes glued to my abs. She mustn't have heard my question, so I asked it again.
"What's that?"
"Sorry?"
"That thing that you dropped, what is it?"
"Oh! That…" She went over and picked it up as she spoke. "It's a baseball bat."
"A bat?"
"You made a promise…" It was true, I had promised, but I never thought she would take it seriously. Last month, as she hit me in the stomach during our lovemaking, Kate broke her wrist. I had said that next time she could hit me in the stomach with a baseball bat! Of course, I thought it was silly. At least, at first! Then, as I saw Kate's eyes sparkle, the idea started to seduce me and I got quite excited.
I took the bat and examined it attentively. I looked it up and down. I felt it. I tested it between my fingers and knocked on the wood. I didn't think it was that hard! I smiled at Kate and held the bat out to her.
"OK! You can hit me, but only on the stomach!" I said. "Now, I'm going to lie down."
I slid onto the bed and crossed my arms behind my neck. My rigid chest pointed to the ceiling.
"Wait!" I said. "I can't see anything!"
I got up by contracting my abs and settled onto my elbows instead. My abdominal grid turned harder than rock. The muscles grew, and the separations became more pronounced. The drops of water still on my body started to settle into little lakes, held in place by this or that muscle. For a moment I played with my muscles, making little waves of this water, before I looked back at Kate.
"OK, you can start!" Kate lifted the bat and hit me. POC! The water moved forward in a little wave.
"Go on, hit me!" She hit me again. POC! A few drops of water stayed on the bat. They started to drip down the length of the wood.
"Harder!" POC! This time, a spray of water erupted, dripping down Kate's hands.
"Even harder!" POC! POC! POC! POC! The water splashed about, landing further and further away with each blow, filling the room with shining drops of water. Kate's T-shirt was soaked. Her nipples and the shape of her breasts were now clearly visible through the fabric. She started to get me excited. Her wet arms shining in the sunlight, oiled by a mixture of sweat and water. I wanted so, so badly to grab her wrists and pull her close to me.
And she didn't know. She was so intent, hitting me again and again, harder and harder. She could see that I couldn't feel anything. It was making her angry. After each blow she put a little more effort in, trying to hurt me. Nothing came of it.
POC! POC!
At the start I could see her eyes shining with excitement. Little by little she got tired, and weakened, her arms shaking with each impact, her hands hurting more. I could see her frustration, so bad it was preventing her from speaking.
I closed my eyes. I was loving it! I even started to come from the feelings of power that I love so much. I bit my lip so as not to cry out with excitement.
Then the bat fell to the floor. I got up and opened my eyes. A little tear was rolling down her cheek. She lowered her head.
"It's her you're thinking about, isn't it?" she said. "Sandy!" She started to cry and ran out of the room.
—–
28 July 2003
Today I did some bench presses with the car! Of course I can only lift one side of it, but it's fantastic!
I slid under the car, head first, until my chest bumped into it. I put my hands flat against the frame and took a deep breath. My ribcage lifted up, pressing my breasts strongly against the bumper. They were crushed. I felt them getting more dense, harder. When I contracted my pectorals for the first time, they loosened like a spring, relieving the pressure on them. The car, which didn't have the handbrake on, moved back a few centimetres.
I had to bring the car towards me. Then I gripped the two huge universal joints and pushed with all my strength. My pecs and triceps contracted and my muscles expanded little by little, shaking all the while. Striations became more and more visible, and then more and more deep. My muscles expanded again. The shaking got more intense. The whole car began to vibrate. I shouted to get all the air out of my lungs. My pecs drew in immediately. At the same time, it happened. The car moved upwards, slowly, but it moved! The shock absorbers loosened out, slowly, and then the tires came up off the ground.
My triceps came into play, helping my pecs, which were starting to tire. The shaking persisted for a moment then, when my arms were completely tensed, it stopped. OOF!
I panted a little to get the oxygen back into my muscles before letting the car down again, controlling its descent carefully. The other reps were much easier: the weight was not excessive and I had found a comfortable position to keep myself in.
I did my five sets of ten reps and asked Sam and Kate to get out of the car. They were in awe. They both came up to me and rubbed themselves against me.
February 3, 2008 at 2:18 am #65863Icon
ParticipantExcellent! Many thanks to Scat for writing and Fonk for translating! ;D
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