[scat]

hi ! new part. ;D

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15 Février 2003

J'ai encore grandi et grossi ces derniers mois :

                                mes mensurations :                                              mensurations de Sam :

Taille :                 1.99 m (6.8")                                      1.70 m (5.8")
(avec talons)            2.12 m (7.1")
Poids  :                  398 kg (884 lb)                                   59 kg (131 lb)
mensurations : 266D/74/99 (105D/29/39)          80/85/80 (80/85/80)
biceps :                 96 cm (38")                                          26 cm (10")
cuisse :               154 cm (61")                                          48 cm (19")

Sam à repris du poids. Mais il est tellement fragile que je dois constamment faire attention à ne pas le blesser involontairement. Et c'est pire avec Kate !

Kate, c'est la vendeuse de la boutique où j'ai acheté les ceintures de Sam. Je suis retournée la voir, plusieurs fois. La pauvre fille pèse à peine 40 kg pour 1,60 m !

Elle me demande de lui faire des démonstrations de force. J'adore çà ! ( Elle aussi !)

Ce que j'aime surtout, c'est la voir se dévêtir et jouir, nue devant moi, puis se coller contre ma peau pour me carresser. Elle commence par passer ses petites mains sur mes abdos pour son propre plaisir. En laissant trainer ses ongles volontairement pour essayer de me griffer. Les traces sur ma peau sont à peine visibles : mes muscles sont devenus trop denses et trop durs.

Elle me frappe alors avec ses petits poings. Elle frappe vite, fort. Elle n'arrête que lorsque ses mains sont endolories. Ensuite, lentement, elle glisse son poing dans mon sexe, jusqu'au coude, et lui fait faire de délicats va-et-vients. Je ferme alors les yeux et laisse le plaisir m'envahir progressivement jusqu'à l'extase.

C'est d'ailleurs comme çà que je lui ai cassé le bras. Un spasme a contracté mes muscles vaginaux qui ont involontairement broyé sont avant-bras. Aujourd'huis tout est rentré dans l'ordre mais, elle et moi, faisont beaucoup plus attention.

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21 Février 2003

Sam et moi avons continué à nous entraîner au gym. Bien sûr, nous y allons pendant les heures de fermeture sans quoi tous les gens sont agglutinés autour de nous.

Sam fait des séries de 10 répétitions pour prendre de la force et du volume, moi aussi, mais je crois que je vais arrêter et me concentrer sur la force en faisant des séries plus courtes.

Pour l'instant voici nos stats.

                                                                          Mes stats. :                                                  Stats. de Sam :

développé couché  (bench press) :    605 kg  (1345 lb)                                              45 kg  (100lb)
            max  800 kg

curl un bras  (dumbbell curl)  :                    145 kg  (322 lb)                                               10 kg  (22lb)
            max  200 kg

presse inclinée (leg press) :                  1540 kg  (3422 lb)                                              80 kg  (180lb)
          max  2100 kg

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02 Mars 2003

Cela devait arriver !

Je ne sais pas où j'avais la tête ce matin. J'ai passé une porte sans me baisser : J'ai emporté l'encadrement de la porte avec moi, mais aussi l'imposte et la moitié du mur.

Le plus drôle dans tout çà, c'est que je n'ai presque rien senti. Ce sont les bruits des briques en explosant et le crissement du bois qui m'ont alerté.

Sam qui était là, n'a rien dit. Il a déclaré que de toutes façons cela devait arriver et qu'il serait même bon de casser toutes les portes, une bonne fois pour toutes.

Je l'ai pris au mot. J'ai conduit Sam devant un mur et lui ai demandé de le casser. Evidemment, il m'a rétorqué qu'il n'avait pas d'outils. J'ai souri et il a immédiatement compris ce que je voulais faire. Il m'a répondu :

" O.K. ! Je vais essayer. "

Il a posé une main sur le mur et de l'autre a frappé un grand coup de poing. L'empreinte de son poing était à peine visible sur le plâtre.

Je me suis moquée de lui en soufflant sur la petite trace qu'il avait laissé :

" C'est tout ?? Tu n'es pas vraiment efficace ! "

" Attend ! Laisse moi essayer encore ! "

Cette fois-ci, Sam a frappé plus fort. L'empreinte du poing était bien visible sur le plâtre mais ce dernier n'était même pas fissuré. Comme il avait mal, je l'ai pris par l'épaule et l'ai collé contre moi :

" Ne t'inquiète pas, chéri, je vais m'en occuper. "

J'ai plaqué Sam contre le mur. Je l'ai soulevé en le tenant par le col. Avant qu'il n'ai esquissé le moindre mouvement, d'un violent coup de poing dans le mur, j'y ai enfoncé l'autre bras jusqu'à l'épaule. Ensuite, je l'ai retiré lentement, sous ses yeux admiratifs, pour laisser place à un trou béant à hauteur de son visage.

Je l'ai regardé en souriant :

" Tu vois, il n'y a pas besoin de taper fort ! "

Sam était très excité. Il m'a promis de tout arranger demain si je cassais les encadrements de porte aujourd'huis.

Je l'ai fait. J'espère qu'il va tenir sa promesse. Il a commandé des matériaux pour réparer les cloisons. Il sera livré demain.

En atendant, il a tout balayé et mis les gravats dans de gros barils de 200 litres qu'il a pris à la station-service. C'était drôle de le voir déplacer ces gros bidons vides. Ses bras enroulés autour, il les collait contre sa poitrine et avançait, tant bien que mal, en se cognant les genoux à chaque pas.

Quand je pense à la facilité avec laquelle je les ai chargés sur le 4×4, remplis avec plus de 300 kg de gravats !

Sam s'était même caché dans le dernier baril pour me voir faire ! Il adore être le témoin de mes démonstrations de force. A chaque occasion, je sais qu'il éprouve un réel plaisir : il en tremble !

Je suis persuadée qu'il jouit, par procuration, de toute la puissance que je dégage quand mes muscles entrent en action.

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03 Mars 2003

Les matériaux ont été livrés ce matin et Sam a tenue sa promesse. Il a reconstruit les murs en laissant de grandes ouvertures pour me faciliter le passage.

" J'espère que tu ne vas plus grossir ! " a-t'il dit.

J'espère aussi. Je crois que vais aller voir le docteur encore une fois.

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10 Mars 2003

Je suis allée voir le docteur ce matin.

Lorsque je suis rentrée dans la salle d'attente, une jeune femme attendait avec son fils, un petit blondinet de 8 ou 9 ans. Dès qu'il m'a vue, il a crié à sa mère :

" Maman ! Maman ! … Regarde ! C'est la femme de superman ! "

C'est vrai ! J'avais mis une robe moulante, en lycra, dont le bleu faisait penser au super-héros. Le gamin à tout de suite fait le raprochement quand il a vu mes énormes muscles se bander sous le tissu.

La mère qui avait tiré son petit vers elle, avait les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte. Sa respiration s'était arrétée. J'ai dit 'bonjour' poliment et je me suis assise à cheval sur deux chaises pour répartir mon poids. Elle était figée et ne pouvait pas répondre.

J'ai continué à parler pour essayer de la détendre :

" Vous devriez le lâcher."

Elle secoua la tête comme pour chasser les pensées qui l'empêchaient de réfléchir et essaya de parler:

" Pa … pa … pardon ?? "

" Votre fils … Vous devriez le lâcher ! Vous lui faites mal au bras. "

Elle avait agrippé son fils par le bras et serrait de toutes ses forces. Le pauvre gamin commençait à grimacer de douleur.

" Oh mon Dieu ! Max ! Je t'ai fait mal ? "

" Non ! Non ! Cà va ! … Tu as vu, maman, comme elle est musclée ? … Les muscles de papa, ils sont plus petits pas vrai ? "

" Oui chéri. " a t'elle dit en me souriant.

Je lui ai répondu par un autre sourire et elle a baissé la tête. Elle ne pouvait pas soutenir mon regard mais je voyais bien qu'elle ne décolait pas les yeux de moi.

Max est venu vers moi.

" Madame … je peux toucher vos muscles ? "

La mère s'est indignée :

" Maaax !! Enfiiin ! Ce ne sont pas des choses que l'on demande ! "

Comme elle me regardait en disant cela, j'ai vu qu'elle m'interrogeait du regard. Je l'ai rassurée.

" Ce n'est pas grave. Ce n'est qu'un enfant après tout. "

Je me suis tournée vers Max et je me suis adressée directement à lui :

" Viens ! Approche ! "

J'ai levé un bras et je l'ai contracté lentement.

" Vas-y ! Tu peux toucher ! "

L'enfant, voyant mon biceps grossir sous ses yeux, devenir plus gros que sa tête, a pris peur. Il s'est mis à trembloter.

" Maman, viens avec moi ! J'ai peur !"

La mère m'a regardé.

Comme je lui ai fait 'oui' de la tête, elle s'est levée et a pris le poignet de son fils.

Elle aussi a commencé à trembloter.

Elle l'a guidé lentement vers moi puis a lâché sa main. Le pauvre petit est reparti s'asseoir en courant. La mère, elle, est restée debout devant moi, les yeux rivés sur mon bras.

" Vous voulez toucher aussi, n'est-ce-pas ? "

Elle n'a pas répondu. Elle a avancé sa main tremblante et l'a posée sur mon biceps. Ses doigts ont parcouru mon muscle tout doucement.

Elle a pris une profonde inspiration puis elle a appuyé avec son pouce, essayant de déformer cette énorme masse musculeuse, de s'enfoncer dedans, mais sans succès.

Elle a posé ses deux mains, arrivant à peine à recouvrir le muscle en écartant les doigts, et elle l'a caressé longuement. Je l'ai tirée de son rêve :

" Vous voulez taper dessus ? … Allez-y ! "

Elle s'est pincé les lèvres et a formé un petit poing avec ses doigts.

Elle a hésité un moment puis elle a frappé.

C'était amusant, de voir cette petite femme cogner. J'ai souri.

Elle m'a regardée.

Nos regards se sont croisés et, instantanément, ses yeux se sont remplis de larmes. Elle s'est mise à pleurer. Elle a récuperé son fils et est sortie précipitamment.

Je me suis apercue qu'elle avait oublié son sac. C'est quand je me suis levée pour le ramasser que le docteur est entré.

En me voyant, il a laché la porte qui s'est rabattue sur lui. BLAM !

" Bonjour docteur ! "

" Bon … bonj … bonj … "

Je n'ai pas attendu la réponse. Je l'ai saisi par le col, soulevé de terre, et je me suis glissée sous la porte.

J'ai traversé le cabinet en deux enjambées et je l'ai posé dans son fauteuil.

" Docteur, Je désire un examen complet. Je veux être rassurée sur mon état de santé. "

" Bien, bien … asseyez-vous. "

" Je suis déjà assise, Docteur ! "

Il a regardé mes cuisses, longuement, sans dire un mot, puis a avalé sa salive.

" Oui, bien sûr… Je vais commencer par vous peser et vous mesurer, si vous le voulez bien ? "

" Très bien. "

Je me suis levée et me suis dirigée vers un pèse personne. Je l'ai aperçu dans une glace regarder mes jambes en s'essuyant le front avec un mouchoir. Il m'a demandée d'enlever mes escarpins. Je me suis exécutée et je les lui ai tendus. Cet imbécile les a laissé tomber. Il faut avouer qu'il ne s'attendait pas à ce qu'ils pèsent 3kg chacun ! … Des escarpins armés en acier, sur mesure, et qui viennent directement d'Italie !

Je me suis vengée sur son pèse-personne. J'ai posé un pied dessus, délicatement, et j'ai appuyé progressivement. L'appareil a indiqué 30kg puis 40, 50, 60, 70, 80, 90, 100kg. Je me suis arrêtée.

Il m'a regardée, l'espace d'un instant, puis a regardé de nouveau l'affichage digital.

J'ai continué a appuyer : 110kg, 120, 130, 140, 150, 160, 170, 180, 190, 200kg.

Je l'ai regardé. Il tremblait en s'essuyant le front fébrilement. Là, j'ai poussé un gros soupir et j'ai posé le deuxième pieds sur le pèse-personne.

Les chiffres ont défilé, vite, très vite, trop vite pour qu'on puisse les lire. L'afficheur a indiqué 'overload' puis il s'est éteint… CRAAACCKKK !! Des éclats ont volés aux quatre coins de la pièce. Le Docteur a reculé d'un pas et s'est appuyé contre le mur pour ne pas tomber.

" Vous … vous pesez combien ? "

" Je ne sais pas exactement … Disons 400kg !"

" 400 … Hum! hum! "

Il a manqué de s'étouffer. Il a repris son souffle puis a continué :

" Je vais vous mesurer. "

Il a montré du doigt une règle graduée, collée sur le mur.

Je me suis plaquée contre, en laissant retomber mes bras le long du corps et j'ai attendu. Je l'ai senti mal à l'aise. Il tournait autour de moi en regardant vers le mur nerveusement: Il ne savait pas comment me dire qu'il ne pouvait pas lire les graduations. Mon corps, aux dimensions hors normes, lui masquait complètement la vue. Je pouffais intérieurement et lui ai proposé une solution :

" Montez sur une chaise ! "

Il a baissé la tête et s'est exécuté.

" 1,99 m ! " a-t'il annoncé.

" Si vous me l'aviez demandé, je vous l'aurais dit ! … " ai-je répondu en mettant mes escarpins " … et 2,12m avec les talons ! "

Il était de plus en plus mal à l'aise. J'ai poursuivi en m'approchant de lui :

" Vous voulez mesurer mon tour de bras ? "

" Non… Non, ce n'est pas nécessaire. "

J'ai posé mon index sur son torse et l'ai déplacé de gauche à droite.

" Dommage ! "

Le pauvre homme ! Son érection devenait de plus en plus évidente !

Je me suis assise et j'ai contracté mon bras sous ses yeux :

" Et si vous me preniez la tension ? "

" Oui, bien sûr… la tension. "

En disant cela, il a attrapé son tensiomètre sur le bureau et s'est retourné vers moi. Je lui ai souri et ai avancé mon bras vers lui. En posant l'appareil dessus, il a compris le ridicule de la situation : mon bras est beaucoup trop volumineux pour être enveloppé dedans !

Il m'a regardée dans les yeux :

" C'est le plus grand modèle ! "

" Tant pis pour la tension ! Ecoutez mon coeur ou ma respiration, je ne sais pas moi ! "

" Oui, c'est cela … le stéthoscope ! "

Il a mis le stéthoscope sur ses oreilles et a commencé son auscultation en déplaçant le pavillon, genre de petit micro métallique, sur ma poitrine.

" Je suis désolé. Je n'entend rien … vos seins sont trops … gros! … Il faudrait que je place le stéthoscope entre vos seins. "

Je ne lui ai pas laissé le temps de se justifier davantage. J'ai oté mes bretelles et j'ai fait glisser ma robe sur ma poitrine. Puis, j'ai pris un grande inspiration et ai projeté mes épaules en arrière. Mes pectoraux se sont étirés forçant mes seins à s'écarter.

Comme je le voyais hésiter, j'ai tourné la tête pour ne pas le gêner davantage.

Je l'ai senti approcher, quand sa main a frolé mes seins. J'ai même frémi quand le métal froid du pavillon a touché ma peau.

J'ai attendu patiemment son diagnostic.

" Oh ! mon Dieu ! "

" Quoi ? Que se passe-t'il Docteur ? … C'est grave ? "

" Non ! Vous n'y êtes pas ! "

" Alors ? "

" Vous avez contracté vos pectoraux ! "

Comme je n'ai pas compris ce qu'il voulait dire, il a poursuivi :

" Mon bras est coincé ! "

J'ai baissé les yeux; Son avant bras était à moitié enfoui entre mes seins.

Il tentait de le dégager en appuyant sur ma poitrine avec l'autre main et en se jetant en arrière.

Il a crié :

" Lâchez-moi ! Vous n'avez rien à faire ici ! Vous êtes en pleine forme, vous le savez bien ! "

Je l'ai regardé lutter avec amusement puis j'ai ouvert ma cage thoracique et mes énormes seins ont laissé filer son bras.

Pris par surprise, il a failli basculer en arrière. Je l'ai rattrapé, in-extremis, en l'agrippant par la main qu'il avait posée sur ma poitrine et l'ai ramené vers moi.

Le fait de le voir prisonnier de mes muscles à peine bandés, m'a terriblement excité sexuellement. J'ai senti mon sexe devenir chaud et humide.

J'ai tendu mes jambes à l'horizontale et les ai croisées, dans son dos, au niveau de la taille. Il a vainement essayé de se dégager mais il a su immédiatement qu'il n'avait aucune chance de réussite.

J'ai remis ma robe lentement sans m'occuper de lui.

En attrapant le tissu de chaque côté de la taille, je l'ai déroulé le plus lentement possible sur mes abdominaux puis sur ma poitrine. Au fur et à mesure, je faisait jouer mes muscles pour éliminer les plis disgracieux. Cela m'excitait terriblement de le savoir là, les yeux rivés sur moi, se retenant pour ne pas éjaculer.

La bouche légèrement entr'ouverte, j'ai glissé ma main dans mon décolleté pour remonter mes seins en les massant délicatement. Ensuite, je les ai pétris entre mes doigts pour qu'il puisse juger de leur souplesse.

Je l'ai saisi par la nuque et l'ai forcé à plonger sa tête entre mes deux énormes mamelles. Il a posé ses mains dessus en tentant de les écarter. J'ai vu ses doigts essayer de s'enfoncer dedans, sans résultats.

Comme il a du être surpris !

J'avais contracté mes pectoraux qui comprimaient mes seins et les avaient rendus durs comme des boules de bowling !

J'ai reposé mes pieds par terre et me suis relevée. Lui, est resté prisonnier de mes seins, se balançant à 10 cm du sol. Ses petits poings ont martelé mes épaules, le temps pour moi de remonter ma robe jusqu'à la taille. Ensuite, je l'ai laissé tomber.

Je me suis avancée vers lui en enfonçant un doigt dans mon sexe et je me suis masturbée avec force au dessus de sa tête. Bientôt de petites goutelettes ont commencé à tomber sur son crâne chauve. Je l'ai pris par la mâchoire et l'ai obligé à ouvrir la bouche en grand. Mon sexe est devenu dur et brûlant. L'intérieur de mes cuisses a commencé à trembler.

Subitement, un jet de fluide vaginal a aspergé son visage. J'ai collé sa mâchoire contre mon sexe et j'ai regardé. J'ai vu mon clitoris endurcit, érigé comme un phallus masculin, écraser le nez du Docteur. Je l'ai promené sur ses lèvres et l'ai enfoncé dans sa gorge.

Par petits jets successifs, mon fluide vaginal s'est écoulé dans sa bouche, débordant sur les côtés puis coulant le long de ses joues. Je me suis dégagée encore tremblante et j'ai maintenu sa bouche fermée pour l'obliger à avaler. Quand je l'ai vu déglutir, je l'ai lâché et j'ai redescendu ma robe.

J'ai pris le sac à main que la jeune femme avait oublié et je me suis dirigé vers la porte.

" Attendez ! … " a crié le Docteur " … Vous reviendrez, n'est-ce-pas ? "

Comme il se tenait debout, devant son bureau, j'ai immédiatement aperçu la tâche humide qui couvrait son pantalon: il avait éjaculé !

J'ai souri.

" Oui ! … Je reviendrais ! "

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[Mermoz]

Une fois de plus un  texte plein de sensualité. J'adore certaines phrases comme "Je suis persuadée qu'il jouit, par procuration, de toute la puissance que je dégage quand mes muscles entrent en action". On ne peut faire qu'une chose : demander la suite de ce carnet fantastique!!! Merci Scat

[ratlaf]

Translation…?

[pogo]

Would love to have the translation since this is a very good story. Cant wait to see what happens next ^^

[Fonk]

Today I hope to translate all the French stories that I haven't yet. So, here's part 6 of the wonderful Tanya's diary.

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15 February 2003

I've grown and put on weight these last few months.

My measurements:

Height: 6'8".
Height with heels: 7'1"
Weight: 398kg
Measurements: 105D/29/39
Biceps: 38"
Thighs: 61"

Sam's measurements:

Height: 5'8".
Weight: 59kg
Measurements: 31/33/31
Biceps: 10"
Thighs: 19"

Sam's put weight on too, but he is so fragile that I have to take care not to hurt him accidentally. And it's worse with Kate!

Kate is the sales girl at the shop where I bought Sam's belts. I have been back to see her several times. The poor girl weighs about 40kg for 5'3"! She asks me to demonstrate my strength, and I love doing it! So does she!

What I love most of all is seeing her take her clothes off and come, naked in front of me, then stick herself to my skin to caress me. She starts by running her little hands over my abs for her own pleasure. She leaves her nails out to try and scratch me. The marks she makes on my skin are barely visible: my muscles have become too dense and hard.

Then she hits me with her little fists. She hits quickly, and hard. She doesn't stop until her hands are hurting. Then, slowly, she slides her fist into my sex up to the elbow, and makes it move back and forth delicately. Then I close my eyes and let the pleasure invade me until it reaches ecstasy point.

And that's how I broke her arm. A spasm made me contract my vaginal muscles, which broke her forearm. Today everything's back to normal except that we pay much more attention, her and I.

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21 February 2003

Sam and I still train at the gym. We go during closing time, of course, so that people don't gather around us and bother us. Sam is doing sets of ten reps to take on mass and strength, as do I, though I think I'm going to concentrate on just my strength by doing smaller sets. Here are our stats, as of today.

My stats:

Bench press: 1345 lb.
Dumbbell curl: 322 lb.
Leg press: 342 lb.

Sam's stats:

Bench press: 100 lb.
Dumbbell curl: 22 lb.
Leg press: 180 lb.

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2 March 2003

It was always going to happen!

I don't know what I was thinking this morning, but I went through a door without ducking: I took the frame of the door with me, as well as half of the wall. The funniest thing about it is that I hardly felt a thing. It was the explosion of bricks and the groaning of wood that told me something had happened.

Sam was there, but he didn't say anything. He said that it was always going to happen, and that it might be good to break all the doors once and for all. I took him at his word.

I took him in front of a wall and asked him to break it. Obviously, he retorted that he didn't have any tools. I smiled and he immediately knew what I was going to do.

"OK! I'll have a go," he replied. He put a hand on the wall and hit it as hard as he could with the other. You could just make out the imprint of his fist on the plaster. I made fun of him by blowing on the little mark he had made.

"Is that it?? You aren't really very efficient!"

"Wait! Let me have another go!" He hit harder this time. The imprint of his fist was quite visible but the plaster had not cracked. He'd hurt his hand; I took him by the shoulder and brought him to me.

"Don't worry, honey, I'll take care of it." I stuck Sam against the wall and lifted him up by the neck. Before he made the slightest movement I had thrust my other arm through the wall up to my shoulder with a violent punch. Then I drew it back out slowly, under his admiring gaze, to leave a gaping hole at about Sam's head level. I looked at him, smiling.

"You see, there's no need to hit it that hard!" Sam was very excited. He promised to have everything sorted out tomorrow if I broke all the doorframes today. Which I did. I hope he's going to keep his promise. He ordered the material to repair the partitions. It will be delivered tomorrow. Whilst we wait, he swept everywhere and put the rubbish in some 200 litre barrels that he'd bought from the petrol station. It was funny to watch him try to move them around. He wrapped his arms right round them, brought them to his chest and waddled forward, hitting his knees on the barrel with every step. When I think how easy it was to load them on the 4×4, filled with 300kg of rubble!

Sam hid in the last barrel to watch me! He loves being a witness to my feats of strength. I can tell he's getting a real kick out of it every time: I can see him shaking! I'm convinced he's coming just by watching me, the power that I can display when my muscles are called into action.

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3 March 2003

The building materials were delivered this morning and Sam kept his promise. He rebuilt the walls and left huge holes for me to go through.

"I hope you don't get any bigger!" he said. I hope so too. I think I'm going to go to the doctor again.

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10 March 2003

I went to see the doctor this morning. When I went into the waiting room I saw a young woman waiting with her son, a little blonde boy of eight or nine years old.

"Mum! Mum! Look!" he said, as soon as he saw me. "It's Superman's wife!" He wasn't wrong! I was wearing a form-fitting dress made of Lycra, whose deep blue colour was quite a superheroic colour. The kid had made the link straight away when he saw my enormous muscles bulging under the material.

The mother, who was hugging her son close to her, had her eyes wide open, jaw hanging slack. She had stopped breathing. I said "hello" politely and sat astride a couple of chairs so they were sharing my weight. She was rooted to the spot and didn't know how to reply. I carried on talking to try to relax her.

"You should let him go." She shook her head as if she were shaking the thoughts that had stopped her brain out and tried to speak.

"S – S – Sorry?"

"Your son – you should let him go! You're hurting his arm." She had grabbed her son by the arm and was squeezing with all her might. The poor kid was starting to grimace with the pain.

"Oh my God! Max! Did I hurt you?"

"No, no! I'm OK!" He paused for a thought. "D'you see, Mum, how strong she is? Dad's muscles are smaller than hers, aren't they?"

"Yes honey," she said, smiling at me. I smiled back at her, and she lowered her head. She couldn't look me in the eye, but I could tell she couldn't stop looking at me. Max came up to me.

"Miss…" he began. "Could I touch your muscles?" The mother was indignant.

"Maaax! Really! You can't ask someone that kind of thing." She was looking at me as she spoke; I saw that she was asking me for something.

"Oh, don't worry about it. He's just a child, after all," I reassured her. Then I turned to Max and addressed him directly.

"Right then! Come here!" I lifted an arm and flexed it slowly. "Come on! You can touch it!" The boy, seeing my biceps grow as he watched, bigger than his head, got scared. He started to tremble.

"Mum, come with me! I'm scared!" The mother looked at me. I nodded to her, so she got up and took her son's wrist. She started to tremble too.

She guided her son's hand slowly towards me, then let go of his hand. The poor kid ran away and sat down. The mother, though, stayed in front of me, her eyes fixed on my arm.

"You want to touch it too, don't you?" She didn't reply. She moved her trembling hand forward and rested it on my biceps. Her fingers ran around the muscle very gently. She took a deep breath and pushed down with her thumb, trying to push into the enormous muscle mass there, but had no success. She put both hands on my bicep, just about covering it when she spread her fingers out, and caressed it longingly. I brought her out of the reverie.

"Do you want to hit it?" I asked. "Go ahead!"

She put on a determined look and formed a tiny fist. She hesitated a moment, but then hit me.

It was amusing to see this little woman punch me. I smiled.

She looked at me. We looked at each other and, instantly, her eyes filled with tears. She began to cry. She grabbed her son and left quickly.

I noticed that she had forgotten her bag. When I got up to pick it up, the doctor came in. When he saw me he let go of the door, which promptly closed on him. BLAM!

"Hello, doctor!"

"He – He – He…" I didn't wait for him to reply: I grabbed him by the neck, lifted him up off the ground, and ducked under the door. I crossed the surgery in two steps and put him into his chair.

"Doctor, I'd like a full check-up. I want to be reassured about my health."

"Right, OK… sit down."

"I am already sat down, Doctor!" He looked at my thighs for a long moment without saying anything, then swallowed.

"Yes, of course. I'll start by measuring your weight and height, if you don't mind?"

"Of course." I stood up and went to the scales. I spotted in a mirror that he was looking at my legs whilst wiping his forehead with a handkerchief. He asked me to take off my shoes. I did so and held them out to him. The idiot dropped them. I have to admit that he probably wasn't expecting each one to weigh three kilos! They're made of steel, to order, and they come directly from Italy. I got my revenge on his scales.

I put a foot on, delicately, and pressed downwards. The machine indicated 30kg then 40, 50, 60, 70, 80, 90, 100kg. I stopped. He looked at me for just a second before returning to the digital display. I kept pressing down.

110kg, 120, 130, 140, 150, 160, 170, 180, 190, 200kg.

I looked at him. He trembled and wiped his forehead feverishly. Then I sighed theatrically and put my other foot on the scales. The figures moved on quickly, too quickly to make them out. Then the display said "overload" and went out… CRAAACCKKK! The pieces flew into the four corners of the room. The doctor took a step back and held on to the wall to stop himself from falling over.

"How… how much do you weigh?"

"I don't know, exactly… let's say four hundred kilos!"

"Four hundred… Hmm! Hmmm!" He got his breath back before continuing.

"I'm going to measure your height." He pointed towards a graduated line which was stuck to the wall. I stood next to it, keeping my arms by my sides, and waited. I saw that he was uneasy. He walked around me, looking at the wall nervously: he didn't know how to tell me that he couldn't read my height off the line. My body, with its unusual dimensions, blocked it completely from his sight. I sighed mentally before proposing the obvious solution.

"Stand on a chair!" He looked sheepish before he did so.

"Six foot eight!" he announced.

"If you had only asked me, I could have told you that!" I replied, putting my shoes back on. "And seven foot one with my heels!" He was feeling more and more uneasy.

"Do you want to measure my arms?" I said, getting closer to him.

"No… no, that won't be necessary." I put my index finger on my torso and moved it from left to right.

"Shame!"

The poor man! His erection was getting more and more obvious! I sat down and flexed my arms as he looked on.

"Do you want to measure my blood pressure?

"Yes, of course… blood pressure." As he spoke he picked the apparatus up from his desk and turned to me. I smiled at him and moved my arm towards him. As he put the strap under my arm, he began to understand that there would be a problem: my arm was much too big for the strap to go around it! He looked me in the eyes.

"That's the biggest size!"

"Too bad for my blood pressure, then! Why not listen to my heart or my respiration, something like that!"

"Yes, of course – the stethoscope!" He put the stethoscope in his ears and started to move the detector around my chest. After a few moments he spoke again.

"I am sorry, I can't hear anything. Your breasts are too… big! I'm going to have to put the stethoscope between your breasts." I didn't give him the time to justify himself more. I slipped the straps off my shoulders and slid the dress down from my chest. Then I took a deep breath and moved my shoulders back. My pectorals stretched, forcing my breasts to move apart. I saw him hesitate, so I turned away so as not to embarrass him further.

I felt him come closer, and then his hands brushed against my breasts. I even shuddered when the cold metal of the detector touched my skin. I patiently waited for the results.

"Oh, my God!"

"What? What's happening, Doctor?" I asked. "Is it serious?"

"No, that's not it!"

"So?"

"You have contracted your pectoral muscles!" I didn't understand what he meant, so he continued his explanation.

"My arm is stuck!" I lowered my head; half of his forearm had disappeared inside my cleavage. He was trying to get free by pushing on my chest with the other hand and launching himself backwards.

"Let me go! You have no need to be here; you're in perfect health, and you know it!" he shouted. I watched him fight to free himself with great amusement before relaxing my body, freeing his arm from my enormous breasts. Taken by surprise, he nearly fell backwards. I caught him, just, by grabbing the hand he had placed on my chest to free himself. I brought him towards me.

Having seen him a prisoner of my mostly-relaxed muscles excited me so much. I felt my sex become hot and wet. I held my legs out horizontally and wrapped them around his waist. He tried in vain to get free, but immediately knew he would not succeed. I put my dress back on slowly without worrying about him. By grabbing both sides of the material, I rolled it as slowly as possible up my abdominals and then my chest. As I went I moved my muscles to try and get rid of the creases. It excited me so much to know that he was there, eyes fixed on me, holding himself back so that he didn't ejaculate.

Mouth slightly open, I slid my hand into my cleavage to move my breasts back into position, holding them delicately. Then I started to knead them between my fingers to let him know how soft and supple they were. I grabbed him by the neck and forced him to plunge his head between my two enormous mammaries. He put his hands on them, trying to separate them. I saw his fingers try to plunge into them, unsuccessfully. He must have been so surprised!

I had flexed my pecs, compressing my breasts and making them seem as hard as bowling balls! I put my feet on the floor and stood up. He stayed trapped between my breasts, dangling a good four inches off the floor. His little fists hammered my shoulders as I lifted my dress up to the waist. Then I let him go.

I walked towards him as I shoved a finger into my sex and masturbated forcefully above his head. Soon little drops of liquid started to fall onto his bald head. I gripped his jaw and forced him to open his mouth wide. My sex had become hard and burning hot. The insides of my thighs had started to tremble. Suddenly a jet of vaginal fluid sprayed his face. I stuck his jaw to my sex and watched. I watched my clitoris harden, like an erection, crushing the doctor's nose. I waved it around his lips before forcing it down his throat.

My vaginal fluid went into his mouth in tiny spurting jets, spilling out of the sides and running down his cheeks. I pulled out, still trembling, and held his mouth shot to make him swallow. When I saw him gulp, I let go and rolled my dress down. I took the handbag that the young mother had left behind and went towards the door.

"Wait!" the doctor cried. "You are coming back, aren't you?" As he stood up in front of his desk, I immediately saw the hot, sticky patch on the crotch of his trousers: he had ejaculated! I smiled.

"Yes!" I said. "I'll be back!"

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